Les infltrés de cette semaine dans le monde du travail
22 réponses
Vincent
Je ne sais pas si vous avez vu le magazine "les infiltrés" de cette semaine,
offrant un long reportage dans la peau d'une femme, diplômée bac + 3, mais
en sciences humaines, cherchant et trouvant de (petits) boulots. Cette même
journaliste est l'auteur d'un livre "Et pourtant je me suis levée tôt".
Ceci pour répondre au neuneu qui a rédigé un post sur le pôle emploi et
qualifiant en gros les chômeurs d'assistés et de paresseux.
Cette femme donc a réussi à trouver quelques petits boulots, dans le
démarchage téléphonique, dans la grande distribution. Des boulots
sous-payés, à temps partiels, loin du domicile, épuisants. Ne permettant pas
de vivre. L'on y voyait des gens qui se tapaient 2 heures de transport le
matin, deux heures le soir, pour un salaire de quelques centaines d'euros,
en cdd. 20% du salaire était dépensé en transport en commun.
Ayant réussi à obtenir un nouveau cdd à temps partiel dans la distribution,
le constat était encore bien pire. Les efforts physiques à trimbaler des
palettes de produits étaient surdimensionnés. Bien que les personnes
pointaient matin et soir, la drh ne payait et ne reconnaissait pas les
heures supplémentaires... Vous n'avez qu'à moins papoter et vous pourrez
faire le travail demandé en temps imparti, leur disait-on. Travailler plus
pour gagner plus ? Pas pour tout le monde apparemment ! Le temps partiel
devait s'effectuer parfois le soir, et/ou le week-end. Pire, l'emploi du
temps n'était pas défini par avance, tant et si bien qu'il n'était pas
possible à ces salariés de cumuler plusieurs de ces petits boulots.
Enfin, cerise sur le gâteau, cette femme reporter était allée voir la drh,
direction des ressources humaines de sa boîte. Elle lui avait posé
simplement cette question : Y a-t-il un syndicat dans votre entreprise ? On
lui avait répondu que non.
Et quelques minutes plus tard, elle fut rappelée par son supérieur
hiérarchique : sa période d'essai s'était révélée infructueuse, elle était
virée. Motif : elle posait trop de questions, mauvais état d'esprit !
Le simple fait de demander dans une boîte s'il y a un syndicat vous conduit,
aujourd'hui, en 2009, au XXIème, en France, à être viré ! Misère !!
Rappelons, comme on l'a fait dans ce bon reportage, qu'il se trouve en
Angleterre, pays libéral s'il en est pourtant, deux fois plus d'inpecteurs
du travail qu'en France...
ramassis de gauchiasse oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner moins que son patron que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron est déjà en train de préparer la semaine qui suit que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans prendre une seule responsabilité que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout
Vincent wrote:
snip
ramassis de gauchiasse
oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner moins
que son patron
que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses
amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants
que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron
est déjà en train de préparer la semaine qui suit
que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans
prendre une seule responsabilité
que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout
ramassis de gauchiasse oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner moins que son patron que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron est déjà en train de préparer la semaine qui suit que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans prendre une seule responsabilité que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout
Vincent
> ramassis de gauchiasse oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner moins que son patron que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron est déjà en train de préparer la semaine qui suit que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans prendre une seule responsabilité que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout
décidément, tu as une toute petite cerise à la place du cerveau. C'est dur aussi de respecter le code du travail ? C'est dur de payer les heures supplémentaires, conformément à la loi ? C'est dur aussi de payer les gens correctement en fonction du travail fourni ? Est-ce si dur que cela d'accepter un syndicat dans son entreprise ? Et est-ce difficile d'admettre que les dirigeants se goinfrent moins de stock-options, de salaires mirobolants, de retraite chapeau, de dividendes afin de permettre à ceux qui font le boulot dans la boîte, à ceux là-mêmes qui mettent leur santé et leur vie de famille en péril, de vivre correctement ? Oui, tout ceci est beaucoup trop dur pour les égoïstes-nés de droite. La gauche a décidément de beaux jours devant elle.
