La « justice » (« française ») ordonne de détruire la stèle aux morts pour l’Algérie française à Marignane
2 réponses
Taureau Assis
La semaine passée commissaire du gouvernement « français » demandait au
tribunal administratif de Marseille d’annuler un arrêté autorisant
l‘édification d’une stèle à la mémoire des morts de l’Algérie française
dans un cimetière de Marignane.
Les choses n’ont pas traîné : le tribunal administratif de Marseille
ordonne de détruire la stèle de nos pauvres morts. Ils auront été
chassés de leur terre natale. Ils doivent l'être aussi des cimetières de
cette « Patosie» où gaullistes à la Sarkozy, socialo-communistes,
porteurs de valises, fellouzes, continuent de les poursuivre de leur haine.
Dans cette France où l’on s’apprête, ce 14 Juillet, à faire défiler
l’armée française devant un dictateur syrien et le sinistre Bouteflika,
on en est arrivé à profaner les cimetières et à détruire – comme l’ont
été nos monuments commémoratifs dans l’Algérie fellouze – une stèle,
pourtant bien discrète mais qui, paraît-il, peut « heurter les usagers
des lieux ».
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"Taureau Assis" a écrit dans le message de news: g5561j$pet$
La semaine passée commissaire du gouvernement « français » demandait au tribunal administratif de Marseille d’annuler un arrêté autorisant l‘édification d’une stèle à la mémoire des morts de l’Algérie française dans un cimetière de Marignane.
Les choses n’ont pas traîné : le tribunal administratif de Marseille ordonne de détruire la stèle de nos pauvres morts. Ils auront été chassés de leur terre natale. Ils doivent l'être aussi des cimetières de cette « Patosie» où gaullistes à la Sarkozy, socialo-communistes, porteurs de valises, fellouzes, continuent de les poursuivre de leur haine.
Dans cette France où l’on s’apprête, ce 14 Juillet, à faire défiler l’armée française devant un dictateur syrien et le sinistre Bouteflika, on en est arrivé à profaner les cimetières et à détruire – comme l’ont été nos monuments commémoratifs dans l’Algérie fellouze – une stèle, pourtant bien discrète mais qui, paraît-il, peut « heurter les usagers des lieux ».
Qu'est ce que pouvait contenir comme phrase cette stele pour etre detruit ?
"Taureau Assis" <taureau@a6.ca> a écrit dans le message de news:
g5561j$pet$1@aioe.org...
La semaine passée commissaire du gouvernement « français » demandait au
tribunal administratif de Marseille d’annuler un arrêté autorisant l‘édification
d’une stèle à la mémoire des morts de l’Algérie française dans un
cimetière de Marignane.
Les choses n’ont pas traîné : le tribunal administratif de Marseille
ordonne de détruire la stèle de nos pauvres morts. Ils auront été chassés
de leur terre natale. Ils doivent l'être aussi des cimetières de cette «
Patosie» où gaullistes à la Sarkozy, socialo-communistes, porteurs de
valises, fellouzes, continuent de les poursuivre de leur haine.
Dans cette France où l’on s’apprête, ce 14 Juillet, à faire défiler l’armée
française devant un dictateur syrien et le sinistre Bouteflika, on en est
arrivé à profaner les cimetières et à détruire – comme l’ont été nos
monuments commémoratifs dans l’Algérie fellouze – une stèle, pourtant bien
discrète mais qui, paraît-il, peut « heurter les usagers des lieux ».
Qu'est ce que pouvait contenir comme phrase cette stele pour etre detruit ?
"Taureau Assis" a écrit dans le message de news: g5561j$pet$
La semaine passée commissaire du gouvernement « français » demandait au tribunal administratif de Marseille d’annuler un arrêté autorisant l‘édification d’une stèle à la mémoire des morts de l’Algérie française dans un cimetière de Marignane.
Les choses n’ont pas traîné : le tribunal administratif de Marseille ordonne de détruire la stèle de nos pauvres morts. Ils auront été chassés de leur terre natale. Ils doivent l'être aussi des cimetières de cette « Patosie» où gaullistes à la Sarkozy, socialo-communistes, porteurs de valises, fellouzes, continuent de les poursuivre de leur haine.
Dans cette France où l’on s’apprête, ce 14 Juillet, à faire défiler l’armée française devant un dictateur syrien et le sinistre Bouteflika, on en est arrivé à profaner les cimetières et à détruire – comme l’ont été nos monuments commémoratifs dans l’Algérie fellouze – une stèle, pourtant bien discrète mais qui, paraît-il, peut « heurter les usagers des lieux ».
