http://cjoint.com/14ma/DCdagWU3TtN_pimg_0850.jpg
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"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
Jean Rostand.
"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
Jean Rostand.
"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
Jean Rostand.
Le 03/03/2014 00:34, Maréchal Nourevoilat a écrit :"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
Jean Rostand.
Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King, Mandela
et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Le 03/03/2014 00:34, Maréchal Nourevoilat a écrit :
"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
Jean Rostand.
Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King, Mandela
et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Le 03/03/2014 00:34, Maréchal Nourevoilat a écrit :"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
Jean Rostand.
Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King, Mandela
et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Dominique wrote:Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Ceux-là n'étaient pas des pacifistes mais des partisans de l'action
non-violente... Si je ne devais en citer qu'un de plus, trop méconnu, ce
serait Steve Biko (cf. wikipédia, + un livre à lire, delui de Donald
Woods, et un film à voir, celui de Richard Attenborough).
Il n'y a jamais eu superposition entre non-violence et pacifisme et, si
on y réfléchit, c'est assez logique. On ne confond pas un moyen, qui
n'est qu'un moyen même si on le théorise à l'extrême, et un but.
Le pacifisme est né des idées internationalistes de la fin du XIXe
siècle, sur fond de lutte des classes. Sébastien Faure et autres...
aboutissant à un paroxysme avec l'assassinat de Jaurès. Une idée : ne
pas laisser les peuples, dont les intérêts sont communs par nature,
s'entretuer pour des valeurs qui ne sont pas les leurs et au profit de
gens qui se gardent bien de s'exposer, d'un côté comme de l'autre.
Il a eu, au coeur de la première guerre mondiale, des porte-paroles
éminents, souvent germanistes déchirés dans leur coeur par ces luttes
fraticides. Citons Romain Rolland (prix Nobel de littérature) ou
l'alsacien né allemand Albert Schweitzer (prix Nobel de la Paix)...
Il s'est réactivé même au coeur des conflits : mutineries de 1917,
chanson de Craone, relire l'Espagnol de Bernard Clavel... réécouter le
Déserteur de Boris Vian... revoir "Avoir vingt ans dans les Aurès" de
René Vautier... Relire Tardi... Relire Léon Werth...
Le pacifisme s'est illustré au milieu du XXe siècle à travers la
personnalité de Louis Lecoin, qui a passé la moitié de sa vie en prison
pour avoir refusé de tuer (!), et dont on peut estimer qu'il est le seul
à avoir fait plier le Général de Gaulle, obtenant de sa part la création
d'un statut de l'objecteur de conscience au terme d'une grève de la faim
qui aura précipité sa mort. Fondateur de l'Union Pacifiste de France,
dont faisaient partie Cavanna, Théodore Monod, Albert Jacquard et bien
d'autres ;-) L'UPF est la section française de l'Internationale des
Résistants à la Guerre (IRG ou WRI), dont le président emblématique,
Howard Clark, est décédé récemment.
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.
--
Gérald
Dominique <zzz@aol.com> wrote:
Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Ceux-là n'étaient pas des pacifistes mais des partisans de l'action
non-violente... Si je ne devais en citer qu'un de plus, trop méconnu, ce
serait Steve Biko (cf. wikipédia, + un livre à lire, delui de Donald
Woods, et un film à voir, celui de Richard Attenborough).
Il n'y a jamais eu superposition entre non-violence et pacifisme et, si
on y réfléchit, c'est assez logique. On ne confond pas un moyen, qui
n'est qu'un moyen même si on le théorise à l'extrême, et un but.
Le pacifisme est né des idées internationalistes de la fin du XIXe
siècle, sur fond de lutte des classes. Sébastien Faure et autres...
aboutissant à un paroxysme avec l'assassinat de Jaurès. Une idée : ne
pas laisser les peuples, dont les intérêts sont communs par nature,
s'entretuer pour des valeurs qui ne sont pas les leurs et au profit de
gens qui se gardent bien de s'exposer, d'un côté comme de l'autre.
Il a eu, au coeur de la première guerre mondiale, des porte-paroles
éminents, souvent germanistes déchirés dans leur coeur par ces luttes
fraticides. Citons Romain Rolland (prix Nobel de littérature) ou
l'alsacien né allemand Albert Schweitzer (prix Nobel de la Paix)...
