Une femme présidente: une hypothèse qui prend corps en France
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Paul
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique
depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
La présidente de la région Poitou-Charentes a déploré lundi les railleries
de responsables socialistes, en estimant que "tout se passe comme si on
avait le droit d'être prêt, mais pas le droit d'être prête" pour briguer le
poste de chef de l'Etat.
agrandir la photo
Seule présidente de région, Mme Royal a proclamé jeudi, le jour de ses 52
ans, qu'elle irait au combat si le PS le lui demandait, et qu'elle se
sentait capable de battre l'UMP Nicolas Sarkozy, "ou un autre".
Mme Royal a jugé lundi "surprenantes" les réactions critiques ou ironiques
de certains leaders socialistes. Sans citer Ségolène Royal, Jack Lang a
ainsi dénoncé un "concours de beauté". "Plus on est de fous, plus on rit", a
lancé de son côté le président du groupe PS à l'Assemblée, Jean-Marc
Ayrault.
Dès novembre, des amis de la responsable PS avaient créé un blog l'exhortant
à franchir ce grand pas (ségolène.2007, dont l'exergue est : "pour une femme
présidente, présente-toi, Ségolène").
Comme en écho, Michèle Alliot-Marie (UMP), première femme ministre de la
Défense en France, première à la tête d'un grand parti (le RPR), se
prédisait dimanche dans le JDD "un rôle de premier plan" en 2007. La
ministre de la Défense a souligné lundi sur LCI que l'élection
présidentielle aura lieu dans dix-neuf mois. "On verra ce que sera le
contexte et l'opinion publique à ce moment-là", a-t-elle dit.
"Une femme peut briguer la présidence de la République (...) Ce n'est ni un
avantage ni un inconvénient d'être une femme, le problème c'est plutôt de
savoir ce que l'on propose", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal et Michèle Allio-Marie ne seraient pas les premières à entrer
dans l'arène présidentielle. Mais les femmes qui s'y sont essayées, de la
féministe Huguette Bouchardeau à la radicale Christiane Taubira, l'ont fait
pour "porter témoignage" ou représenter des partis marginaux, sans l'ombre
d'un espoir d'accéder à la tête de l'Etat.
La pionnière fut, en 1974, Arlette Laguiller, au nom de Lutte Ouvrière.
Depuis, elle n'a jamais manqué un rendez-vous présidentiel.
Rejointe en 1981 par Huguette Bouchardeau et Marie-France Garaud, elle est
encore seule au premier tour de 1988. En 1995, elles sont deux, les Verts
ayant une championne, Dominique Voynet. Le premier tour de 2002 voit un
record de présences féminines: 4 sur 16 (Christine Boutin, Corinne Lepage,
Christiane Taubira et toujours Arlette Laguiller).
Avec Ségolène Royal et plus en filigrane la socialiste Martine Aubry ou
l'UMP MAM, la configuration est différente : ces femmes politiques
mèneraient la bataille au nom de partis de gouvernement.
Le ton narquois avec lequel l'offre de services de Mme Royal a été
accueillie parmi les élephants socialistes en dit cependant long sur la
préparation de la classe politique à voir une femme trôner à l'Elysée. ("Je
vais rajouter une balle dans le fusil de chasse", résumait virilement Henri
Emmanuelli).
Certes, en février, 85% des Français se disaient (sondage BVA) prêts à élire
une présidente, avec seulement 13% d'irréductibles.
Il n'empêche que la France n'a jamais brillé par l'audace de ses avancées
féministes : en accordant le droit de vote aux femmes en 1944, elle le
faisait 50 ans après la Nouvelle-Zélande, 13 après l'Espagne ou le Brésil,
10 après la Turquie....
Les 15 premières années de la Ve république n'ont vu que trois femmes au
gouvernement, modestes secrétaires d'Etat, cantonnées au socio-éducatif.
Valéry Giscard d'Estaing avait rompu avec cette logique : de 1974 à 1981, 9
femmes se succéderont dans les ministères. Elles sont 11 sous François
Mitterrand de 1981 à 1988, 16 entre 1988 et 1995, 26 sous Jacques Chirac de
1995 à 2002...
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France
figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage de
femmes députées.
Tout ça c'est de la gesticulation pour emmerder Fabius ....
"Paul" a écrit dans le message de news: 4337c56d$0$7843$
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
La présidente de la région Poitou-Charentes a déploré lundi les railleries de responsables socialistes, en estimant que "tout se passe comme si on avait le droit d'être prêt, mais pas le droit d'être prête" pour briguer le poste de chef de l'Etat.