Qu'est ce que pouvait contenir comme phrase cette stele pour etre detruit ?
Le Chanoine de ces lieux
Taureau Assis wrote:
La semaine passée commissaire du gouvernement « français » demandait au tribunal administratif de Marseille d’annuler un arrêté autorisant l‘édification d’une stèle à la mémoire des morts de l’Algérie française dans un cimetière de Marignane.
Les choses n’ont pas traîné : le tribunal administratif de Marseille ordonne de détruire la stèle de nos pauvres morts. Ils auront été chassés de leur terre natale. Ils doivent l'être aussi des cimetières de cette « Patosie» où gaullistes à la Sarkozy, socialo-communistes, porteurs de valises, fellouzes, continuent de les poursuivre de leur haine.
"[....] Aujourd’hui, je reconnais que la rébellion combattait également pour une juste cause, la sienne, ce que j’avais tendance à lui dénier à l’époque. En cela ma vision du conflit s’est modifiée. L’ennemi, si faible au commencement, voulait nous chasser d’une terre qu’il revendiquait pour lui seul par droit d’antériorité. Lui aussi combattait pour sa dignité. Il combattait pour conquérir une patrie, pour se donner une identité, pour édifier une nation. Parce que les deux causes étaient justes et d’un antagonisme absolu, il n’y avait entre elles ni moyen terme ni négociation possible. Seule, la guerre pouvait les départager. Tel est le contenu tragique de la guerre et sa signification. » [Dominique Venner. Le cœur rebelle. 1994] -- RE, en direct de Saint-Jean de Latran
Taureau Assis <taureau@a6.ca> wrote:
La semaine passée commissaire du gouvernement « français » demandait
au tribunal administratif de Marseille d’annuler un arrêté autorisant
l‘édification d’une stèle à la mémoire des morts de l’Algérie
française dans un cimetière de Marignane.
Les choses n’ont pas traîné : le tribunal administratif de Marseille
ordonne de détruire la stèle de nos pauvres morts. Ils auront été
chassés de leur terre natale. Ils doivent l'être aussi des cimetières
de cette « Patosie» où gaullistes à la Sarkozy, socialo-communistes,
porteurs de valises, fellouzes, continuent de les poursuivre de leur
haine.
"[....] Aujourd’hui, je reconnais que la rébellion combattait également pour
une juste cause, la sienne, ce que j’avais tendance à lui dénier à l’époque.
En cela ma vision du conflit s’est modifiée. L’ennemi, si faible au
commencement, voulait nous chasser d’une terre qu’il revendiquait pour lui
seul par droit d’antériorité. Lui aussi combattait pour sa dignité. Il
combattait pour conquérir une patrie, pour se donner une identité, pour
édifier une nation. Parce que les deux causes étaient justes et d’un
antagonisme absolu, il n’y avait entre elles ni moyen terme ni négociation
possible. Seule, la guerre pouvait les départager. Tel est le contenu
tragique de la guerre et sa signification. » [Dominique Venner. Le cœur
rebelle. 1994]
--
RE, en direct de Saint-Jean de Latran
La semaine passée commissaire du gouvernement « français » demandait au tribunal administratif de Marseille d’annuler un arrêté autorisant l‘édification d’une stèle à la mémoire des morts de l’Algérie française dans un cimetière de Marignane.
Les choses n’ont pas traîné : le tribunal administratif de Marseille ordonne de détruire la stèle de nos pauvres morts. Ils auront été chassés de leur terre natale. Ils doivent l'être aussi des cimetières de cette « Patosie» où gaullistes à la Sarkozy, socialo-communistes, porteurs de valises, fellouzes, continuent de les poursuivre de leur haine.
"[....] Aujourd’hui, je reconnais que la rébellion combattait également pour une juste cause, la sienne, ce que j’avais tendance à lui dénier à l’époque. En cela ma vision du conflit s’est modifiée. L’ennemi, si faible au commencement, voulait nous chasser d’une terre qu’il revendiquait pour lui seul par droit d’antériorité. Lui aussi combattait pour sa dignité. Il combattait pour conquérir une patrie, pour se donner une identité, pour édifier une nation. Parce que les deux causes étaient justes et d’un antagonisme absolu, il n’y avait entre elles ni moyen terme ni négociation possible. Seule, la guerre pouvait les départager. Tel est le contenu tragique de la guerre et sa signification. » [Dominique Venner. Le cœur rebelle. 1994] -- RE, en direct de Saint-Jean de Latran