Pour rejeter l'autre il suffit d'associer son nom à ce que
généralement la société considère comme négatif.
Que les médias ou des anti "sectes" auto-proclamés jouent un tel jeu
nous montre leurs véritables intentions.
Notre constitution, notre charte des Droit de l'Homme et nos lois,
doivent être respectées par tous et la tolérance envers les diverses
croyances devrait être enseignée dès le plus jeune âge.
Nos lois n'empêchent aucunement quiconque de dénoncer publiquement des
dérives sectaires ni de critiquer des endoctrinements ou des
règlements (ou lois parallèles...) criminogènes et illégales portant
atteinte à nos libertés.
Les médias et anti "sectes" qui ne cessent d'utiliser le mot "sectes"
nous montrent qu'ils cherchent plus à choquer l'opinion publique et à
dresser les citoyens les uns contre les autres plutôt qu'à nous
expliquer ce qui devrait être condamné ou réformé dans certaines
organisations ou associations.
En employant un terme "miné" comme le mot "secte" - qui peut tout
aussi bien être utiliser pour rejeter une entreprise, un pays, une
association ou une simple famille - ces médias et anti-sectes nous
montrent qu'ils sont motivés par une volonté (consciente ou
inconsciente...) de destruction de nos différences et de nos libertés
individuelles.
Une telle utilisation du mot "secte" contribue à détruire ce qui fait
l'essence même de l'Homme et s''ils voulaient nous imposer leurs lois
ils ne s'y prendraient pas autrement.
Le comportement de ces gens qui se prétendent pour la plupart d'entre-
eux des défenseurs des Droits de l'Homme ne peut que nous conduire
vers de nouveaux goulags de la pensée unique.
Il est temps de réagir contre de tels "extrêmistes" car leurs propos
et généralités sont victimaires (l'autre doit disparaître).
Pour rejeter l'autre il suffit d'associer son nom à ce que
généralement la société considère comme négatif.
Que les médias ou des anti "sectes" auto-proclamés jouent un tel jeu
nous montre leurs véritables intentions.
Notre constitution, notre charte des Droit de l'Homme et nos lois,
doivent être respectées par tous et la tolérance envers les diverses
croyances devrait être enseignée dès le plus jeune âge.
Nos lois n'empêchent aucunement quiconque de dénoncer publiquement des
dérives sectaires ni de critiquer des endoctrinements ou des
règlements (ou lois parallèles...) criminogènes et illégales portant
atteinte à nos libertés.
Les médias et anti "sectes" qui ne cessent d'utiliser le mot "sectes"
nous montrent qu'ils cherchent plus à choquer l'opinion publique et à
dresser les citoyens les uns contre les autres plutôt qu'à nous
expliquer ce qui devrait être condamné ou réformé dans certaines
organisations ou associations.
En employant un terme "miné" comme le mot "secte" - qui peut tout
aussi bien être utiliser pour rejeter une entreprise, un pays, une
association ou une simple famille - ces médias et anti-sectes nous
montrent qu'ils sont motivés par une volonté (consciente ou
inconsciente...) de destruction de nos différences et de nos libertés
individuelles.
Une telle utilisation du mot "secte" contribue à détruire ce qui fait
l'essence même de l'Homme et s''ils voulaient nous imposer leurs lois
ils ne s'y prendraient pas autrement.
Le comportement de ces gens qui se prétendent pour la plupart d'entre-
eux des défenseurs des Droits de l'Homme ne peut que nous conduire
vers de nouveaux goulags de la pensée unique.
Il est temps de réagir contre de tels "extrêmistes" car leurs propos
et généralités sont victimaires (l'autre doit disparaître).
Pour rejeter l'autre il suffit d'associer son nom à ce que
généralement la société considère comme négatif.
Que les médias ou des anti "sectes" auto-proclamés jouent un tel jeu
nous montre leurs véritables intentions.
Notre constitution, notre charte des Droit de l'Homme et nos lois,
doivent être respectées par tous et la tolérance envers les diverses
croyances devrait être enseignée dès le plus jeune âge.