> ramassis de gauchiasse
oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner
moins
que son patron
que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec
ses
amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants
que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron
est déjà en train de préparer la semaine qui suit
que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans
prendre une seule responsabilité
que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout
décidément, tu as une toute petite cerise à la place du cerveau.
C'est dur aussi de respecter le code du travail ? C'est dur de payer les
heures supplémentaires, conformément à la loi ? C'est dur aussi de payer les
gens correctement en fonction du travail fourni ? Est-ce si dur que cela
d'accepter un syndicat dans son entreprise ?
Et est-ce difficile d'admettre que les dirigeants se goinfrent moins de
stock-options, de salaires mirobolants, de retraite chapeau, de dividendes
afin de permettre à ceux qui font le boulot dans la boîte, à ceux là-mêmes
qui mettent leur santé et leur vie de famille en péril, de vivre
correctement ?
Oui, tout ceci est beaucoup trop dur pour les égoïstes-nés de droite.
La gauche a décidément de beaux jours devant elle.
> ramassis de gauchiasse oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner moins que son patron que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron est déjà en train de préparer la semaine qui suit que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans prendre une seule responsabilité que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout
décidément, tu as une toute petite cerise à la place du cerveau. C'est dur aussi de respecter le code du travail ? C'est dur de payer les heures supplémentaires, conformément à la loi ? C'est dur aussi de payer les gens correctement en fonction du travail fourni ? Est-ce si dur que cela d'accepter un syndicat dans son entreprise ? Et est-ce difficile d'admettre que les dirigeants se goinfrent moins de stock-options, de salaires mirobolants, de retraite chapeau, de dividendes afin de permettre à ceux qui font le boulot dans la boîte, à ceux là-mêmes qui mettent leur santé et leur vie de famille en péril, de vivre correctement ? Oui, tout ceci est beaucoup trop dur pour les égoïstes-nés de droite. La gauche a décidément de beaux jours devant elle.
LeLapin
Vincent se fendait de cette prose :
Je ne sais pas si vous avez vu le magazine "les infiltrés" de cette semaine, offrant un long reportage dans la peau d'une femme, diplômée bac + 3, mais en sciences humaines, cherchant et trouvant de (petits) boulots. Cette même journaliste est l'auteur d'un livre "Et pourtant je me suis levée tôt". Ceci pour répondre au neuneu qui a rédigé un post sur le pôle emploi et qualifiant en gros les chômeurs d'assistés et de paresseux. Cette femme donc a réussi à trouver quelques petits boulots, dans le démarchage téléphonique, dans la grande distribution. Des boulots sous-payés, à temps partiels, loin du domicile, épuisants. Ne permettant pas de vivre. L'on y voyait des gens qui se tapaient 2 heures de transport le matin, deux heures le soir, pour un salaire de quelques centaines d'euros, en cdd. 20% du salaire était dépensé en transport en commun. Ayant réussi à obtenir un nouveau cdd à temps partiel dans la distribution, le constat était encore bien pire. Les efforts physiques à trimbaler des palettes de produits étaient surdimensionnés. Bien que les personnes pointaient matin et soir, la drh ne payait et ne reconnaissait pas les heures supplémentaires... Vous n'avez qu'à moins papoter et vous pourrez faire le travail demandé en temps imparti, leur disait-on. Travailler plus pour gagner plus ? Pas pour tout le monde apparemment ! Le temps partiel devait s'effectuer parfois le soir, et/ou le week-end. Pire, l'emploi du temps n'était pas défini par avance, tant et si bien qu'il n'était pas possible à ces salariés de cumuler plusieurs de ces petits boulots. Enfin, cerise sur le gâteau, cette femme reporter était allée voir la drh, direction des ressources humaines de sa boîte. Elle lui avait posé simplement cette question : Y a-t-il un syndicat dans votre entreprise ? On lui avait répondu que non. Et quelques minutes plus tard, elle fut rappelée par son supérieur hiérarchique : sa période d'essai s'était révélée infructueuse, elle était virée. Motif : elle posait trop de questions, mauvais état d'esprit !
