"Philippe Lheureux" a écrit dans le message de news: 47ddff0f$0$879$
Le photographe Albert Fleury vous propose une série de clichés sur http://www.vox-populi.net/article.php3?id_articleP9
"L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, une renaissance, un souffle..."
pourquoi se décrédibiliser en écrivant des conneries pareilles ?
Ghost Rider
"L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, une renaissance, un souffle..."
pourquoi se décrédibiliser en écrivant des conneries pareilles ?
Il faudrait tout citer. Le texte dit: "Albert Fleury nous présente une nouvelle série, les "faces c(r)aché es", autoportraits en demi-teintes entre ombre et lumière, vérité et cav erne, abysses et profondeurs. L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, un e renaissance, un souffle..."
Plus loin: "Avec une infinie justesse, Albert Fleury nous fait vivre par son regard des sentiments dédoublés : intérieur-extérieur, liberté et enfe rmement, insouciance et mémoire, évasion et quotidienneté, noir et blanc... La beauté est de ce monde : il suffit juste d'ouvrir les yeux."
Et encore: "Il y a un mois, nous vous avions présenté "Carnets de route", une sé rie de clichés réalisés par le photographe Albert Fleury. Compte tenu de votre enthousiasme (et du nôtre), nous poursuivons avec le plus grand bonheur notre vagabondage, cette fois sur les plages du Nord-Pas de Calais, ballotés entre ressac, guerre et paix. Cette nouvelle série, intitulée "De sable et de béton", connaîtra deux volets, tant la qualité des photos ne nous a pas permis de choisir parm i elles. "L'homme est un faire-libre" disait Sartre. Qu'avons-nous fait ? Que faisons-nous ?"
Et toujours: "Sans le connaître, je suis tombée sous le charme étrange d'Albert Fleury... Quel nom curieux ! On dirait une pub pour du beurre allégé. Pourtant, il ne l'est pas - léger - et ses clichés sont comme une résonance dans nos têtes. Noirs, blancs, infinis, indéfinis, voici des hymnes à la nature, plei ns de vie. La "Place du mort", premier volet d'une série de quatre thèmes, nous incite au vagabondage, sur les chemins de traverse des Ardennes Belges. En toute poésie, flânons au détour des voies que nous pourrions cho isir. Où allons-nous ? Via nos tours et détours, le savez-vous "
Il y en a comme ça des pages.
Ça laisse effectivement songeur. Les photos aussi d'ailleurs. De quoi vit-il ? De ses photos ?
Ghost Rider
"L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, une
renaissance, un souffle..."
pourquoi se décrédibiliser en écrivant des conneries pareilles ?
Il faudrait tout citer.
Le texte dit:
"Albert Fleury nous présente une nouvelle série, les "faces c(r)aché es",
autoportraits en demi-teintes entre ombre et lumière, vérité et cav erne,
abysses et profondeurs.
L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, un e
renaissance, un souffle..."
Plus loin:
"Avec une infinie justesse, Albert Fleury nous fait vivre par son regard
des sentiments dédoublés : intérieur-extérieur, liberté et enfe rmement,
insouciance et mémoire, évasion et quotidienneté, noir et blanc...
La beauté est de ce monde : il suffit juste d'ouvrir les yeux."
Et encore:
"Il y a un mois, nous vous avions présenté "Carnets de route", une sé rie
de clichés réalisés par le photographe Albert Fleury.
Compte tenu de votre enthousiasme (et du nôtre), nous poursuivons avec
le plus grand bonheur notre vagabondage, cette fois sur les plages du
Nord-Pas de Calais, ballotés entre ressac, guerre et paix.
Cette nouvelle série, intitulée "De sable et de béton", connaîtra deux
volets, tant la qualité des photos ne nous a pas permis de choisir parm i
elles.
"L'homme est un faire-libre" disait Sartre.
Qu'avons-nous fait ?
Que faisons-nous ?"
Et toujours:
"Sans le connaître, je suis tombée sous le charme étrange d'Albert Fleury...
Quel nom curieux ! On dirait une pub pour du beurre allégé. Pourtant, il
ne l'est pas - léger - et ses clichés sont comme une résonance dans nos
têtes.
Noirs, blancs, infinis, indéfinis, voici des hymnes à la nature, plei ns
de vie.