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Seule présidente de région, Mme Royal a proclamé jeudi, le jour de ses 52 ans, qu'elle irait au combat si le PS le lui demandait, et qu'elle se sentait capable de battre l'UMP Nicolas Sarkozy, "ou un autre".
Mme Royal a jugé lundi "surprenantes" les réactions critiques ou ironiques de certains leaders socialistes. Sans citer Ségolène Royal, Jack Lang a ainsi dénoncé un "concours de beauté". "Plus on est de fous, plus on rit", a lancé de son côté le président du groupe PS à l'Assemblée, Jean-Marc Ayrault.
Dès novembre, des amis de la responsable PS avaient créé un blog l'exhortant à franchir ce grand pas (ségolène.2007, dont l'exergue est : "pour une femme présidente, présente-toi, Ségolène").
Comme en écho, Michèle Alliot-Marie (UMP), première femme ministre de la Défense en France, première à la tête d'un grand parti (le RPR), se prédisait dimanche dans le JDD "un rôle de premier plan" en 2007. La ministre de la Défense a souligné lundi sur LCI que l'élection présidentielle aura lieu dans dix-neuf mois. "On verra ce que sera le contexte et l'opinion publique à ce moment-là", a-t-elle dit.
"Une femme peut briguer la présidence de la République (...) Ce n'est ni un avantage ni un inconvénient d'être une femme, le problème c'est plutôt de savoir ce que l'on propose", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal et Michèle Allio-Marie ne seraient pas les premières à entrer dans l'arène présidentielle. Mais les femmes qui s'y sont essayées, de la féministe Huguette Bouchardeau à la radicale Christiane Taubira, l'ont fait pour "porter témoignage" ou représenter des partis marginaux, sans l'ombre d'un espoir d'accéder à la tête de l'Etat.
La pionnière fut, en 1974, Arlette Laguiller, au nom de Lutte Ouvrière. Depuis, elle n'a jamais manqué un rendez-vous présidentiel.
Rejointe en 1981 par Huguette Bouchardeau et Marie-France Garaud, elle est encore seule au premier tour de 1988. En 1995, elles sont deux, les Verts ayant une championne, Dominique Voynet. Le premier tour de 2002 voit un record de présences féminines: 4 sur 16 (Christine Boutin, Corinne Lepage, Christiane Taubira et toujours Arlette Laguiller).
Avec Ségolène Royal et plus en filigrane la socialiste Martine Aubry ou l'UMP MAM, la configuration est différente : ces femmes politiques mèneraient la bataille au nom de partis de gouvernement.
Le ton narquois avec lequel l'offre de services de Mme Royal a été accueillie parmi les élephants socialistes en dit cependant long sur la préparation de la classe politique à voir une femme trôner à l'Elysée. ("Je vais rajouter une balle dans le fusil de chasse", résumait virilement Henri Emmanuelli).
Certes, en février, 85% des Français se disaient (sondage BVA) prêts à élire une présidente, avec seulement 13% d'irréductibles.
Il n'empêche que la France n'a jamais brillé par l'audace de ses avancées féministes : en accordant le droit de vote aux femmes en 1944, elle le faisait 50 ans après la Nouvelle-Zélande, 13 après l'Espagne ou le Brésil, 10 après la Turquie....
Les 15 premières années de la Ve république n'ont vu que trois femmes au gouvernement, modestes secrétaires d'Etat, cantonnées au socio-éducatif.
Valéry Giscard d'Estaing avait rompu avec cette logique : de 1974 à 1981, 9 femmes se succéderont dans les ministères. Elles sont 11 sous François Mitterrand de 1981 à 1988, 16 entre 1988 et 1995, 26 sous Jacques Chirac de 1995 à 2002...
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage de femmes députées.
http://fr.news.yahoo.com/050925/202/4lolp.html
Tout ça c'est de la gesticulation pour emmerder Fabius ....
"Paul" <pl@p.fr> a écrit dans le message de news:
4337c56d$0$7843$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique
depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu
présidentiel.
La présidente de la région Poitou-Charentes a déploré lundi les railleries
de responsables socialistes, en estimant que "tout se passe comme si on
avait le droit d'être prêt, mais pas le droit d'être prête" pour briguer
le
poste de chef de l'Etat.
agrandir la photo
Seule présidente de région, Mme Royal a proclamé jeudi, le jour de ses 52
ans, qu'elle irait au combat si le PS le lui demandait, et qu'elle se
sentait capable de battre l'UMP Nicolas Sarkozy, "ou un autre".