Nos lois n'empêchent aucunement quiconque de dénoncer publiquement des
dérives sectaires ni de critiquer des endoctrinements ou des
règlements (ou lois parallèles...) criminogènes et illégales portant
atteinte à nos libertés.
Les médias et anti "sectes" qui ne cessent d'utiliser le mot "sectes"
nous montrent qu'ils cherchent plus à choquer l'opinion publique et à
dresser les citoyens les uns contre les autres plutôt qu'à nous
expliquer ce qui devrait être condamné ou réformé dans certaines
organisations ou associations.
En employant un terme "miné" comme le mot "secte" - qui peut tout
aussi bien être utiliser pour rejeter une entreprise, un pays, une
association ou une simple famille - ces médias et anti-sectes nous
montrent qu'ils sont motivés par une volonté (consciente ou
inconsciente...) de destruction de nos différences et de nos libertés
individuelles.
Une telle utilisation du mot "secte" contribue à détruire ce qui fait
l'essence même de l'Homme et s''ils voulaient nous imposer leurs lois
ils ne s'y prendraient pas autrement.
Le comportement de ces gens qui se prétendent pour la plupart d'entre-
eux des défenseurs des Droits de l'Homme ne peut que nous conduire
vers de nouveaux goulags de la pensée unique.
Il est temps de réagir contre de tels "extrêmistes" car leurs propos
et généralités sont victimaires (l'autre doit disparaître).
Le 17/02/2013 11:18, anti-scientologie a écrit :Pour rejeter l'autre il suffit d'associer son nom à ce que
généralement la société considère comme négatif.
Que les médias ou des anti "sectes" auto-proclamés jouent un tel jeu
nous montre leurs véritables intentions.
Notre constitution, notre charte des Droit de l'Homme et nos lois,
doivent être respectées par tous et la tolérance envers les diverses
croyances devrait être enseignée dès le plus jeune âge.
Nos lois n'empêchent aucunement quiconque de dénoncer publiquement des
dérives sectaires ni de critiquer des endoctrinements ou des
règlements (ou lois parallèles...) criminogènes et illégales portant
atteinte à nos libertés.
Les médias et anti "sectes" qui ne cessent d'utiliser le mot "sectes"
nous montrent qu'ils cherchent plus à choquer l'opinion publique et à
dresser les citoyens les uns contre les autres plutôt qu'à nous
expliquer ce qui devrait être condamné ou réformé dans certaines
organisations ou associations.
En employant un terme "miné" comme le mot "secte" - qui peut tout
aussi bien être utiliser pour rejeter une entreprise, un pays, une
association ou une simple famille - ces médias et anti-sectes nous
montrent qu'ils sont motivés par une volonté (consciente ou
inconsciente...) de destruction de nos différences et de nos libertés
individuelles.
Une telle utilisation du mot "secte" contribue à détruire ce qui fait
l'essence même de l'Homme et s''ils voulaient nous imposer leurs lois
ils ne s'y prendraient pas autrement.
Le comportement de ces gens qui se prétendent pour la plupart d'entre-
eux des défenseurs des Droits de l'Homme ne peut que nous conduire
vers de nouveaux goulags de la pensée unique.
Il est temps de réagir contre de tels "extrêmistes" car leurs propos
et généralités sont victimaires (l'autre doit disparaître).
Les sectaires et les meutes sectaires détestent être reconnus pour ce
qu'ils sont. Ici la preuve est faite par lui-même que Jean-Luc Barbier
roule pour la scientologie.
Je suis né dans une secte, et ai mis longtemps à reconnaître son
totalitarisme et sa totale malhonnêteté : héritière de féministe
historique, ma môman a développé son misandrisme victimaire et sa
guerre sexiste (inclusivement contre moi-même) pour se justifier ses
échecs professionnels et académiques : personne ne voulait se fader, ni
en 3e cycle, ni en professions, une telle militante envahissante et
fanatique, aux raisonnements hâtifs et outrecuidants.