La "Place du mort", premier volet d'une série de quatre thèmes, nous
incite au vagabondage, sur les chemins de traverse des Ardennes Belges.
En toute poésie, flânons au détour des voies que nous pourrions cho isir.
Où allons-nous ?
Via nos tours et détours, le savez-vous "
Il y en a comme ça des pages.
Ça laisse effectivement songeur.
Les photos aussi d'ailleurs.
De quoi vit-il ? De ses photos ?
"L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, une renaissance, un souffle..."
pourquoi se décrédibiliser en écrivant des conneries pareilles ?
Il faudrait tout citer. Le texte dit: "Albert Fleury nous présente une nouvelle série, les "faces c(r)aché es", autoportraits en demi-teintes entre ombre et lumière, vérité et cav erne, abysses et profondeurs. L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, un e renaissance, un souffle..."
Plus loin: "Avec une infinie justesse, Albert Fleury nous fait vivre par son regard des sentiments dédoublés : intérieur-extérieur, liberté et enfe rmement, insouciance et mémoire, évasion et quotidienneté, noir et blanc... La beauté est de ce monde : il suffit juste d'ouvrir les yeux."
Et encore: "Il y a un mois, nous vous avions présenté "Carnets de route", une sé rie de clichés réalisés par le photographe Albert Fleury. Compte tenu de votre enthousiasme (et du nôtre), nous poursuivons avec le plus grand bonheur notre vagabondage, cette fois sur les plages du Nord-Pas de Calais, ballotés entre ressac, guerre et paix. Cette nouvelle série, intitulée "De sable et de béton", connaîtra deux volets, tant la qualité des photos ne nous a pas permis de choisir parm i elles. "L'homme est un faire-libre" disait Sartre. Qu'avons-nous fait ? Que faisons-nous ?"
Et toujours: "Sans le connaître, je suis tombée sous le charme étrange d'Albert Fleury... Quel nom curieux ! On dirait une pub pour du beurre allégé. Pourtant, il ne l'est pas - léger - et ses clichés sont comme une résonance dans nos têtes. Noirs, blancs, infinis, indéfinis, voici des hymnes à la nature, plei ns de vie. La "Place du mort", premier volet d'une série de quatre thèmes, nous incite au vagabondage, sur les chemins de traverse des Ardennes Belges. En toute poésie, flânons au détour des voies que nous pourrions cho isir. Où allons-nous ? Via nos tours et détours, le savez-vous "
Il y en a comme ça des pages.
Ça laisse effectivement songeur. Les photos aussi d'ailleurs. De quoi vit-il ? De ses photos ?
Ghost Rider
Ofnuts
Ghost Rider wrote:
Il y en a comme ça des pages.
Ça laisse effectivement songeur. Les photos aussi d'ailleurs. De quoi vit-il ? De ses photos ?
On dirait le genre de verbiage qu'affectionne tant le prof de français de ma fille. En plus je parie que l'est lui-même qui l'écrit... Président (mais peut-être unique membre) de sa société des amis.
-- Bd.
Ghost Rider wrote:
Il y en a comme ça des pages.
Ça laisse effectivement songeur.
Les photos aussi d'ailleurs.
De quoi vit-il ? De ses photos ?
On dirait le genre de verbiage qu'affectionne tant le prof de français
de ma fille. En plus je parie que l'est lui-même qui l'écrit...
Président (mais peut-être unique membre) de sa société des amis.
Ça laisse effectivement songeur. Les photos aussi d'ailleurs. De quoi vit-il ? De ses photos ?
On dirait le genre de verbiage qu'affectionne tant le prof de français de ma fille. En plus je parie que l'est lui-même qui l'écrit... Président (mais peut-être unique membre) de sa société des amis.
-- Bd.
JeanPasse
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de news: 47de76d6$0$7449$
"Philippe Lheureux" a écrit dans le message de news: 47ddff0f$0$879$
Le photographe Albert Fleury vous propose une série de clichés sur http://www.vox-populi.net/article.php3?id_articleP9
"L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, une renaissance, un souffle..."
pourquoi se décrédibiliser en écrivant des conneries pareilles ?
En effet on peut s'interroger sur le degré de vérité d'un pareille
"sentence" lorsque l'on visite son site.