Mme Royal a jugé lundi "surprenantes" les réactions critiques ou ironiques
de certains leaders socialistes. Sans citer Ségolène Royal, Jack Lang a
ainsi dénoncé un "concours de beauté". "Plus on est de fous, plus on rit",
a
lancé de son côté le président du groupe PS à l'Assemblée, Jean-Marc
Ayrault.
Dès novembre, des amis de la responsable PS avaient créé un blog
l'exhortant
à franchir ce grand pas (ségolène.2007, dont l'exergue est : "pour une
femme
présidente, présente-toi, Ségolène").
Comme en écho, Michèle Alliot-Marie (UMP), première femme ministre de la
Défense en France, première à la tête d'un grand parti (le RPR), se
prédisait dimanche dans le JDD "un rôle de premier plan" en 2007. La
ministre de la Défense a souligné lundi sur LCI que l'élection
présidentielle aura lieu dans dix-neuf mois. "On verra ce que sera le
contexte et l'opinion publique à ce moment-là", a-t-elle dit.
"Une femme peut briguer la présidence de la République (...) Ce n'est ni
un
avantage ni un inconvénient d'être une femme, le problème c'est plutôt de
savoir ce que l'on propose", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal et Michèle Allio-Marie ne seraient pas les premières à
entrer
dans l'arène présidentielle. Mais les femmes qui s'y sont essayées, de la
féministe Huguette Bouchardeau à la radicale Christiane Taubira, l'ont
fait
pour "porter témoignage" ou représenter des partis marginaux, sans l'ombre
d'un espoir d'accéder à la tête de l'Etat.
La pionnière fut, en 1974, Arlette Laguiller, au nom de Lutte Ouvrière.
Depuis, elle n'a jamais manqué un rendez-vous présidentiel.
Rejointe en 1981 par Huguette Bouchardeau et Marie-France Garaud, elle est
encore seule au premier tour de 1988. En 1995, elles sont deux, les Verts
ayant une championne, Dominique Voynet. Le premier tour de 2002 voit un
record de présences féminines: 4 sur 16 (Christine Boutin, Corinne Lepage,
Christiane Taubira et toujours Arlette Laguiller).
Avec Ségolène Royal et plus en filigrane la socialiste Martine Aubry ou
l'UMP MAM, la configuration est différente : ces femmes politiques
mèneraient la bataille au nom de partis de gouvernement.
Le ton narquois avec lequel l'offre de services de Mme Royal a été
accueillie parmi les élephants socialistes en dit cependant long sur la
préparation de la classe politique à voir une femme trôner à l'Elysée.
("Je
vais rajouter une balle dans le fusil de chasse", résumait virilement
Henri
Emmanuelli).
Certes, en février, 85% des Français se disaient (sondage BVA) prêts à
élire
une présidente, avec seulement 13% d'irréductibles.
Il n'empêche que la France n'a jamais brillé par l'audace de ses avancées
féministes : en accordant le droit de vote aux femmes en 1944, elle le
faisait 50 ans après la Nouvelle-Zélande, 13 après l'Espagne ou le Brésil,
10 après la Turquie....
Les 15 premières années de la Ve république n'ont vu que trois femmes au
gouvernement, modestes secrétaires d'Etat, cantonnées au socio-éducatif.
Valéry Giscard d'Estaing avait rompu avec cette logique : de 1974 à 1981,
9
femmes se succéderont dans les ministères. Elles sont 11 sous François
Mitterrand de 1981 à 1988, 16 entre 1988 et 1995, 26 sous Jacques Chirac
de
1995 à 2002...
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France
figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage
de
femmes députées.
Tout ça c'est de la gesticulation pour emmerder Fabius ....
"Paul" a écrit dans le message de news: 4337c56d$0$7843$
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
La présidente de la région Poitou-Charentes a déploré lundi les railleries de responsables socialistes, en estimant que "tout se passe comme si on avait le droit d'être prêt, mais pas le droit d'être prête" pour briguer le poste de chef de l'Etat.
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Seule présidente de région, Mme Royal a proclamé jeudi, le jour de ses 52 ans, qu'elle irait au combat si le PS le lui demandait, et qu'elle se sentait capable de battre l'UMP Nicolas Sarkozy, "ou un autre".
Mme Royal a jugé lundi "surprenantes" les réactions critiques ou ironiques de certains leaders socialistes. Sans citer Ségolène Royal, Jack Lang a ainsi dénoncé un "concours de beauté". "Plus on est de fous, plus on rit", a lancé de son côté le président du groupe PS à l'Assemblée, Jean-Marc Ayrault.
