Des essais de nouvelles juxtapositions, toujours dans l'esprit de
rendre
plus claires les images, ainsi que les suites d'images :
-(3 pages) dont deux images en mouvement avec son sous forme de
mélodie :
http://www.octav.fr/quotidien/08-01-26/26jan08.html
-(2 pages) essai de mettre du son avec une image fixe, son qui ne
ferait
qu'un avec l'image :
http://www.octav.fr/quotidien/08-03-01/01mar08.html
-(1 page) intégration d'une image avec un morceau de texte lu :
http://www.octav.fr/quotidien/08-03-02/02mar08.html
-(10 pages) même chose dans une suite :
http://www.octav.fr/quotidien/08-03-06/06mar08.html
(Les deux pages ci-dessus ne sont pas reliées à la page d'accueil du
site, dans l'attente d'une réponse de la part de l'éditeur pour
l'utilisation du texte. Elles seront retirées en cas de réponse
négative.)
Merci de vos commentaires, surtout pour les pages ci-dessus
Encore quelques suites simples (de photos seules) :
-(5 pages) au dessus de la route, sur l'ancienne ligne de chemin de
fer :
http://www.octav.fr/quotidien/08-01-20/20jan08.html
-(16 pages) au bord du Lez :
http://www.octav.fr/quotidien/08-01-27/27jan08.html
-(16 pages) en attendant qu'il cesse de pleuvoir, petite balade et
retour :
http://www.octav.fr/quotidien/08-02-03/3fev08.html
-(24 pages) fin de jour, beaucoup de noir :
http://www.octav.fr/quotidien/08-02-22/22fev08.html
-(41 pages) dans la forêt, beaucoup de pierres :
http://www.octav.fr/quotidien/08-02-23/23fev08.html
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 482310ff$0$871$
FiLH a écrit ( 1igmd5h.1f2tfdx5i0v3cN% )
Son discours est d'un narcissisme absolu - c'est toujours l'exposé de *lui*, de sa démarche, de ses motivations, de sa recherche, de ses doutes, de ses envies - et tout ça sans jamais aucune portée théorique. Un manque consternant de références, de connaissances, de perspectives, une sorte de médiocrité même pas revendiquée puisqu'au fil des échanges il dit s'améliorer.
ah si moi je comprenait qu'il améliorait sa médiocrité
c'est pas ça ??
jpw
"Bour-Brown" <Bour-Brown@wnd.fr> a écrit dans le message de news:
482310ff$0$871$ba4acef3@news.orange.fr...
FiLH a écrit
( 1igmd5h.1f2tfdx5i0v3cN%filh@filh.orgie )
Son discours est d'un narcissisme absolu - c'est toujours l'exposé de
*lui*,
de sa démarche, de ses motivations, de sa recherche, de ses doutes, de
ses envies - et tout ça sans jamais aucune portée théorique. Un manque
consternant de références, de connaissances, de perspectives, une sorte de
médiocrité même pas revendiquée puisqu'au fil des échanges il dit
s'améliorer.
ah si moi je comprenait qu'il améliorait sa médiocrité
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 482310ff$0$871$
FiLH a écrit ( 1igmd5h.1f2tfdx5i0v3cN% )
Son discours est d'un narcissisme absolu - c'est toujours l'exposé de *lui*, de sa démarche, de ses motivations, de sa recherche, de ses doutes, de ses envies - et tout ça sans jamais aucune portée théorique. Un manque consternant de références, de connaissances, de perspectives, une sorte de médiocrité même pas revendiquée puisqu'au fil des échanges il dit s'améliorer.
ah si moi je comprenait qu'il améliorait sa médiocrité
c'est pas ça ??
jpw
filh
Jean-Claude Ghislain wrote:
Je suis désolé mais tu disais approuver une phrase qui disait que le flou est une pauvreté intellectuelle...
Le flou en général pas forcément, le flou à la Octave je trouve cela effectivement très pauvre.
C'est là où je suis fort déçu de ta part.
On ne peut pas être toujours d'accord sur tout, ce serait monotone ;-))
Il y a des base quand même. Que tu n'aimes pas ce que fait Octave j'avoue que ce n'est pas cela qui me décevra de ta part. Je sais que tu as des goûts et des affections précises.