Le simple fait de demander dans une boîte s'il y a un syndicat vous conduit, aujourd'hui, en 2009, au XXIème, en France, à être viré ! Misère !! Rappelons, comme on l'a fait dans ce bon reportage, qu'il se trouve en Angleterre, pays libéral s'il en est pourtant, deux fois plus d'inpecteurs du travail qu'en France...
Un journaliste de qualité, à Paris, n'a pas de problèmes pour travailler. C'est juste un peu plus difficile dans les grandes villes de province. Evidemment beaucoup plus au fin fond de la campagne : c'est un peu logique, le nombre d'évènements notables (donc rapportables) est proportionnel à la population, avec un gros bonus pour des zones privilégiées économiquement comme l'Île de France. Bien sûr, il faut accepter d'être pigiste, donc toujours à la recherche de commandes. Mais quelqu'un qui commence ce métier sans envisager qu'il sera comme 80% de ses pairs est un con. Même pire.
-- LeLapin
Vincent se fendait de cette prose :
Je ne sais pas si vous avez vu le magazine "les infiltrés" de cette
semaine, offrant un long reportage dans la peau d'une femme, diplômée
bac + 3, mais en sciences humaines, cherchant et trouvant de (petits)
boulots. Cette même journaliste est l'auteur d'un livre "Et pourtant
je me suis levée tôt". Ceci pour répondre au neuneu qui a rédigé un
post sur le pôle emploi et qualifiant en gros les chômeurs d'assistés
et de paresseux. Cette femme donc a réussi à trouver quelques petits
boulots, dans le démarchage téléphonique, dans la grande distribution.
Des boulots sous-payés, à temps partiels, loin du domicile, épuisants.
Ne permettant pas de vivre. L'on y voyait des gens qui se tapaient 2
heures de transport le matin, deux heures le soir, pour un salaire de
quelques centaines d'euros, en cdd. 20% du salaire était dépensé en
transport en commun. Ayant réussi à obtenir un nouveau cdd à temps
partiel dans la distribution, le constat était encore bien pire. Les
efforts physiques à trimbaler des palettes de produits étaient
surdimensionnés. Bien que les personnes pointaient matin et soir, la
drh ne payait et ne reconnaissait pas les heures supplémentaires...
Vous n'avez qu'à moins papoter et vous pourrez faire le travail
demandé en temps imparti, leur disait-on. Travailler plus pour gagner
plus ? Pas pour tout le monde apparemment ! Le temps partiel devait
s'effectuer parfois le soir, et/ou le week-end. Pire, l'emploi du
temps n'était pas défini par avance, tant et si bien qu'il n'était pas
possible à ces salariés de cumuler plusieurs de ces petits boulots.
Enfin, cerise sur le gâteau, cette femme reporter était allée voir la
drh, direction des ressources humaines de sa boîte. Elle lui avait
posé simplement cette question : Y a-t-il un syndicat dans votre
entreprise ? On lui avait répondu que non.
Et quelques minutes plus tard, elle fut rappelée par son supérieur
hiérarchique : sa période d'essai s'était révélée infructueuse, elle
était virée. Motif : elle posait trop de questions, mauvais état
d'esprit !
Le simple fait de demander dans une boîte s'il y a un syndicat vous
conduit, aujourd'hui, en 2009, au XXIème, en France, à être viré !
Misère !! Rappelons, comme on l'a fait dans ce bon reportage, qu'il se
trouve en Angleterre, pays libéral s'il en est pourtant, deux fois
plus d'inpecteurs du travail qu'en France...
Un journaliste de qualité, à Paris, n'a pas de problèmes pour travailler.
C'est juste un peu plus difficile dans les grandes villes de province.
Evidemment beaucoup plus au fin fond de la campagne : c'est un peu
logique, le nombre d'évènements notables (donc rapportables) est
proportionnel à la population, avec un gros bonus pour des zones
privilégiées économiquement comme l'Île de France.
Bien sûr, il faut accepter d'être pigiste, donc toujours à la recherche
de commandes. Mais quelqu'un qui commence ce métier sans envisager qu'il
sera comme 80% de ses pairs est un con. Même pire.