Dès novembre, des amis de la responsable PS avaient créé un blog l'exhortant à franchir ce grand pas (ségolène.2007, dont l'exergue est : "pour une femme présidente, présente-toi, Ségolène").
Comme en écho, Michèle Alliot-Marie (UMP), première femme ministre de la Défense en France, première à la tête d'un grand parti (le RPR), se prédisait dimanche dans le JDD "un rôle de premier plan" en 2007. La ministre de la Défense a souligné lundi sur LCI que l'élection présidentielle aura lieu dans dix-neuf mois. "On verra ce que sera le contexte et l'opinion publique à ce moment-là", a-t-elle dit.
"Une femme peut briguer la présidence de la République (...) Ce n'est ni un avantage ni un inconvénient d'être une femme, le problème c'est plutôt de savoir ce que l'on propose", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal et Michèle Allio-Marie ne seraient pas les premières à entrer dans l'arène présidentielle. Mais les femmes qui s'y sont essayées, de la féministe Huguette Bouchardeau à la radicale Christiane Taubira, l'ont fait pour "porter témoignage" ou représenter des partis marginaux, sans l'ombre d'un espoir d'accéder à la tête de l'Etat.
La pionnière fut, en 1974, Arlette Laguiller, au nom de Lutte Ouvrière. Depuis, elle n'a jamais manqué un rendez-vous présidentiel.
Rejointe en 1981 par Huguette Bouchardeau et Marie-France Garaud, elle est encore seule au premier tour de 1988. En 1995, elles sont deux, les Verts ayant une championne, Dominique Voynet. Le premier tour de 2002 voit un record de présences féminines: 4 sur 16 (Christine Boutin, Corinne Lepage, Christiane Taubira et toujours Arlette Laguiller).
Avec Ségolène Royal et plus en filigrane la socialiste Martine Aubry ou l'UMP MAM, la configuration est différente : ces femmes politiques mèneraient la bataille au nom de partis de gouvernement.
Le ton narquois avec lequel l'offre de services de Mme Royal a été accueillie parmi les élephants socialistes en dit cependant long sur la préparation de la classe politique à voir une femme trôner à l'Elysée. ("Je vais rajouter une balle dans le fusil de chasse", résumait virilement Henri Emmanuelli).
Certes, en février, 85% des Français se disaient (sondage BVA) prêts à élire une présidente, avec seulement 13% d'irréductibles.
Il n'empêche que la France n'a jamais brillé par l'audace de ses avancées féministes : en accordant le droit de vote aux femmes en 1944, elle le faisait 50 ans après la Nouvelle-Zélande, 13 après l'Espagne ou le Brésil, 10 après la Turquie....
Les 15 premières années de la Ve république n'ont vu que trois femmes au gouvernement, modestes secrétaires d'Etat, cantonnées au socio-éducatif.
Valéry Giscard d'Estaing avait rompu avec cette logique : de 1974 à 1981, 9 femmes se succéderont dans les ministères. Elles sont 11 sous François Mitterrand de 1981 à 1988, 16 entre 1988 et 1995, 26 sous Jacques Chirac de 1995 à 2002...
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage de femmes députées.
http://fr.news.yahoo.com/050925/202/4lolp.html
Pat89
Une royaliste Présidente de la République... Elle a déjà un bouffon (Hollande)
Une royaliste Présidente de la République... Elle a déjà un bouffon
(Hollande)
Une royaliste Présidente de la République... Elle a déjà un bouffon (Hollande)
victal
Paul wrote:
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage de femmes députées.
http://fr.news.yahoo.com/050925/202/4lolp.html
Vous êtes un pays islamique non?
just joking
--
" Se convaincre du pire alors qu'il y a pire que soi est la meilleure façon de museler la compassion. "
Extrait de Sous-Bois d'A.G.
Paul wrote:
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la
France figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par
pourcentage de femmes députées.
http://fr.news.yahoo.com/050925/202/4lolp.html
Vous êtes un pays islamique non?
just joking
--
" Se convaincre du pire alors qu'il y a pire que soi est la meilleure
façon de museler la compassion. "
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage de femmes députées.
http://fr.news.yahoo.com/050925/202/4lolp.html
Vous êtes un pays islamique non?
just joking
--
" Se convaincre du pire alors qu'il y a pire que soi est la meilleure façon de museler la compassion. "
Extrait de Sous-Bois d'A.G.