Que tu enfourches le cheval miteux de Bour Brown oui cela me désolerait. Car bon au delà de nos différences de goût je crois que nous pouvons discuter toi et moi, ce qui n'est pas le cas de BB.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain <jcg@grimart.invalid> wrote:
Je suis désolé mais tu disais approuver une phrase qui disait que le
flou est une pauvreté intellectuelle...
Le flou en général pas forcément, le flou à la Octave je trouve cela
effectivement très pauvre.
C'est là où je suis fort déçu de ta part.
On ne peut pas être toujours d'accord sur tout, ce serait monotone ;-))
Il y a des base quand même. Que tu n'aimes pas ce que fait Octave
j'avoue que ce n'est pas cela qui me décevra de ta part. Je sais que tu
as des goûts et des affections précises.
Que tu enfourches le cheval miteux de Bour Brown oui cela me désolerait.
Car bon au delà de nos différences de goût je crois que nous pouvons
discuter toi et moi, ce qui n'est pas le cas de BB.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je suis désolé mais tu disais approuver une phrase qui disait que le flou est une pauvreté intellectuelle...
Le flou en général pas forcément, le flou à la Octave je trouve cela effectivement très pauvre.
C'est là où je suis fort déçu de ta part.
On ne peut pas être toujours d'accord sur tout, ce serait monotone ;-))
Il y a des base quand même. Que tu n'aimes pas ce que fait Octave j'avoue que ce n'est pas cela qui me décevra de ta part. Je sais que tu as des goûts et des affections précises.
Que tu enfourches le cheval miteux de Bour Brown oui cela me désolerait. Car bon au delà de nos différences de goût je crois que nous pouvons discuter toi et moi, ce qui n'est pas le cas de BB.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain
Que tu enfourches le cheval miteux de Bour Brown oui cela me désolerait.
Bour-Brown et moi sommes loin d'être toujours d'accord, mais sur le cas d'Octave, il y a quelques convergences.
Car bon au delà de nos différences de goût je crois que nous pouvons discuter toi et moi, ce qui n'est pas le cas de BB.
Nous pouvons effectivement discuter, c'est même un plaisir, quant à BB, je ne peux répondre pour lui.
-- JCG
Que tu enfourches le cheval miteux de Bour Brown oui cela me
désolerait.
Bour-Brown et moi sommes loin d'être toujours d'accord, mais sur le cas
d'Octave, il y a quelques convergences.
Car bon au delà de nos différences de goût je crois que nous pouvons
discuter toi et moi, ce qui n'est pas le cas de BB.
Nous pouvons effectivement discuter, c'est même un plaisir, quant à BB,
je ne peux répondre pour lui.
Que tu enfourches le cheval miteux de Bour Brown oui cela me désolerait.
Bour-Brown et moi sommes loin d'être toujours d'accord, mais sur le cas d'Octave, il y a quelques convergences.
Car bon au delà de nos différences de goût je crois que nous pouvons discuter toi et moi, ce qui n'est pas le cas de BB.
Nous pouvons effectivement discuter, c'est même un plaisir, quant à BB, je ne peux répondre pour lui.
-- JCG
Octave
FiLH avait prétendu :
Octave est dans le flux...
Je n'y avais pas pensé. Une question, c'est de savoir si ce flux, cette source doit s'assécher, quand, pourquoi, et est-ce important ?...
Et je crois que la photo amateur française passe complètement à côté de la plaque.
Je ne comprends de quoi tu parles, j'ai pensé d'abord à la photo de famille, mais ce ne doit pas être ça ?!
Il y a eu tellement de photos tellement d'images qu'il est vain de continuer d'en faire...encore du flou ? Encore du net ? Encore encore encore ? Quelle est donc cette vanité qui nous pousse à photographier encore ?
On dit qu'Octave feint des choses, mais il se pose la question de cette vanité, il la met en oeuvre en scène.
Je suis d'accord, je peux juste ajouter, lié à ça, la question de la qualité et donc du choix des clichés. Parce qu'après le "faire", il y a le "regarder", différent.