J'ai grandi entouré d'un catholicisme sectaire, raciste et totalitaire,
un catholicisme de guerre civile, qui à Grenoble profitait de la Guerre
Froide et des guerres coloniales pour reprendre sa guerre civile là où
la Libération l'avait interrompue. J'ai grandi sous les cris de "A mort
les païens !" hurlés par les petits bourges cathos qui tabassaient les
juifs, les fils de communistes, les incroyants, et moindrement les
protestants : année scolaire 1952-1953, Petit Lycée Champollion.
Depuis ce temps-là, j'ai durement appris qu'il n'y a de paix civile que
dans la stricte mesure où les sectes apprennent, et apprennent de
force, à respecter la laïcité et les lois de la République. A force,
les cathos ont fini par apprendre à faire profil bas, comme avant eux
les protestants avaient appris à le faire. Une large partie des
musulmans, notamment ceux sous influence salafiste, n'ont encore rien
appris de semblable, persistent à se laisser organiser pour la guerre
de conquête, et rêvent toujours de nous soumettre ou nous exterminer.
Au quotidien, nous subissons leurs incivilités et leurs magouilles de
conquérants (voire mafieux) qui ne respectent aucune limite.
Pour adhérer à un chef de meute (variante : à un chef de secte), pour
se joindre à un chef de meute pour tabasser ceux qui lui déplaisent
(variante : pour massacrer les "infidèles"), point n'est besoin d'un
néo-cortex humain, la réflexivité humaine est au contraire indésirable,
l'éthique humaine et le Grand-Livre comptable des loyautés dues, sis
dans le cortex frontal humain et caractéristiques de l'espèce humaine
sont indésirables encore plus : les noyaux gris centraux suffisent,
c'est une compétence reptilienne. Des sauriens y arrivent très bien,
dès qu'ils sont d'une espèce sociable, sujette à migrations en
troupeaux.
On peut renoncer à l'illusion béate que nous pourrions avoir le droit
d'être incroyants ou de devenir incroyants, sans avoir à combattre les
différentes sectes, les divers chefs de sectes. C'est un rêve que de
croire économiser ces luttes, mais ce rêve est suicidaire. Les sectes
et les meutes sectaires, et d'une manière générale les pervers, ne
respectent que la force.
Le 17/02/2013 11:18, anti-scientologie a écrit :
Pour rejeter l'autre il suffit d'associer son nom à ce que
généralement la société considère comme négatif.
Que les médias ou des anti "sectes" auto-proclamés jouent un tel jeu
nous montre leurs véritables intentions.
Notre constitution, notre charte des Droit de l'Homme et nos lois,
doivent être respectées par tous et la tolérance envers les diverses
croyances devrait être enseignée dès le plus jeune âge.
Nos lois n'empêchent aucunement quiconque de dénoncer publiquement des
dérives sectaires ni de critiquer des endoctrinements ou des
règlements (ou lois parallèles...) criminogènes et illégales portant
atteinte à nos libertés.
Les médias et anti "sectes" qui ne cessent d'utiliser le mot "sectes"
nous montrent qu'ils cherchent plus à choquer l'opinion publique et à
dresser les citoyens les uns contre les autres plutôt qu'à nous
expliquer ce qui devrait être condamné ou réformé dans certaines
organisations ou associations.
En employant un terme "miné" comme le mot "secte" - qui peut tout
aussi bien être utiliser pour rejeter une entreprise, un pays, une
association ou une simple famille - ces médias et anti-sectes nous
montrent qu'ils sont motivés par une volonté (consciente ou
inconsciente...) de destruction de nos différences et de nos libertés
individuelles.
Une telle utilisation du mot "secte" contribue à détruire ce qui fait
l'essence même de l'Homme et s''ils voulaient nous imposer leurs lois
ils ne s'y prendraient pas autrement.