Fernand Naudin
"Pat89" a écrit dans le message de news:4337d26f$0$17210$
Une royaliste Présidente de la République... Elle a déjà un bouffon (Hollande)
Tant qu'à être cocu, autant l'être par une femme (Ségolène), que par un homme (Mitterrand 1er).
jpB - le socialisme a duré ce que durent les roses...etc
"Pat89" <pat.89@wanadoo.fr> a écrit dans le message de
news:4337d26f$0$17210$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
Une royaliste Présidente de la République... Elle a déjà un bouffon
(Hollande)
Tant qu'à être cocu, autant l'être par une femme (Ségolène),
que par un homme (Mitterrand 1er).
jpB - le socialisme a duré ce que durent les roses...etc
"Pat89" a écrit dans le message de news:4337d26f$0$17210$
Une royaliste Présidente de la République... Elle a déjà un bouffon (Hollande)
Tant qu'à être cocu, autant l'être par une femme (Ségolène), que par un homme (Mitterrand 1er).
jpB - le socialisme a duré ce que durent les roses...etc
damericano1
Paul wrote:
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être t héorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu pr ésidentiel.
Une socialiste à l'Elysée?
Paul wrote:
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être t héorique
depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu pr ésidentiel.
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être t héorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu pr ésidentiel.
Une socialiste à l'Elysée?
e-Zéro
Socialiste ??
a écrit dans le message de news:
Paul wrote:
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
Une socialiste à l'Elysée?
Socialiste ??
<damericano1@yahoo.com> a écrit dans le message de news:
1127737268.957683.260260@z14g2000cwz.googlegroups.com...
Paul wrote:
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique
depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu
présidentiel.
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
Une socialiste à l'Elysée?
Helmut
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être t héorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu pr ésidentiel.
Produit de luxe. Faut payer la taxe.
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être t héorique
depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu pr ésidentiel.
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être t héorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu pr ésidentiel.
Produit de luxe. Faut payer la taxe.
dominique
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ?
Totalement [HS] mais bon...
Ça ne me déplairait pas de voir une femme à l'Élysée. Ça moucherait peut-être certains ténors de la politique. Et puis on a vu ce que des gouvernements essentiellement masculins ont fait depuis 40 ans. Essayons un gouvernement féminin. Bonne soirée, Dominique (au masculin !)
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ?
Totalement [HS] mais bon...
Ça ne me déplairait pas de voir une femme à l'Élysée. Ça moucherait
peut-être certains ténors de la politique.
Et puis on a vu ce que des gouvernements essentiellement masculins ont
fait depuis 40 ans.
Essayons un gouvernement féminin.
Bonne soirée,
Dominique (au masculin !)
Ça ne me déplairait pas de voir une femme à l'Élysée. Ça moucherait peut-être certains ténors de la politique. Et puis on a vu ce que des gouvernements essentiellement masculins ont fait depuis 40 ans. Essayons un gouvernement féminin. Bonne soirée, Dominique (au masculin !)
>>> F2S
Grand rapport avec la photo numérique ??
"e-Zéro" a écrit dans le message de news: 4337c675$0$4309$
Tout ça c'est de la gesticulation pour emmerder Fabius ....
"Paul" a écrit dans le message de news: 4337c56d$0$7843$
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
La présidente de la région Poitou-Charentes a déploré lundi les railleries de responsables socialistes, en estimant que "tout se passe comme si on avait le droit d'être prêt, mais pas le droit d'être prête" pour briguer le poste de chef de l'Etat.
agrandir la photo
Seule présidente de région, Mme Royal a proclamé jeudi, le jour de ses 52 ans, qu'elle irait au combat si le PS le lui demandait, et qu'elle se sentait capable de battre l'UMP Nicolas Sarkozy, "ou un autre".
Mme Royal a jugé lundi "surprenantes" les réactions critiques ou ironiques de certains leaders socialistes. Sans citer Ségolène Royal, Jack Lang a ainsi dénoncé un "concours de beauté". "Plus on est de fous, plus on rit", a lancé de son côté le président du groupe PS à l'Assemblée, Jean-Marc Ayrault.
Dès novembre, des amis de la responsable PS avaient créé un blog l'exhortant à franchir ce grand pas (ségolène.2007, dont l'exergue est : "pour une femme présidente, présente-toi, Ségolène").
Comme en écho, Michèle Alliot-Marie (UMP), première femme ministre de la Défense en France, première à la tête d'un grand parti (le RPR), se prédisait dimanche dans le JDD "un rôle de premier plan" en 2007. La ministre de la Défense a souligné lundi sur LCI que l'élection présidentielle aura lieu dans dix-neuf mois. "On verra ce que sera le contexte et l'opinion publique à ce moment-là", a-t-elle dit.