Enfin, sur le sujet des photos je trouve les choses très singulières : je me retrouve en terrain très familier, même si je ne fais pas tout à fait les mêmes photos, mais cette attention à des petits riens même pas vraiment remarquable, se perdre dans trois cailloux, un enchevêtrement d'herbes... des couleurs... à se perdre et se reperdre dans un paysage familier, dans des chemins cent fois parcourrus.
Il y a pour moi quelque chose d'humain là dedans : comme l'émotion que j'ai à voir ma femme : elle n'est pas exceptionnelle, ce n'est pas un modèle de playboy, et pourtant j'y prend un plaisir subtil, renouvellé. Les bas côtés d'Octave sont un peu pareil : ce n'est pas du pitoresque grandiose, c'est juste le petit plaisir renouvelable à l'infini, toujours le même et toujours un peu différent...
Joli, comme quoi ce que je fais peut passer dans le regard de l'autre. On me dit assez souvent le contraire. C'est agréable, cette compréhension.
-- Octave www.octav.fr
FiLH avait prétendu :
Octave est dans le flux...
Je n'y avais pas pensé.
Une question, c'est de savoir si ce flux, cette source doit s'assécher,
quand, pourquoi, et est-ce important ?...
Et je crois que la photo amateur française passe
complètement à côté de la plaque.
Je ne comprends de quoi tu parles, j'ai pensé d'abord à la photo de
famille, mais ce ne doit pas être ça ?!
Il y a eu tellement de photos tellement d'images qu'il est vain de
continuer d'en faire...encore du flou ? Encore du net ? Encore encore
encore ? Quelle est donc cette vanité qui nous pousse à photographier
encore ?
On dit qu'Octave feint des choses, mais il se pose la question de cette
vanité, il la met en oeuvre en scène.
Je suis d'accord, je peux juste ajouter, lié à ça, la question de la
qualité et donc du choix des clichés. Parce qu'après le "faire", il y a
le "regarder", différent.
Enfin, sur le sujet des photos je trouve les choses très singulières :
je me retrouve en terrain très familier, même si je ne fais pas tout à
fait les mêmes photos, mais cette attention à des petits riens même pas
vraiment remarquable, se perdre dans trois cailloux, un enchevêtrement
d'herbes... des couleurs... à se perdre et se reperdre dans un paysage
familier, dans des chemins cent fois parcourrus.
Il y a pour moi quelque chose d'humain là dedans : comme l'émotion que
j'ai à voir ma femme : elle n'est pas exceptionnelle, ce n'est pas un
modèle de playboy, et pourtant j'y prend un plaisir subtil, renouvellé.
Les bas côtés d'Octave sont un peu pareil : ce n'est pas du pitoresque
grandiose, c'est juste le petit plaisir renouvelable à l'infini,
toujours le même et toujours un peu différent...
Joli, comme quoi ce que je fais peut passer dans le regard de l'autre.
On me dit assez souvent le contraire. C'est agréable, cette
compréhension.
Je n'y avais pas pensé. Une question, c'est de savoir si ce flux, cette source doit s'assécher, quand, pourquoi, et est-ce important ?...
Et je crois que la photo amateur française passe complètement à côté de la plaque.
Je ne comprends de quoi tu parles, j'ai pensé d'abord à la photo de famille, mais ce ne doit pas être ça ?!
Il y a eu tellement de photos tellement d'images qu'il est vain de continuer d'en faire...encore du flou ? Encore du net ? Encore encore encore ? Quelle est donc cette vanité qui nous pousse à photographier encore ?
On dit qu'Octave feint des choses, mais il se pose la question de cette vanité, il la met en oeuvre en scène.
Je suis d'accord, je peux juste ajouter, lié à ça, la question de la qualité et donc du choix des clichés. Parce qu'après le "faire", il y a le "regarder", différent.
Enfin, sur le sujet des photos je trouve les choses très singulières : je me retrouve en terrain très familier, même si je ne fais pas tout à fait les mêmes photos, mais cette attention à des petits riens même pas vraiment remarquable, se perdre dans trois cailloux, un enchevêtrement d'herbes... des couleurs... à se perdre et se reperdre dans un paysage familier, dans des chemins cent fois parcourrus.