Le comportement de ces gens qui se prétendent pour la plupart d'entre-
eux des défenseurs des Droits de l'Homme ne peut que nous conduire
vers de nouveaux goulags de la pensée unique.
Il est temps de réagir contre de tels "extrêmistes" car leurs propos
et généralités sont victimaires (l'autre doit disparaître).
Les sectaires et les meutes sectaires détestent être reconnus pour ce
qu'ils sont. Ici la preuve est faite par lui-même que Jean-Luc Barbier
roule pour la scientologie.
Je suis né dans une secte, et ai mis longtemps à reconnaître son
totalitarisme et sa totale malhonnêteté : héritière de féministe
historique, ma môman a développé son misandrisme victimaire et sa
guerre sexiste (inclusivement contre moi-même) pour se justifier ses
échecs professionnels et académiques : personne ne voulait se fader, ni
en 3e cycle, ni en professions, une telle militante envahissante et
fanatique, aux raisonnements hâtifs et outrecuidants.
J'ai grandi entouré d'un catholicisme sectaire, raciste et totalitaire,
un catholicisme de guerre civile, qui à Grenoble profitait de la Guerre
Froide et des guerres coloniales pour reprendre sa guerre civile là où
la Libération l'avait interrompue. J'ai grandi sous les cris de "A mort
les païens !" hurlés par les petits bourges cathos qui tabassaient les
juifs, les fils de communistes, les incroyants, et moindrement les
protestants : année scolaire 1952-1953, Petit Lycée Champollion.
Depuis ce temps-là, j'ai durement appris qu'il n'y a de paix civile que
dans la stricte mesure où les sectes apprennent, et apprennent de
force, à respecter la laïcité et les lois de la République. A force,
les cathos ont fini par apprendre à faire profil bas, comme avant eux
les protestants avaient appris à le faire. Une large partie des
musulmans, notamment ceux sous influence salafiste, n'ont encore rien
appris de semblable, persistent à se laisser organiser pour la guerre
de conquête, et rêvent toujours de nous soumettre ou nous exterminer.
Au quotidien, nous subissons leurs incivilités et leurs magouilles de
conquérants (voire mafieux) qui ne respectent aucune limite.
Pour adhérer à un chef de meute (variante : à un chef de secte), pour
se joindre à un chef de meute pour tabasser ceux qui lui déplaisent
(variante : pour massacrer les "infidèles"), point n'est besoin d'un
néo-cortex humain, la réflexivité humaine est au contraire indésirable,
l'éthique humaine et le Grand-Livre comptable des loyautés dues, sis
dans le cortex frontal humain et caractéristiques de l'espèce humaine
sont indésirables encore plus : les noyaux gris centraux suffisent,
c'est une compétence reptilienne. Des sauriens y arrivent très bien,
dès qu'ils sont d'une espèce sociable, sujette à migrations en
troupeaux.
On peut renoncer à l'illusion béate que nous pourrions avoir le droit
d'être incroyants ou de devenir incroyants, sans avoir à combattre les
différentes sectes, les divers chefs de sectes. C'est un rêve que de
croire économiser ces luttes, mais ce rêve est suicidaire. Les sectes
et les meutes sectaires, et d'une manière générale les pervers, ne
respectent que la force.
Le 17/02/2013 11:18, anti-scientologie a écrit :Pour rejeter l'autre il suffit d'associer son nom à ce que
généralement la société considère comme négatif.
Que les médias ou des anti "sectes" auto-proclamés jouent un tel jeu
nous montre leurs véritables intentions.
Notre constitution, notre charte des Droit de l'Homme et nos lois,
doivent être respectées par tous et la tolérance envers les diverses
croyances devrait être enseignée dès le plus jeune âge.
Nos lois n'empêchent aucunement quiconque de dénoncer publiquement des
dérives sectaires ni de critiquer des endoctrinements ou des
règlements (ou lois parallèles...) criminogènes et illégales portant
atteinte à nos libertés.