"Une femme peut briguer la présidence de la République (...) Ce n'est ni un avantage ni un inconvénient d'être une femme, le problème c'est plutôt de savoir ce que l'on propose", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal et Michèle Allio-Marie ne seraient pas les premières à entrer dans l'arène présidentielle. Mais les femmes qui s'y sont essayées, de la féministe Huguette Bouchardeau à la radicale Christiane Taubira, l'ont fait pour "porter témoignage" ou représenter des partis marginaux, sans l'ombre d'un espoir d'accéder à la tête de l'Etat.
La pionnière fut, en 1974, Arlette Laguiller, au nom de Lutte Ouvrière. Depuis, elle n'a jamais manqué un rendez-vous présidentiel.
Rejointe en 1981 par Huguette Bouchardeau et Marie-France Garaud, elle est encore seule au premier tour de 1988. En 1995, elles sont deux, les Verts ayant une championne, Dominique Voynet. Le premier tour de 2002 voit un record de présences féminines: 4 sur 16 (Christine Boutin, Corinne Lepage, Christiane Taubira et toujours Arlette Laguiller).
Avec Ségolène Royal et plus en filigrane la socialiste Martine Aubry ou l'UMP MAM, la configuration est différente : ces femmes politiques mèneraient la bataille au nom de partis de gouvernement.
Le ton narquois avec lequel l'offre de services de Mme Royal a été accueillie parmi les élephants socialistes en dit cependant long sur la préparation de la classe politique à voir une femme trôner à l'Elysée. ("Je vais rajouter une balle dans le fusil de chasse", résumait virilement Henri Emmanuelli).
Certes, en février, 85% des Français se disaient (sondage BVA) prêts à élire une présidente, avec seulement 13% d'irréductibles.
Il n'empêche que la France n'a jamais brillé par l'audace de ses avancées féministes : en accordant le droit de vote aux femmes en 1944, elle le faisait 50 ans après la Nouvelle-Zélande, 13 après l'Espagne ou le Brésil, 10 après la Turquie....
Les 15 premières années de la Ve république n'ont vu que trois femmes au gouvernement, modestes secrétaires d'Etat, cantonnées au socio-éducatif.
Valéry Giscard d'Estaing avait rompu avec cette logique : de 1974 à 1981, 9 femmes se succéderont dans les ministères. Elles sont 11 sous François Mitterrand de 1981 à 1988, 16 entre 1988 et 1995, 26 sous Jacques Chirac de 1995 à 2002...
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage de femmes députées.
http://fr.news.yahoo.com/050925/202/4lolp.html
Grand rapport avec la photo numérique ??
"e-Zéro" <e-zero@TAKALESAVOIR.com> a écrit dans le message de news:
4337c675$0$4309$626a14ce@news.free.fr...
Tout ça c'est de la gesticulation pour emmerder Fabius ....
"Paul" <pl@p.fr> a écrit dans le message de news:
4337c56d$0$7843$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique
depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu
présidentiel.
La présidente de la région Poitou-Charentes a déploré lundi les
railleries
de responsables socialistes, en estimant que "tout se passe comme si on
avait le droit d'être prêt, mais pas le droit d'être prête" pour briguer
le
poste de chef de l'Etat.
agrandir la photo
Seule présidente de région, Mme Royal a proclamé jeudi, le jour de ses 52
ans, qu'elle irait au combat si le PS le lui demandait, et qu'elle se
sentait capable de battre l'UMP Nicolas Sarkozy, "ou un autre".
Mme Royal a jugé lundi "surprenantes" les réactions critiques ou
ironiques
de certains leaders socialistes. Sans citer Ségolène Royal, Jack Lang a
ainsi dénoncé un "concours de beauté". "Plus on est de fous, plus on
rit", a
lancé de son côté le président du groupe PS à l'Assemblée, Jean-Marc
Ayrault.
Dès novembre, des amis de la responsable PS avaient créé un blog
l'exhortant
à franchir ce grand pas (ségolène.2007, dont l'exergue est : "pour une
femme
présidente, présente-toi, Ségolène").
Comme en écho, Michèle Alliot-Marie (UMP), première femme ministre de la
Défense en France, première à la tête d'un grand parti (le RPR), se
prédisait dimanche dans le JDD "un rôle de premier plan" en 2007. La
ministre de la Défense a souligné lundi sur LCI que l'élection
présidentielle aura lieu dans dix-neuf mois. "On verra ce que sera le
contexte et l'opinion publique à ce moment-là", a-t-elle dit.