Il y a pour moi quelque chose d'humain là dedans : comme l'émotion que j'ai à voir ma femme : elle n'est pas exceptionnelle, ce n'est pas un modèle de playboy, et pourtant j'y prend un plaisir subtil, renouvellé. Les bas côtés d'Octave sont un peu pareil : ce n'est pas du pitoresque grandiose, c'est juste le petit plaisir renouvelable à l'infini, toujours le même et toujours un peu différent...
Joli, comme quoi ce que je fais peut passer dans le regard de l'autre. On me dit assez souvent le contraire. C'est agréable, cette compréhension.
-- Octave www.octav.fr
filh
Bour-Brown wrote:
FiLH a écrit ( 1igmd5h.1f2tfdx5i0v3cN% )
Je m'explique : la vision traditionnelle de la photo est qu'elle doit montrer quelque chose d'intéressant, de remarquable, de pitoresque.
Si je comprends bien il s'agit de repérer un mécanisme pour s'en distancier.
Non tu comprends mal.
Il n'y a pas de volonté de se distancier (il ne s'agit pas de faire différent à tout prix), mais il y a constatation d'une distanciation.
Tu tombes - une fois de plus - dans la carricature facile.
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le sarcasme facile...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <Bour-Brown@wnd.fr> wrote:
FiLH a écrit
( 1igmd5h.1f2tfdx5i0v3cN%filh@filh.orgie )
Je m'explique : la vision traditionnelle de la photo est qu'elle doit
montrer quelque chose d'intéressant, de remarquable, de pitoresque.
Si je comprends bien il s'agit de repérer un mécanisme pour s'en distancier.
Non tu comprends mal.
Il n'y a pas de volonté de se distancier (il ne s'agit pas de faire
différent à tout prix), mais il y a constatation d'une distanciation.
Tu tombes - une fois de plus - dans la carricature facile.
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le
sarcasme facile...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je m'explique : la vision traditionnelle de la photo est qu'elle doit montrer quelque chose d'intéressant, de remarquable, de pitoresque.
Si je comprends bien il s'agit de repérer un mécanisme pour s'en distancier.
Non tu comprends mal.
Il n'y a pas de volonté de se distancier (il ne s'agit pas de faire différent à tout prix), mais il y a constatation d'une distanciation.
Tu tombes - une fois de plus - dans la carricature facile.
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le sarcasme facile...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jpw
-- J'avais 20ans en 1968 http://20ansen68.com "FiLH" a écrit
Si je comprends bien il s'agit de repérer un mécanisme pour s'en distancier.
Non tu comprends mal.
Il n'y a pas de volonté de se distancier (il ne s'agit pas de faire différent à tout prix), mais il y a constatation d'une distanciation.
ah oui il fait même pas exprès ??
j'avais proposé à octave, tout à fait au début qu'il a fait son apparition ici de mettre son apn dans un sac à dos avec un intervalomètre et donc de photographier au pif derrière lui
tudieu !
ça ça aurait fat de la photo d'art !!!
quelle constatation de la distanciation !!
au livre guiness des recods
faudrait juste trouver comment ça se mesure la distanciation !
jpw
--
J'avais 20ans en 1968
http://20ansen68.com
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
Si je comprends bien il s'agit de repérer un mécanisme pour s'en
distancier.
Non tu comprends mal.
Il n'y a pas de volonté de se distancier (il ne s'agit pas de faire
différent à tout prix), mais il y a constatation d'une distanciation.
ah oui il fait même pas exprès ??
j'avais proposé à octave,
tout à fait au début qu'il a fait son apparition ici
de mettre son apn dans un sac à dos avec un intervalomètre
et donc de photographier au pif derrière lui
tudieu !
ça ça aurait fat de la photo d'art !!!
quelle constatation de la distanciation !!
au livre guiness des recods
faudrait juste trouver comment ça se mesure la distanciation !
-- J'avais 20ans en 1968 http://20ansen68.com "FiLH" a écrit
Si je comprends bien il s'agit de repérer un mécanisme pour s'en distancier.
Non tu comprends mal.
Il n'y a pas de volonté de se distancier (il ne s'agit pas de faire différent à tout prix), mais il y a constatation d'une distanciation.
ah oui il fait même pas exprès ??
j'avais proposé à octave, tout à fait au début qu'il a fait son apparition ici de mettre son apn dans un sac à dos avec un intervalomètre et donc de photographier au pif derrière lui
tudieu !