"Une génèse, une renaissance, un souffle..." s'oppose alors aux titres de ses galeries: "Les eaux lointaines" "La place du mort" "D'ici, d'ailleurs et de nulle part" "Bunkers" "Les sentinelles mélancoliques" Quoiqu'il y ait parfois des enfants ou une femme le tout est généralement assez mortel ou mortuaire. Si l'on désire on peut voir dans sa dernière série un certaine humanisation puisqu'il s'agit de portraits, d'autoportraits plus précisément. Peut-être s'agit-il en fait du linceuil de Lazare... d'ou l'idée de la renaissance?
Je ne dis pas que je déteste, mais que la vie semble lourde.
René
"Stephane Legras-Decussy" <I_love@Arol> a écrit dans le message de news:
47de76d6$0$7449$426a74cc@news.free.fr...
"Philippe Lheureux" <lheureuxph@666orange.fr> a écrit dans le message de
news: 47ddff0f$0$879$ba4acef3@news.orange.fr...
Le photographe Albert Fleury vous propose une série de clichés sur
http://www.vox-populi.net/article.php3?id_articleP9
"L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, une
renaissance, un souffle..."
pourquoi se décrédibiliser en écrivant des conneries pareilles ?
En effet on peut s'interroger sur le degré de vérité d'un pareille
"sentence" lorsque l'on visite son site.
"Une génèse, une renaissance, un souffle..." s'oppose alors aux titres de
ses galeries:
"Les eaux lointaines"
"La place du mort"
"D'ici, d'ailleurs et de nulle part"
"Bunkers"
"Les sentinelles mélancoliques"
Quoiqu'il y ait parfois des enfants ou une femme le tout est généralement
assez mortel ou mortuaire. Si l'on désire on peut voir dans sa dernière
série un certaine humanisation puisqu'il s'agit de portraits,
d'autoportraits plus précisément. Peut-être s'agit-il en fait du linceuil de
Lazare... d'ou l'idée de la renaissance?
Je ne dis pas que je déteste, mais que la vie semble lourde.
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de news: 47de76d6$0$7449$
"Philippe Lheureux" a écrit dans le message de news: 47ddff0f$0$879$
Le photographe Albert Fleury vous propose une série de clichés sur http://www.vox-populi.net/article.php3?id_articleP9
"L'introspection d'un être dont la quête est en soi une génèse, une renaissance, un souffle..."
pourquoi se décrédibiliser en écrivant des conneries pareilles ?
En effet on peut s'interroger sur le degré de vérité d'un pareille
"sentence" lorsque l'on visite son site.
"Une génèse, une renaissance, un souffle..." s'oppose alors aux titres de ses galeries: "Les eaux lointaines" "La place du mort" "D'ici, d'ailleurs et de nulle part" "Bunkers" "Les sentinelles mélancoliques" Quoiqu'il y ait parfois des enfants ou une femme le tout est généralement assez mortel ou mortuaire. Si l'on désire on peut voir dans sa dernière série un certaine humanisation puisqu'il s'agit de portraits, d'autoportraits plus précisément. Peut-être s'agit-il en fait du linceuil de Lazare... d'ou l'idée de la renaissance?
Je ne dis pas que je déteste, mais que la vie semble lourde.
René
Stephane Legras-Decussy
"Ofnuts" a écrit dans le message de news: 47df00f7$0$8945$
On dirait le genre de verbiage qu'affectionne tant le prof de français de ma fille.
c'est un fleau ce genre de prof... ça me rappelle une vieille peau en seconde qui voyait une apologie du communisme à la moindre allusion à la couleur rouge dans n'importe quel texte....
"Ofnuts" <o.f.n.u.t.s@la.poste.net> a écrit dans le message de news:
47df00f7$0$8945$426a34cc@news.free.fr...
On dirait le genre de verbiage qu'affectionne tant le prof de français de
ma fille.
c'est un fleau ce genre de prof...
ça me rappelle une vieille peau en seconde
qui voyait une apologie du communisme
à la moindre allusion à la couleur rouge dans
n'importe quel texte....
"Ofnuts" a écrit dans le message de news: 47df00f7$0$8945$
On dirait le genre de verbiage qu'affectionne tant le prof de français de ma fille.
c'est un fleau ce genre de prof... ça me rappelle une vieille peau en seconde qui voyait une apologie du communisme à la moindre allusion à la couleur rouge dans n'importe quel texte....