"Une femme peut briguer la présidence de la République (...) Ce n'est ni
un
avantage ni un inconvénient d'être une femme, le problème c'est plutôt de
savoir ce que l'on propose", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal et Michèle Allio-Marie ne seraient pas les premières à
entrer
dans l'arène présidentielle. Mais les femmes qui s'y sont essayées, de la
féministe Huguette Bouchardeau à la radicale Christiane Taubira, l'ont
fait
pour "porter témoignage" ou représenter des partis marginaux, sans
l'ombre
d'un espoir d'accéder à la tête de l'Etat.
La pionnière fut, en 1974, Arlette Laguiller, au nom de Lutte Ouvrière.
Depuis, elle n'a jamais manqué un rendez-vous présidentiel.
Rejointe en 1981 par Huguette Bouchardeau et Marie-France Garaud, elle
est
encore seule au premier tour de 1988. En 1995, elles sont deux, les Verts
ayant une championne, Dominique Voynet. Le premier tour de 2002 voit un
record de présences féminines: 4 sur 16 (Christine Boutin, Corinne
Lepage,
Christiane Taubira et toujours Arlette Laguiller).
Avec Ségolène Royal et plus en filigrane la socialiste Martine Aubry ou
l'UMP MAM, la configuration est différente : ces femmes politiques
mèneraient la bataille au nom de partis de gouvernement.
Le ton narquois avec lequel l'offre de services de Mme Royal a été
accueillie parmi les élephants socialistes en dit cependant long sur la
préparation de la classe politique à voir une femme trôner à l'Elysée.
("Je
vais rajouter une balle dans le fusil de chasse", résumait virilement
Henri
Emmanuelli).
Certes, en février, 85% des Français se disaient (sondage BVA) prêts à
élire
une présidente, avec seulement 13% d'irréductibles.
Il n'empêche que la France n'a jamais brillé par l'audace de ses avancées
féministes : en accordant le droit de vote aux femmes en 1944, elle le
faisait 50 ans après la Nouvelle-Zélande, 13 après l'Espagne ou le
Brésil,
10 après la Turquie....
Les 15 premières années de la Ve république n'ont vu que trois femmes au
gouvernement, modestes secrétaires d'Etat, cantonnées au socio-éducatif.
Valéry Giscard d'Estaing avait rompu avec cette logique : de 1974 à 1981,
9
femmes se succéderont dans les ministères. Elles sont 11 sous François
Mitterrand de 1981 à 1988, 16 entre 1988 et 1995, 26 sous Jacques Chirac
de
1995 à 2002...
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France
figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage
de
femmes députées.
"e-Zéro" a écrit dans le message de news: 4337c675$0$4309$
Tout ça c'est de la gesticulation pour emmerder Fabius ....
"Paul" a écrit dans le message de news: 4337c56d$0$7843$
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
La présidente de la région Poitou-Charentes a déploré lundi les railleries de responsables socialistes, en estimant que "tout se passe comme si on avait le droit d'être prêt, mais pas le droit d'être prête" pour briguer le poste de chef de l'Etat.
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Seule présidente de région, Mme Royal a proclamé jeudi, le jour de ses 52 ans, qu'elle irait au combat si le PS le lui demandait, et qu'elle se sentait capable de battre l'UMP Nicolas Sarkozy, "ou un autre".
Mme Royal a jugé lundi "surprenantes" les réactions critiques ou ironiques de certains leaders socialistes. Sans citer Ségolène Royal, Jack Lang a ainsi dénoncé un "concours de beauté". "Plus on est de fous, plus on rit", a lancé de son côté le président du groupe PS à l'Assemblée, Jean-Marc Ayrault.
Dès novembre, des amis de la responsable PS avaient créé un blog l'exhortant à franchir ce grand pas (ségolène.2007, dont l'exergue est : "pour une femme présidente, présente-toi, Ségolène").
Comme en écho, Michèle Alliot-Marie (UMP), première femme ministre de la Défense en France, première à la tête d'un grand parti (le RPR), se prédisait dimanche dans le JDD "un rôle de premier plan" en 2007. La ministre de la Défense a souligné lundi sur LCI que l'élection présidentielle aura lieu dans dix-neuf mois. "On verra ce que sera le contexte et l'opinion publique à ce moment-là", a-t-elle dit.