ça ça aurait fat de la photo d'art !!!
quelle constatation de la distanciation !!
au livre guiness des recods
faudrait juste trouver comment ça se mesure la distanciation !
jpw
filh
Octave wrote:
FiLH avait prétendu :
Octave est dans le flux...
Je n'y avais pas pensé. Une question, c'est de savoir si ce flux, cette source doit s'assécher, quand, pourquoi, et est-ce important ?...
Non :)
Et je crois que la photo amateur française passe complètement à côté de la plaque.
Je ne comprends de quoi tu parles, j'ai pensé d'abord à la photo de famille, mais ce ne doit pas être ça ?!
Non, je parles de la photo pitorresque remarquable qui a une importance en soit. Celle qu'on se bichone pour qu'elle soit plus « ressemblante ».
Je crois que la photo est devenue jetables, consommable pas très importante elle va montrer un instant comme les autres. La photo de famille finallement en est très proche : ces photos d'anniversaire par exemple qu'on regarde une fois et qu'on oublie et qui ressemblent à toutes les photos d'anniversaire :) Si on les loupes ce ne sera pas très grave, si on les réussi tant mieux. Mais elles ne valent pas tant que ça en tant que photo. Elles peuvent-être faibles. Elles appellent à une conivence qui se fait plus sur l'intime, sur le partage d'une expérience.
Une photo d'anniversaire ne montre pas « quelque chose ». Elle établit un lien, on la regarde avec plaisir parce qu'on partage quelque chose d'autre qui n'est pas sur la photo (la relation familiale, le souvenir de l'instant).
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut montrer « quelque chose » veut être belle par elle même?
Il y a bien sûr après un paradoxe puisque tu en fais quelque chose de ces photos. Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins, et que ce que tu fais en plus ne correspond pas à « ce que doit être une photo ». Bref c'est à proprement parler invisible.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave <octavoctav@wanadoo.fr> wrote:
FiLH avait prétendu :
Octave est dans le flux...
Je n'y avais pas pensé.
Une question, c'est de savoir si ce flux, cette source doit s'assécher,
quand, pourquoi, et est-ce important ?...
Non :)
Et je crois que la photo amateur française passe
complètement à côté de la plaque.
Je ne comprends de quoi tu parles, j'ai pensé d'abord à la photo de
famille, mais ce ne doit pas être ça ?!
Non, je parles de la photo pitorresque remarquable qui a une importance
en soit. Celle qu'on se bichone pour qu'elle soit plus « ressemblante ».
Je crois que la photo est devenue jetables, consommable pas très
importante elle va montrer un instant comme les autres. La photo de
famille finallement en est très proche : ces photos d'anniversaire par
exemple qu'on regarde une fois et qu'on oublie et qui ressemblent à
toutes les photos d'anniversaire :)
Si on les loupes ce ne sera pas très grave, si on les réussi tant mieux.
Mais elles ne valent pas tant que ça en tant que photo.
Elles peuvent-être faibles.
Elles appellent à une conivence qui se fait plus sur l'intime, sur le
partage d'une expérience.
Une photo d'anniversaire ne montre pas « quelque chose ». Elle établit
un lien, on la regarde avec plaisir parce qu'on partage quelque chose
d'autre qui n'est pas sur la photo (la relation familiale, le souvenir
de l'instant).
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut
montrer « quelque chose » veut être belle par elle même?
Il y a bien sûr après un paradoxe puisque tu en fais quelque chose de
ces photos.
Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens
capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins, et que ce que
tu fais en plus ne correspond pas à « ce que doit être une photo ». Bref
c'est à proprement parler invisible.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je n'y avais pas pensé. Une question, c'est de savoir si ce flux, cette source doit s'assécher, quand, pourquoi, et est-ce important ?...
Non :)
Et je crois que la photo amateur française passe complètement à côté de la plaque.
Je ne comprends de quoi tu parles, j'ai pensé d'abord à la photo de famille, mais ce ne doit pas être ça ?!
Non, je parles de la photo pitorresque remarquable qui a une importance en soit. Celle qu'on se bichone pour qu'elle soit plus « ressemblante ».