Il s'est réactivé même au coeur des conflits : mutineries de 1917,
chanson de Craone, relire l'Espagnol de Bernard Clavel... réécouter le
Déserteur de Boris Vian... revoir "Avoir vingt ans dans les Aurès" de
René Vautier... Relire Tardi... Relire Léon Werth...
Le pacifisme s'est illustré au milieu du XXe siècle à travers la
personnalité de Louis Lecoin, qui a passé la moitié de sa vie en prison
pour avoir refusé de tuer (!), et dont on peut estimer qu'il est le seul
à avoir fait plier le Général de Gaulle, obtenant de sa part la création
d'un statut de l'objecteur de conscience au terme d'une grève de la faim
qui aura précipité sa mort. Fondateur de l'Union Pacifiste de France,
dont faisaient partie Cavanna, Théodore Monod, Albert Jacquard et bien
d'autres ;-) L'UPF est la section française de l'Internationale des
Résistants à la Guerre (IRG ou WRI), dont le président emblématique,
Howard Clark, est décédé récemment.
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.
--
Gérald
Dominique wrote:Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Ceux-là n'étaient pas des pacifistes mais des partisans de l'action
non-violente... Si je ne devais en citer qu'un de plus, trop méconnu, ce
serait Steve Biko (cf. wikipédia, + un livre à lire, delui de Donald
Woods, et un film à voir, celui de Richard Attenborough).
Il n'y a jamais eu superposition entre non-violence et pacifisme et, si
on y réfléchit, c'est assez logique. On ne confond pas un moyen, qui
n'est qu'un moyen même si on le théorise à l'extrême, et un but.
Le pacifisme est né des idées internationalistes de la fin du XIXe
siècle, sur fond de lutte des classes. Sébastien Faure et autres...
aboutissant à un paroxysme avec l'assassinat de Jaurès. Une idée : ne
pas laisser les peuples, dont les intérêts sont communs par nature,
s'entretuer pour des valeurs qui ne sont pas les leurs et au profit de
gens qui se gardent bien de s'exposer, d'un côté comme de l'autre.
Il a eu, au coeur de la première guerre mondiale, des porte-paroles
éminents, souvent germanistes déchirés dans leur coeur par ces luttes
fraticides. Citons Romain Rolland (prix Nobel de littérature) ou
l'alsacien né allemand Albert Schweitzer (prix Nobel de la Paix)...
Il s'est réactivé même au coeur des conflits : mutineries de 1917,
chanson de Craone, relire l'Espagnol de Bernard Clavel... réécouter le
Déserteur de Boris Vian... revoir "Avoir vingt ans dans les Aurès" de
René Vautier... Relire Tardi... Relire Léon Werth...
Le pacifisme s'est illustré au milieu du XXe siècle à travers la
personnalité de Louis Lecoin, qui a passé la moitié de sa vie en prison
pour avoir refusé de tuer (!), et dont on peut estimer qu'il est le seul
à avoir fait plier le Général de Gaulle, obtenant de sa part la création
d'un statut de l'objecteur de conscience au terme d'une grève de la faim
qui aura précipité sa mort. Fondateur de l'Union Pacifiste de France,
dont faisaient partie Cavanna, Théodore Monod, Albert Jacquard et bien
d'autres ;-) L'UPF est la section française de l'Internationale des
Résistants à la Guerre (IRG ou WRI), dont le président emblématique,
Howard Clark, est décédé récemment.
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.
--
Gérald
Dominique wrote:Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Ceux-là n'étaient pas des pacifistes mais des partisans de l'action
non-violente... Si je ne devais en citer qu'un de plus, trop méconnu, ce
serait Steve Biko (cf. wikipédia, + un livre à lire, delui de Donald
Woods, et un film à voir, celui de Richard Attenborough).
Il n'y a jamais eu superposition entre non-violence et pacifisme et, si
on y réfléchit, c'est assez logique. On ne confond pas un moyen, qui
n'est qu'un moyen même si on le théorise à l'extrême, et un but.
Le pacifisme est né des idées internationalistes de la fin du XIXe
siècle, sur fond de lutte des classes. Sébastien Faure et autres...
aboutissant à un paroxysme avec l'assassinat de Jaurès. Une idée : ne
pas laisser les peuples, dont les intérêts sont communs par nature,
s'entretuer pour des valeurs qui ne sont pas les leurs et au profit de
gens qui se gardent bien de s'exposer, d'un côté comme de l'autre.