Je ne sais pas si vous avez vu le magazine "les infiltrés" de cette semaine, offrant un long reportage dans la peau d'une femme, diplômée bac + 3, mais en sciences humaines, cherchant et trouvant de (petits) boulots. Cette même journaliste est l'auteur d'un livre "Et pourtant je me suis levée tôt". Ceci pour répondre au neuneu qui a rédigé un post sur le pôle emploi et qualifiant en gros les chômeurs d'assistés et de paresseux. Cette femme donc a réussi à trouver quelques petits boulots, dans le démarchage téléphonique, dans la grande distribution. Des boulots sous-payés, à temps partiels, loin du domicile, épuisants. Ne permettant pas de vivre. L'on y voyait des gens qui se tapaient 2 heures de transport le matin, deux heures le soir, pour un salaire de quelques centaines d'euros, en cdd. 20% du salaire était dépensé en transport en commun. Ayant réussi à obtenir un nouveau cdd à temps partiel dans la distribution, le constat était encore bien pire. Les efforts physiques à trimbaler des palettes de produits étaient surdimensionnés. Bien que les personnes pointaient matin et soir, la drh ne payait et ne reconnaissait pas les heures supplémentaires... Vous n'avez qu'à moins papoter et vous pourrez faire le travail demandé en temps imparti, leur disait-on. Travailler plus pour gagner plus ? Pas pour tout le monde apparemment ! Le temps partiel devait s'effectuer parfois le soir, et/ou le week-end. Pire, l'emploi du temps n'était pas défini par avance, tant et si bien qu'il n'était pas possible à ces salariés de cumuler plusieurs de ces petits boulots. Enfin, cerise sur le gâteau, cette femme reporter était allée voir la drh, direction des ressources humaines de sa boîte. Elle lui avait posé simplement cette question : Y a-t-il un syndicat dans votre entreprise ? On lui avait répondu que non. Et quelques minutes plus tard, elle fut rappelée par son supérieur hiérarchique : sa période d'essai s'était révélée infructueuse, elle était virée. Motif : elle posait trop de questions, mauvais état d'esprit !
Le simple fait de demander dans une boîte s'il y a un syndicat vous conduit, aujourd'hui, en 2009, au XXIème, en France, à être viré ! Misère !! Rappelons, comme on l'a fait dans ce bon reportage, qu'il se trouve en Angleterre, pays libéral s'il en est pourtant, deux fois plus d'inpecteurs du travail qu'en France...
Un journaliste de qualité, à Paris, n'a pas de problèmes pour travailler. C'est juste un peu plus difficile dans les grandes villes de province. Evidemment beaucoup plus au fin fond de la campagne : c'est un peu logique, le nombre d'évènements notables (donc rapportables) est proportionnel à la population, avec un gros bonus pour des zones privilégiées économiquement comme l'Île de France. Bien sûr, il faut accepter d'être pigiste, donc toujours à la recherche de commandes. Mais quelqu'un qui commence ce métier sans envisager qu'il sera comme 80% de ses pairs est un con. Même pire.
-- LeLapin
LeLapin
se fendait de cette prose :
que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants
Moi je préfère le bbq, en plus on peut communiquer avec des gens.
-- LeLapin
se fendait de cette prose :
que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir
avec ses amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses
enfants
Moi je préfère le bbq, en plus on peut communiquer avec des gens.
> Un journaliste de qualité, à Paris, n'a pas de problèmes pour travailler. C'est juste un peu plus difficile dans les grandes villes de province. Evidemment beaucoup plus au fin fond de la campagne : c'est un peu logique, le nombre d'évènements notables (donc rapportables) est proportionnel à la population, avec un gros bonus pour des zones privilégiées économiquement comme l'Île de France. Bien sûr, il faut accepter d'être pigiste, donc toujours à la recherche de commandes. Mais quelqu'un qui commence ce métier sans envisager qu'il sera comme 80% de ses pairs est un con. Même pire.