"Une femme peut briguer la présidence de la République (...) Ce n'est ni un avantage ni un inconvénient d'être une femme, le problème c'est plutôt de savoir ce que l'on propose", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal et Michèle Allio-Marie ne seraient pas les premières à entrer dans l'arène présidentielle. Mais les femmes qui s'y sont essayées, de la féministe Huguette Bouchardeau à la radicale Christiane Taubira, l'ont fait pour "porter témoignage" ou représenter des partis marginaux, sans l'ombre d'un espoir d'accéder à la tête de l'Etat.
La pionnière fut, en 1974, Arlette Laguiller, au nom de Lutte Ouvrière. Depuis, elle n'a jamais manqué un rendez-vous présidentiel.
Rejointe en 1981 par Huguette Bouchardeau et Marie-France Garaud, elle est encore seule au premier tour de 1988. En 1995, elles sont deux, les Verts ayant une championne, Dominique Voynet. Le premier tour de 2002 voit un record de présences féminines: 4 sur 16 (Christine Boutin, Corinne Lepage, Christiane Taubira et toujours Arlette Laguiller).
Avec Ségolène Royal et plus en filigrane la socialiste Martine Aubry ou l'UMP MAM, la configuration est différente : ces femmes politiques mèneraient la bataille au nom de partis de gouvernement.
Le ton narquois avec lequel l'offre de services de Mme Royal a été accueillie parmi les élephants socialistes en dit cependant long sur la préparation de la classe politique à voir une femme trôner à l'Elysée. ("Je vais rajouter une balle dans le fusil de chasse", résumait virilement Henri Emmanuelli).
Certes, en février, 85% des Français se disaient (sondage BVA) prêts à élire une présidente, avec seulement 13% d'irréductibles.
Il n'empêche que la France n'a jamais brillé par l'audace de ses avancées féministes : en accordant le droit de vote aux femmes en 1944, elle le faisait 50 ans après la Nouvelle-Zélande, 13 après l'Espagne ou le Brésil, 10 après la Turquie....
Les 15 premières années de la Ve république n'ont vu que trois femmes au gouvernement, modestes secrétaires d'Etat, cantonnées au socio-éducatif.
Valéry Giscard d'Estaing avait rompu avec cette logique : de 1974 à 1981, 9 femmes se succéderont dans les ministères. Elles sont 11 sous François Mitterrand de 1981 à 1988, 16 entre 1988 et 1995, 26 sous Jacques Chirac de 1995 à 2002...
Aujourd'hui encore, malgré la loi de 2000 instaurant la parité, la France figure à un modeste 74e rang dans le classement des pays par pourcentage de femmes députées.
http://fr.news.yahoo.com/050925/202/4lolp.html
Synapse CJD Scritch
"e-Zéro" a écrit dans le message de news: 4337e8f2$0$4317$
Socialiste ??
a écrit dans le message de news:
Paul wrote:
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
Une socialiste à l'Elysée?
Peut importe les partis. Elle propose quoi en dehors de sa candidature Mme Royale?
Amicalement -- CJD Scritch
signataire du manifeste de l'an 2000 pour une culture de paix et de la non violence http://www3.unesco.org/manifesto2000/fr/manifeste.htm http://www.unesco.org/cpp/uk/projects/fun-cofp.pdf
"e-Zéro" <e-zero@TAKALESAVOIR.com> a écrit dans le message de news:
4337e8f2$0$4317$626a14ce@news.free.fr...
Socialiste ??
<damericano1@yahoo.com> a écrit dans le message de news:
1127737268.957683.260260@z14g2000cwz.googlegroups.com...
Paul wrote:
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique
depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu
présidentiel.
Une socialiste à l'Elysée?
Peut importe les partis. Elle propose quoi en dehors de
sa candidature Mme Royale?
Amicalement
--
CJD Scritch
signataire du manifeste de l'an 2000
pour une culture de paix et de la non violence
http://www3.unesco.org/manifesto2000/fr/manifeste.htm
http://www.unesco.org/cpp/uk/projects/fun-cofp.pdf
"e-Zéro" a écrit dans le message de news: 4337e8f2$0$4317$
Socialiste ??
a écrit dans le message de news:
Paul wrote:
PARIS (AFP) - Une femme à l'Elysée ? La question a cessé d'être théorique depuis que la socialiste Ségolène Royal est entrée dans le jeu présidentiel.
Une socialiste à l'Elysée?
Peut importe les partis. Elle propose quoi en dehors de sa candidature Mme Royale?
Amicalement -- CJD Scritch
signataire du manifeste de l'an 2000 pour une culture de paix et de la non violence http://www3.unesco.org/manifesto2000/fr/manifeste.htm http://www.unesco.org/cpp/uk/projects/fun-cofp.pdf