Il a eu, au coeur de la première guerre mondiale, des porte-paroles
éminents, souvent germanistes déchirés dans leur coeur par ces luttes
fraticides. Citons Romain Rolland (prix Nobel de littérature) ou
l'alsacien né allemand Albert Schweitzer (prix Nobel de la Paix)...
Il s'est réactivé même au coeur des conflits : mutineries de 1917,
chanson de Craone, relire l'Espagnol de Bernard Clavel... réécouter le
Déserteur de Boris Vian... revoir "Avoir vingt ans dans les Aurès" de
René Vautier... Relire Tardi... Relire Léon Werth...
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.
Dominique <zzz@aol.com> wrote:
Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Ceux-là n'étaient pas des pacifistes mais des partisans de l'action
non-violente... Si je ne devais en citer qu'un de plus, trop méconnu, ce
serait Steve Biko (cf. wikipédia, + un livre à lire, delui de Donald
Woods, et un film à voir, celui de Richard Attenborough).
Il n'y a jamais eu superposition entre non-violence et pacifisme et, si
on y réfléchit, c'est assez logique. On ne confond pas un moyen, qui
n'est qu'un moyen même si on le théorise à l'extrême, et un but.
Le pacifisme est né des idées internationalistes de la fin du XIXe
siècle, sur fond de lutte des classes. Sébastien Faure et autres...
aboutissant à un paroxysme avec l'assassinat de Jaurès. Une idée : ne
pas laisser les peuples, dont les intérêts sont communs par nature,
s'entretuer pour des valeurs qui ne sont pas les leurs et au profit de
gens qui se gardent bien de s'exposer, d'un côté comme de l'autre.
Il a eu, au coeur de la première guerre mondiale, des porte-paroles
éminents, souvent germanistes déchirés dans leur coeur par ces luttes
fraticides. Citons Romain Rolland (prix Nobel de littérature) ou
l'alsacien né allemand Albert Schweitzer (prix Nobel de la Paix)...
Il s'est réactivé même au coeur des conflits : mutineries de 1917,
chanson de Craone, relire l'Espagnol de Bernard Clavel... réécouter le
Déserteur de Boris Vian... revoir "Avoir vingt ans dans les Aurès" de
René Vautier... Relire Tardi... Relire Léon Werth...
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.
Dominique wrote:Même Jean Rostand peut dire des âneries : Gandhi, Martin Luther King,
Mandela et je laisse le soin aux autres de compléter la liste.
Ceux-là n'étaient pas des pacifistes mais des partisans de l'action
non-violente... Si je ne devais en citer qu'un de plus, trop méconnu, ce
serait Steve Biko (cf. wikipédia, + un livre à lire, delui de Donald
Woods, et un film à voir, celui de Richard Attenborough).
Il n'y a jamais eu superposition entre non-violence et pacifisme et, si
on y réfléchit, c'est assez logique. On ne confond pas un moyen, qui
n'est qu'un moyen même si on le théorise à l'extrême, et un but.
Le pacifisme est né des idées internationalistes de la fin du XIXe
siècle, sur fond de lutte des classes. Sébastien Faure et autres...
aboutissant à un paroxysme avec l'assassinat de Jaurès. Une idée : ne
pas laisser les peuples, dont les intérêts sont communs par nature,
s'entretuer pour des valeurs qui ne sont pas les leurs et au profit de
gens qui se gardent bien de s'exposer, d'un côté comme de l'autre.
Il a eu, au coeur de la première guerre mondiale, des porte-paroles
éminents, souvent germanistes déchirés dans leur coeur par ces luttes
fraticides. Citons Romain Rolland (prix Nobel de littérature) ou
l'alsacien né allemand Albert Schweitzer (prix Nobel de la Paix)...
Il s'est réactivé même au coeur des conflits : mutineries de 1917,
chanson de Craone, relire l'Espagnol de Bernard Clavel... réécouter le
Déserteur de Boris Vian... revoir "Avoir vingt ans dans les Aurès" de
René Vautier... Relire Tardi... Relire Léon Werth...
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.
"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
"Un pacifiste est un homme qui n'a pas encore rencontré la cause qui le
mette en posture de combat."