Euh... Tu n'as compris, ou je me suis mal exprimé. Je penche pour la seconde hypothèse. Cette femme journaliste n'est pas en manque de travail. Elle a joué un rôle, celui d'une femme bac + 3 en sciences humaines à la recherche d'un boulot. Bref, elle s'est mise dans la peau d'un chômeur, ou plutôt d'une chômeuse et en a évalué toutes les étapes, en commençant par l'anpe. D'où le titre de l'émission, les infiltrés.
> Un journaliste de qualité, à Paris, n'a pas de problèmes pour travailler.
C'est juste un peu plus difficile dans les grandes villes de province.
Evidemment beaucoup plus au fin fond de la campagne : c'est un peu
logique, le nombre d'évènements notables (donc rapportables) est
proportionnel à la population, avec un gros bonus pour des zones
privilégiées économiquement comme l'Île de France.
Bien sûr, il faut accepter d'être pigiste, donc toujours à la recherche
de commandes. Mais quelqu'un qui commence ce métier sans envisager qu'il
sera comme 80% de ses pairs est un con. Même pire.
Euh... Tu n'as compris, ou je me suis mal exprimé. Je penche pour la seconde
hypothèse. Cette femme journaliste n'est pas en manque de travail. Elle a
joué un rôle, celui d'une femme bac + 3 en sciences humaines à la recherche
d'un boulot. Bref, elle s'est mise dans la peau d'un chômeur, ou plutôt
d'une chômeuse et en a évalué toutes les étapes, en commençant par l'anpe.
D'où le titre de l'émission, les infiltrés.
> Un journaliste de qualité, à Paris, n'a pas de problèmes pour travailler. C'est juste un peu plus difficile dans les grandes villes de province. Evidemment beaucoup plus au fin fond de la campagne : c'est un peu logique, le nombre d'évènements notables (donc rapportables) est proportionnel à la population, avec un gros bonus pour des zones privilégiées économiquement comme l'Île de France. Bien sûr, il faut accepter d'être pigiste, donc toujours à la recherche de commandes. Mais quelqu'un qui commence ce métier sans envisager qu'il sera comme 80% de ses pairs est un con. Même pire.
Euh... Tu n'as compris, ou je me suis mal exprimé. Je penche pour la seconde hypothèse. Cette femme journaliste n'est pas en manque de travail. Elle a joué un rôle, celui d'une femme bac + 3 en sciences humaines à la recherche d'un boulot. Bref, elle s'est mise dans la peau d'un chômeur, ou plutôt d'une chômeuse et en a évalué toutes les étapes, en commençant par l'anpe. D'où le titre de l'émission, les infiltrés.
LeLapin
se fendait de cette prose :
Vincent wrote:
gauchiasse ad libitum
loll c'est vraiment niais ce que tu écris
Mais arrêtez de parler politique quand il y a des quebs dans le coin ! Vous voyez bien qu'ils ne percutent pas !
-- LeLapin
se fendait de cette prose :
Vincent wrote:
gauchiasse ad libitum
loll c'est vraiment niais ce que tu écris
Mais arrêtez de parler politique quand il y a des quebs dans le coin ! Vous
voyez bien qu'ils ne percutent pas !
tu ne sais vraiment plus quoi écrire comme connerie pour qu'on croie à tes salades...
Lys
<burhen>
Vincent wrote:
snip
ramassis de gauchiasse oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner moins que son patron que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron est déjà en train de préparer la semaine qui suit que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans prendre une seule responsabilité que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout
Juste une question, tu fais quoi comme boulot ?
<burhen>
Vincent wrote:
snip
ramassis de gauchiasse
oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner moins
que son patron
que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses
amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants
que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron
est déjà en train de préparer la semaine qui suit
que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans
prendre une seule responsabilité
que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout
ramassis de gauchiasse oh oui que c'est dur de se lever le matin pour aller bosser et gagner moins que son patron que c'est dur d'avoir comme récompense un barbecue le vendredi soir avec ses amis tandis que son patron va au concert avec sa femme et ses enfants que c'est dur d'avoir un samedi et un dimanche télévision quand son patron est déjà en train de préparer la semaine qui suit que c'est dur d'avoir une vie de merde quand on veut de l'argent sans prendre une seule responsabilité que c'est dur de se bouger quand on est assisté et qu'on nous doit tout