Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou
prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il
possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne
soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de
toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la
nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des
revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
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patrick.K1600GTLcazaux
Bidulette wrote:
Soit une dette.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en meilleure position pour discuter le cas échéant.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Bidulette <Bidulette@chaudcourrier.con> wrote:
Soit une dette.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou
prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui
l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en
cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un
créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il
possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne
soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de
toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la
nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des
revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a
pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à
proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier
versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption
d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en
meilleure position pour discuter le cas échéant.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en meilleure position pour discuter le cas échéant.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Gerard
Tardigradus avait prétendu :
Bidulette wrote:
Soit une dette.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en meilleure position pour discuter le cas échéant.
Je dirais même c'est l'inverse en fonction du type de dette.. Cela peut aller au maximum suffisant pour éviter le SDF.
Tardigradus avait prétendu :
Bidulette <Bidulette@chaudcourrier.con> wrote:
Soit une dette.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou
prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui
l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en
cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un
créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il
possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne
soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de
toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la
nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des
revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a
pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à
proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier
versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption
d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en
meilleure position pour discuter le cas échéant.
Je dirais même c'est l'inverse en fonction du type de dette.. Cela peut
aller au maximum suffisant pour éviter le SDF.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en meilleure position pour discuter le cas échéant.
Je dirais même c'est l'inverse en fonction du type de dette.. Cela peut aller au maximum suffisant pour éviter le SDF.
Bidulette
Le 27/02/2016 15:59, Gerard a écrit :
Tardigradus avait prétendu :
Bidulette wrote:
Soit une dette.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en meilleure position pour discuter le cas échéant.
Je dirais même c'est l'inverse en fonction du type de dette.. Cela peut aller au maximum suffisant pour éviter le SDF.
sdf? Kesako dans votre contexte?
Le 27/02/2016 15:59, Gerard a écrit :
Tardigradus avait prétendu :
Bidulette <Bidulette@chaudcourrier.con> wrote:
Soit une dette.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou
prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui
l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en
cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un
créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il
possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne
soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de
toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la
nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des
revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a
pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à
proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier
versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption
d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en
meilleure position pour discuter le cas échéant.
Je dirais même c'est l'inverse en fonction du type de dette.. Cela peut
aller au maximum suffisant pour éviter le SDF.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en meilleure position pour discuter le cas échéant.
Je dirais même c'est l'inverse en fonction du type de dette.. Cela peut aller au maximum suffisant pour éviter le SDF.
sdf? Kesako dans votre contexte?
Bidulette
Le 27/02/2016 08:42, Tardigradus a écrit :
Bidulette wrote:
Soit une dette.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en meilleure position pour discuter le cas échéant.
Merci pour votre réponse.
Une question: Si l'on s'est engagé par écrit à rembourser selon certaines mensualités, peut-on néanmoins revoir ensuite à la baisse ce montant, en l'explicitant?
Le 27/02/2016 08:42, Tardigradus a écrit :
Bidulette <Bidulette@chaudcourrier.con> wrote:
Soit une dette.
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou
prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui
l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en
cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un
créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il
possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne
soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de
toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la
nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des
revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a
pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à
proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier
versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption
d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en
meilleure position pour discuter le cas échéant.
Merci pour votre réponse.
Une question:
Si l'on s'est engagé par écrit à rembourser selon certaines mensualités,
peut-on néanmoins revoir ensuite à la baisse ce montant, en l'explicitant?
Qui peut être une dette auprès d'un service fiscal, ou d'un privé, ou prise en recouvrement par un huissier de justice, etc.
ben non. Le fait de dire que c'est une dette ne suffit pas. Selon à qui l'on doit, les conditions de remboursement, et les moyens de pression en cas de défaillance, moyen légaux s'entend, seront différents d'un créditeur à l'autre.
Dans quelle mesure, quels montants minimaux d'échéance mensuelle, est-il possible de s'engager à rembourser la dette, sans que le créancier ne soit en mesure de refuser, et qui puisse mettre à l'abri le débiteur de toute saisie bancaire ou autre tracasserie?
Ce montant minimal d'échéance admissible varie-t-il en fonction de la nature du créancier, de la nature de la dette, de son montant, ou des revenus du débiteur? Si oui, dans quelle mesure?
Tout est négociable, soit de gré à gré, soit devant le juge. Il n'y a pas de règle, pas de seuil, pas d'usages...
Souvent, une méthode efficace consiste à prendre l'initiative, à proposer soi-même un échéancier et à l'accompagner d'un premier versement. Le simple fait qu'il soit encaissé est une forte présomption d'acceptation et du montant et de la durée. Et ça met le débiteur en meilleure position pour discuter le cas échéant.
Merci pour votre réponse.
Une question: Si l'on s'est engagé par écrit à rembourser selon certaines mensualités, peut-on néanmoins revoir ensuite à la baisse ce montant, en l'explicitant?
Gloops
Le 03/03/2016 22:56, Bidulette a écrit :
Une question: Si l'on s'est engagé par écrit à rembourser selon certaines mensualités, peut-on néanmoins revoir ensuite à la baisse ce montant, en l'explicitant?
Ce n'est pas une obligation pour le créancier d'accepter, mais c'est une bonne idée si le débiteur de bonne foi n'est plus en mesure de respecter ses engagements : c'est moins cher d'accepter sa nouvelle proposition que de faire des dépenses de procédures à l'encontre de quelqu'un qui ne sera pas solvable au-delà.
On peut dire ça sans être juriste.
Donc, semble-t-il la suite de la discussion est à tenir en privé avec le créancier. Sans mettre trop de pression, car ce que je viens de dire il s'en doute bien.
Le 03/03/2016 22:56, Bidulette a écrit :
Une question:
Si l'on s'est engagé par écrit à rembourser selon certaines mensualités,
peut-on néanmoins revoir ensuite à la baisse ce montant, en l'explicitant?
Ce n'est pas une obligation pour le créancier d'accepter, mais c'est une
bonne idée si le débiteur de bonne foi n'est plus en mesure de respecter
ses engagements : c'est moins cher d'accepter sa nouvelle proposition
que de faire des dépenses de procédures à l'encontre de quelqu'un qui ne
sera pas solvable au-delà.
On peut dire ça sans être juriste.
Donc, semble-t-il la suite de la discussion est à tenir en privé avec le
créancier. Sans mettre trop de pression, car ce que je viens de dire il
s'en doute bien.
Une question: Si l'on s'est engagé par écrit à rembourser selon certaines mensualités, peut-on néanmoins revoir ensuite à la baisse ce montant, en l'explicitant?
Ce n'est pas une obligation pour le créancier d'accepter, mais c'est une bonne idée si le débiteur de bonne foi n'est plus en mesure de respecter ses engagements : c'est moins cher d'accepter sa nouvelle proposition que de faire des dépenses de procédures à l'encontre de quelqu'un qui ne sera pas solvable au-delà.
On peut dire ça sans être juriste.
Donc, semble-t-il la suite de la discussion est à tenir en privé avec le créancier. Sans mettre trop de pression, car ce que je viens de dire il s'en doute bien.