Les médias et anti "sectes" qui ne cessent d'utiliser le mot "sectes"
nous montrent qu'ils cherchent plus à choquer l'opinion publique et à
dresser les citoyens les uns contre les autres plutôt qu'à nous
expliquer ce qui devrait être condamné ou réformé dans certaines
organisations ou associations.
En employant un terme "miné" comme le mot "secte" - qui peut tout
aussi bien être utiliser pour rejeter une entreprise, un pays, une
association ou une simple famille - ces médias et anti-sectes nous
montrent qu'ils sont motivés par une volonté (consciente ou
inconsciente...) de destruction de nos différences et de nos libertés
individuelles.
Une telle utilisation du mot "secte" contribue à détruire ce qui fait
l'essence même de l'Homme et s''ils voulaient nous imposer leurs lois
ils ne s'y prendraient pas autrement.
Le comportement de ces gens qui se prétendent pour la plupart d'entre-
eux des défenseurs des Droits de l'Homme ne peut que nous conduire
vers de nouveaux goulags de la pensée unique.
Il est temps de réagir contre de tels "extrêmistes" car leurs propos
et généralités sont victimaires (l'autre doit disparaître).
Les sectaires et les meutes sectaires détestent être reconnus pour ce
qu'ils sont. Ici la preuve est faite par lui-même que Jean-Luc Barbier
roule pour la scientologie.
Je suis né dans une secte, et ai mis longtemps à reconnaître son
totalitarisme et sa totale malhonnêteté : héritière de féministe
historique, ma môman a développé son misandrisme victimaire et sa
guerre sexiste (inclusivement contre moi-même) pour se justifier ses
échecs professionnels et académiques : personne ne voulait se fader, ni
en 3e cycle, ni en professions, une telle militante envahissante et
fanatique, aux raisonnements hâtifs et outrecuidants.
J'ai grandi entouré d'un catholicisme sectaire, raciste et totalitaire,
un catholicisme de guerre civile, qui à Grenoble profitait de la Guerre
Froide et des guerres coloniales pour reprendre sa guerre civile là où
la Libération l'avait interrompue. J'ai grandi sous les cris de "A mort
les païens !" hurlés par les petits bourges cathos qui tabassaient les
juifs, les fils de communistes, les incroyants, et moindrement les
protestants : année scolaire 1952-1953, Petit Lycée Champollion.
Depuis ce temps-là, j'ai durement appris qu'il n'y a de paix civile que
dans la stricte mesure où les sectes apprennent, et apprennent de
force, à respecter la laïcité et les lois de la République. A force,
les cathos ont fini par apprendre à faire profil bas, comme avant eux
les protestants avaient appris à le faire. Une large partie des
musulmans, notamment ceux sous influence salafiste, n'ont encore rien
appris de semblable, persistent à se laisser organiser pour la guerre
de conquête, et rêvent toujours de nous soumettre ou nous exterminer.
Au quotidien, nous subissons leurs incivilités et leurs magouilles de
conquérants (voire mafieux) qui ne respectent aucune limite.
Pour adhérer à un chef de meute (variante : à un chef de secte), pour
se joindre à un chef de meute pour tabasser ceux qui lui déplaisent
(variante : pour massacrer les "infidèles"), point n'est besoin d'un
néo-cortex humain, la réflexivité humaine est au contraire indésirable,
l'éthique humaine et le Grand-Livre comptable des loyautés dues, sis
dans le cortex frontal humain et caractéristiques de l'espèce humaine
sont indésirables encore plus : les noyaux gris centraux suffisent,
c'est une compétence reptilienne. Des sauriens y arrivent très bien,
dès qu'ils sont d'une espèce sociable, sujette à migrations en
troupeaux.
On peut renoncer à l'illusion béate que nous pourrions avoir le droit
d'être incroyants ou de devenir incroyants, sans avoir à combattre les
différentes sectes, les divers chefs de sectes. C'est un rêve que de
croire économiser ces luttes, mais ce rêve est suicidaire. Les sectes
et les meutes sectaires, et d'une manière générale les pervers, ne
respectent que la force.