Je crois que la photo est devenue jetables, consommable pas très importante elle va montrer un instant comme les autres. La photo de famille finallement en est très proche : ces photos d'anniversaire par exemple qu'on regarde une fois et qu'on oublie et qui ressemblent à toutes les photos d'anniversaire :) Si on les loupes ce ne sera pas très grave, si on les réussi tant mieux. Mais elles ne valent pas tant que ça en tant que photo. Elles peuvent-être faibles. Elles appellent à une conivence qui se fait plus sur l'intime, sur le partage d'une expérience.
Une photo d'anniversaire ne montre pas « quelque chose ». Elle établit un lien, on la regarde avec plaisir parce qu'on partage quelque chose d'autre qui n'est pas sur la photo (la relation familiale, le souvenir de l'instant).
À l'opposé la photo « amateur » celle promue par les photo-clubs veut montrer « quelque chose » veut être belle par elle même?
Il y a bien sûr après un paradoxe puisque tu en fais quelque chose de ces photos. Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins, et que ce que tu fais en plus ne correspond pas à « ce que doit être une photo ». Bref c'est à proprement parler invisible.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le jeudi 08/05/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <482310ff$0$871$, les doux mélismes suivants :
Maintenant s'il s'agit de ne rien faire comme tout le monde, on peut aussi les exposer la tête en bas, l'image contre le mur, en confetti ou je ne sais quoi d'autre.
Les cas de tableaux disposés _à l'envers_ dans des musées, et dont _personne_ ne s'en était rendu compte, sont légion... D'ailleurs, il Me semble bien avoir vu une fois un "Bleu" de Klein comlètement de traviole...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le jeudi
08/05/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand
même, et dans le message <482310ff$0$871$ba4acef3@news.orange.fr>, les
doux mélismes suivants :
Maintenant s'il s'agit de ne rien
faire comme tout le monde, on peut aussi les exposer la tête en bas,
l'image
contre le mur, en confetti ou je ne sais quoi d'autre.
Les cas de tableaux disposés _à l'envers_ dans des musées, et dont
_personne_ ne s'en était rendu compte, sont légion...
D'ailleurs, il Me semble bien avoir vu une fois un "Bleu" de Klein
comlètement de traviole...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le jeudi 08/05/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <482310ff$0$871$, les doux mélismes suivants :
Maintenant s'il s'agit de ne rien faire comme tout le monde, on peut aussi les exposer la tête en bas, l'image contre le mur, en confetti ou je ne sais quoi d'autre.
Les cas de tableaux disposés _à l'envers_ dans des musées, et dont _personne_ ne s'en était rendu compte, sont légion... D'ailleurs, il Me semble bien avoir vu une fois un "Bleu" de Klein comlètement de traviole...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Bour-Brown
FiLH a écrit ( 1igmwz0.15c1nf01551ukgN% )
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le sarcasme facile...
Ça je l'ai fait, et à maintes reprises. Mais bon...
FiLH a écrit
( 1igmwz0.15c1nf01551ukgN%filh@filh.orgie )
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le
sarcasme facile...
Ça je l'ai fait, et à maintes reprises. Mais bon...
Si un jour tu pouvais faire une critique qui ne soit pas dans le sarcasme facile...
Ça je l'ai fait, et à maintes reprises. Mais bon...
Bour-Brown
FiLH a écrit ( 1igmx7f.12py6kq1gokyq8N% )
Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins
Voilà, ça doit être ça.
Faut dire aussi que s'inventer des rêves dans les fossés, euh, je crois qu'on l'a tous suffisamment fait dans notre enfance pour avoir envie aujourd'hui de passer à autre chose.
FiLH a écrit
( 1igmx7f.12py6kq1gokyq8N%filh@filh.orgie )
Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens
capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins
Voilà, ça doit être ça.
Faut dire aussi que s'inventer des rêves dans les fossés, euh, je crois
qu'on l'a tous suffisamment fait dans notre enfance pour avoir envie
aujourd'hui de passer à autre chose.
Si peu de gens aiment tes photos c'est parce qu'il y a peu de gens capable de s'inventer un rêve dans les fossés des chemins
Voilà, ça doit être ça.
Faut dire aussi que s'inventer des rêves dans les fossés, euh, je crois qu'on l'a tous suffisamment fait dans notre enfance pour avoir envie aujourd'hui de passer à autre chose.