Il a ses pudeurs Gérald, il n'a pas osé citer L.F. Céline, dont les
pamphlets sont, en dépit de certains délires, des manifestes
pacifistes.Mais contrairement aux pacifistes bêlants
Il a ses pudeurs Gérald, il n'a pas osé citer L.F. Céline, dont les
pamphlets sont, en dépit de certains délires, des manifestes
pacifistes.Mais contrairement aux pacifistes bêlants
Il a ses pudeurs Gérald, il n'a pas osé citer L.F. Céline, dont les
pamphlets sont, en dépit de certains délires, des manifestes
pacifistes.Mais contrairement aux pacifistes bêlants
Maréchal Nourevoilat. wrote:Il a ses pudeurs Gérald, il n'a pas osé citer L.F. Céline, dont les
pamphlets sont, en dépit de certains délires, des manifestes
pacifistes.Mais contrairement aux pacifistes bêlants
Dans le domaine des idées, des thèmes de pensée, il y a une sorte de
cooptation qui fait qu'on est reconnu ou pas pas ses "pairs". Hors
autres aspects qui te le rendent sympathique et le rendent antipathiques
à beaucoup d'autres, Céline n'a jamais été reconnu par aucun pacifiste,
bêlant ou pas.
À l'analyse, dans ses écrits majeurs (le Voyage) il n'était d'ailleurs
pas pacifiste mais antimilitariste, et ce n'est pas la même chose.
C'est
même tout ce qui distingue ceux qui sont "contre" quelque chose et ceux
qui sont "pour" une autre.
Et in fine, il n'appartient pas à un "Marche-mal" d'opérette,
qui est quoi. Réussir à dire qui était Louis-Ferdinand Céline me semble
très au-dessus de ses moyens (comme des miens, d'ailleurs... c'est
clair).
--
Gérald
Maréchal Nourevoilat. <bu.jean-pierre@neuf.fr> wrote:
Il a ses pudeurs Gérald, il n'a pas osé citer L.F. Céline, dont les
pamphlets sont, en dépit de certains délires, des manifestes
pacifistes.Mais contrairement aux pacifistes bêlants
Dans le domaine des idées, des thèmes de pensée, il y a une sorte de
cooptation qui fait qu'on est reconnu ou pas pas ses "pairs". Hors
autres aspects qui te le rendent sympathique et le rendent antipathiques
à beaucoup d'autres, Céline n'a jamais été reconnu par aucun pacifiste,
bêlant ou pas.
À l'analyse, dans ses écrits majeurs (le Voyage) il n'était d'ailleurs
pas pacifiste mais antimilitariste, et ce n'est pas la même chose.
C'est
même tout ce qui distingue ceux qui sont "contre" quelque chose et ceux
qui sont "pour" une autre.
Et in fine, il n'appartient pas à un "Marche-mal" d'opérette,
qui est quoi. Réussir à dire qui était Louis-Ferdinand Céline me semble
très au-dessus de ses moyens (comme des miens, d'ailleurs... c'est
clair).
--
Gérald
Maréchal Nourevoilat. wrote:Il a ses pudeurs Gérald, il n'a pas osé citer L.F. Céline, dont les
pamphlets sont, en dépit de certains délires, des manifestes
pacifistes.Mais contrairement aux pacifistes bêlants
Dans le domaine des idées, des thèmes de pensée, il y a une sorte de
cooptation qui fait qu'on est reconnu ou pas pas ses "pairs". Hors
autres aspects qui te le rendent sympathique et le rendent antipathiques
à beaucoup d'autres, Céline n'a jamais été reconnu par aucun pacifiste,
bêlant ou pas.
À l'analyse, dans ses écrits majeurs (le Voyage) il n'était d'ailleurs
pas pacifiste mais antimilitariste, et ce n'est pas la même chose.
C'est
même tout ce qui distingue ceux qui sont "contre" quelque chose et ceux
qui sont "pour" une autre.
Et in fine, il n'appartient pas à un "Marche-mal" d'opérette,
qui est quoi. Réussir à dire qui était Louis-Ferdinand Céline me semble
très au-dessus de ses moyens (comme des miens, d'ailleurs... c'est
clair).
--
Gérald
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.
Suite en privé si besoin... content d'avoir éveillé la curiosité si
c'est le cas.