Bonjour, Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous communique l'adresse directe : http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
Bonjour,
Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisation du
téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous
communique l'adresse directe :
http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
Bonjour, Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous communique l'adresse directe : http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
gilles
On 11 avr, 13:05, "mexx" wrote:
Bonjour, Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisat ion du téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous communique l'adresse directe :http://www.cnil.fr/index.php?id88&prin t=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale... Je l'avais consulté avant de poser cette question.
On 11 avr, 13:05, "mexx" <m...@wanadoo.fr> wrote:
Bonjour,
Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisat ion du
téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous
communique l'adresse directe :http://www.cnil.fr/index.php?id=1588&prin t=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale...
Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Bonjour, Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisat ion du téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous communique l'adresse directe :http://www.cnil.fr/index.php?id88&prin t=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale... Je l'avais consulté avant de poser cette question.
moisse
Dans le message , exprime ceci:
On 11 avr, 13:05, "mexx" wrote:
Bonjour, Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous communique l'adresse directe :http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale... Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même. Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct. Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation. A+
--
Dans le message
f68059ff-4d21-4d04-b2d3-cee1285446ae@j12g2000vbl.googlegroups.com,
gilles@sauvaire.com <gilles@sauvaire.com> exprime ceci:
On 11 avr, 13:05, "mexx" <m...@wanadoo.fr> wrote:
Bonjour,
Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à
l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre
question. Je vous communique l'adresse directe
:http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale...
Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse
d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même.
Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour
un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct.
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du
salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon
fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute
interrogation.
A+
Bonjour, Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous communique l'adresse directe :http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale... Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même. Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct. Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation. A+
--
www.juristprudence.c.la
"moisse" a écrit dans le message de news: 49e0ba46$0$3532$
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même. Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct. Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Bonjour Moisse tu devrais retourner sur fmdt, cela vire maintenant au : hors sujet, à propos d'un système de surveillance des salariés ;
mais où vont-ils chercher tout ça ? ;o}
"moisse" <moisse@ifrance.etcom> a écrit dans le message de news:
49e0ba46$0$3532$426a74cc@news.free.fr...
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse d'un
magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même.
Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour
un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct.
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié
sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de
l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Bonjour Moisse
tu devrais retourner sur fmdt, cela vire maintenant au : hors sujet, à
propos d'un système de surveillance des salariés ;
"moisse" a écrit dans le message de news: 49e0ba46$0$3532$
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même. Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct. Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Bonjour Moisse tu devrais retourner sur fmdt, cela vire maintenant au : hors sujet, à propos d'un système de surveillance des salariés ;
mais où vont-ils chercher tout ça ? ;o}
faitmoipeur
On 11 avr, 18:00, "www.juristprudence.c.la" <juristprudence@°nline.fr> wrote:
"moisse" a écrit dans le message de news: 49e0ba46$0$3532$
> Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la répo nse d'un > magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même. > Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour > un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct. > Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du sal arié > sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionneme nt de > l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Bonjour Moisse tu devrais retourner sur fmdt, cela vire maintenant au : hors sujet, à propos d'un système de surveillance des salariés ;
mais où vont-ils chercher tout ça ? ;o}
Super, j'y retourne ! :o)
X.
On 11 avr, 18:00, "www.juristprudence.c.la" <juristprudence@°nline.fr>
wrote:
"moisse" <moi...@ifrance.etcom> a écrit dans le message de news:
49e0ba46$0$3532$426a7...@news.free.fr...
> Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la répo nse d'un
> magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même.
> Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour
> un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct.
> Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du sal arié
> sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionneme nt de
> l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Bonjour Moisse
tu devrais retourner sur fmdt, cela vire maintenant au : hors sujet, à
propos d'un système de surveillance des salariés ;
On 11 avr, 18:00, "www.juristprudence.c.la" <juristprudence@°nline.fr> wrote:
"moisse" a écrit dans le message de news: 49e0ba46$0$3532$
> Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la répo nse d'un > magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même. > Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour > un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct. > Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du sal arié > sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionneme nt de > l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Bonjour Moisse tu devrais retourner sur fmdt, cela vire maintenant au : hors sujet, à propos d'un système de surveillance des salariés ;
mais où vont-ils chercher tout ça ? ;o}
Super, j'y retourne ! :o)
X.
gilles
On 11 avr, 17:42, "moisse" wrote:
Dans le message , exprime ceci:
> On 11 avr, 13:05, "mexx" wrote: >> Bonjour, >> Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à >> l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre >> question. Je vous communique l'adresse directe >> :http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
> Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale... > Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la répons e d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de mêm e. Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité p our un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct. Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation. A+
-- Moisse
super,
donc du moment que l'employeur avertit qu'il écouteras les répondeurs des salariés il peut ?? sans autre obligation que d'avertir les salariés ?
ça me suffis si j'ai bon ??
On 11 avr, 17:42, "moisse" <moi...@ifrance.etcom> wrote:
Dans le message
f68059ff-4d21-4d04-b2d3-cee128544...@j12g2000vbl.googlegroups.com,
gil...@sauvaire.com <gil...@sauvaire.com> exprime ceci:
> On 11 avr, 13:05, "mexx" <m...@wanadoo.fr> wrote:
>> Bonjour,
>> Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à
>> l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre
>> question. Je vous communique l'adresse directe
>> :http://www.cnil.fr/index.php?id=1588&print=1
> Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale...
> Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la répons e
d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de mêm e.
Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité p our
un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct.
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du
salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon
fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute
interrogation.
A+
--
Moisse
super,
donc du moment que l'employeur avertit qu'il écouteras les répondeurs
des salariés il peut ??
sans autre obligation que d'avertir les salariés ?
> On 11 avr, 13:05, "mexx" wrote: >> Bonjour, >> Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à >> l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre >> question. Je vous communique l'adresse directe >> :http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
> Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale... > Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la répons e d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de mêm e. Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité p our un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct. Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation. A+
-- Moisse
super,
donc du moment que l'employeur avertit qu'il écouteras les répondeurs des salariés il peut ?? sans autre obligation que d'avertir les salariés ?
ça me suffis si j'ai bon ??
Alain Montfranc
moisse a écrit
Dans le message , exprime ceci:
On 11 avr, 13:05, "mexx" wrote:
Bonjour, Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous communique l'adresse directe :http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale... Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même.
Oh, vous savez des magistrats j'en cotoie tous les jours, et il y a des bons mais aussi des très mauvais....
Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct.
Je nuancerai : - dans des cas exceptionnels - à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
moisse a écrit
Dans le message
f68059ff-4d21-4d04-b2d3-cee1285446ae@j12g2000vbl.googlegroups.com,
gilles@sauvaire.com <gilles@sauvaire.com> exprime ceci:
On 11 avr, 13:05, "mexx" <m...@wanadoo.fr> wrote:
Bonjour,
Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à
l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre
question. Je vous communique l'adresse directe
:http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale...
Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse d'un
magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même.
Oh, vous savez des magistrats j'en cotoie tous les jours, et il y a des
bons mais aussi des très mauvais....
Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour un
employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct.
Je nuancerai :
- dans des cas exceptionnels
- à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié
sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de
l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
Bonjour, Sur le site de la CNIL, il existe un paragraphe consacré à l'utilisation du téléphone au travail et qui parait répondre à votre question. Je vous communique l'adresse directe :http://www.cnil.fr/index.php?id88&print=1
Hélas ce texte ne parle absolument pas de la boite vocale... Je l'avais consulté avant de poser cette question.
Sur le groupe spécialisé en droit du travail vous avez eu la réponse d'un magistrat, peut-être avec quelques ricanements, mais tout de même.
Oh, vous savez des magistrats j'en cotoie tous les jours, et il y a des bons mais aussi des très mauvais....
Le texte de la CNIL que vous avez consulté mentionne la possibilité pour un employeur d'intercepter une conversation téléphonique en direct.
Je nuancerai : - dans des cas exceptionnels - à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
moisse
Dans le message , Alain Montfranc exprime ceci:
Je nuancerai : - dans des cas exceptionnels - à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
Et même vider son compte en banque, violer sa fille et détourner l'héritage. Cela va comme extension et amalgame ??
--
Dans le message mn.620f7d94cae8c4b8.51095@x.con, Alain Montfranc
<x@x.con> exprime ceci:
Je nuancerai :
- dans des cas exceptionnels
- à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du
salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon
fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute
interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
Et même vider son compte en banque, violer sa fille et détourner
l'héritage.
Cela va comme extension et amalgame ??
Je nuancerai : - dans des cas exceptionnels - à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
Et même vider son compte en banque, violer sa fille et détourner l'héritage. Cela va comme extension et amalgame ??
--
Alain Montfranc
moisse a écrit
Dans le message , Alain Montfranc exprime ceci:
Je nuancerai : - dans des cas exceptionnels - à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
Et même vider son compte en banque, violer sa fille et détourner l'héritage. Cela va comme extension et amalgame ??
Si votre grandeur est est persuadée...
moisse a écrit
Dans le message mn.620f7d94cae8c4b8.51095@x.con, Alain Montfranc
<x@x.con> exprime ceci:
Je nuancerai :
- dans des cas exceptionnels
- à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du
salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon
fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute
interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
Et même vider son compte en banque, violer sa fille et détourner l'héritage.
Cela va comme extension et amalgame ??
Je nuancerai : - dans des cas exceptionnels - à condition d'avertir
Alors la consultation d'un répondeur professionel en l'absence du salarié sera toujours considéré ciomme un besoin absolu du bon fonctionnement de l'entreprise qui doit pouvoir répondre à toute interrogation.
Donc la messagerie (courriel) aussi ? Et le courrier papier aussi ?
Et même vider son compte en banque, violer sa fille et détourner l'héritage. Cela va comme extension et amalgame ??
Si votre grandeur est est persuadée...
Cyrano
"Alain Montfranc" a écrit dans le message de news:
moisse a écrit
Dans le message , exprime ceci:
>Et le courrier papier aussi ?
Ah bon, on a le droit de reçevoir du courrier perso, maintenant ? De mon temps c'était interdit dans les entreprises.
"Alain Montfranc" <x@x.con> a écrit dans le message de news:
mn.620f7d94cae8c4b8.51095@x.con...
moisse a écrit
Dans le message
f68059ff-4d21-4d04-b2d3-cee1285446ae@j12g2000vbl.googlegroups.com,
gilles@sauvaire.com <gilles@sauvaire.com> exprime ceci:
>Et le courrier papier aussi ?
Ah bon, on a le droit de reçevoir du courrier perso, maintenant ?
De mon temps c'était interdit dans les entreprises.