Liens affectifs entre grands-parents et petites-filles BRISES
6 réponses
tribut.valere
Bonjour.
J'ai bien lu et relu les différents messages déposés sur ce forum,
mais je me permets malgré tout de vous soumettre ma situation, en
raison de son caractère assez insolite.
Mes grands-parents ont des relations très tendues avec leur gendre
(mon oncle en l'occurence).
En effet, ce dernier empêche ses filles:
- d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours
appelés ainsi)
- de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative
traumatisante),
- de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité
interrompus, détournés),
- d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le
jardin potager par exemple),
- de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou
- habilement écourtés),
- de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force
majeure)
La question de laisser ses filles aux grands-parents pendant les
vacances ne s'est, bien évidemment, jamais posée à mon oncle. De sorte
que mes grands-parents deviennent presque des "étrangers" aux yeux de
leurs petites-filles. Elles connaissent tout juste le prénom de mes
grands-parents (j'exagère, mais je n'étais pas loin de la vérité, il
n'y a pas si longtemps)
Les quelques correspondances obtenues par écrit, entre mes
grands-parents et leurs petites-filles, demeurent les seules formes
d'échange privées établies entre eux. En admettant que ces
correspondances ne soient pas contrôlées par mon oncle (leur gendre).
Les échanges téléphoniques, à l'initiative de mes grands-parents, vers
leurs petites filles restent très rares, car très mal ressentis par le
gendre.
Mes grands-parents n'entretiendront jamais les liens que nous avons
tissés avec mes grands-parents mais ils vieillissent et j'aimerais
leur rendre service en espérant qu'il ne soit pas trop tard (bien que
beaucoup de mal ait été fait).
Je ne prétends pas être objectif dans mon jugement/analyse: je porte
une grande affection pour mes grands-parents, j'ai reçu beaucoup
d'amour de leur part et je ne comprends pas qu'il n'en soit pas de
même pour mes cousines.
Sachant que rien ne s'y oppose, sinon un père arqueboutté sur des
principes consistant, de toute évidence, à neutraliser toute forme
d'attachement (naturel) naissant entre mes grands-parents et leurs
petites-filles. Celles-ci sont âgées de 13, et 17 ans à ce jour.
Je n'ai surement pas connaissance de tout le contexte relationnel
entre mes grands-parents et leur gendre. Je n'ai d'ailleurs rien à
reprocher à mon oncle à titre personnel, mais force est de constater
la brutalité et la sécheresse de son comportement (quasi-associal,
maladroit, pour ne pas dire méchant) aux dépens de mes grands-parents.
Il faut savoir que mes grands-parents peuvent "voir" - du verbe voir -
leurs petites filles, lors de leurs passages chez eux (2/3 jours au
moment des vacances scolaires alors qu'ils restent bien 10 jours dans
la famille de mon oncle..) mais toujours sous l'étroite surveillance
de mon oncle. Il règne, à ses moments, une ambiance pesante, un climat
tendu ("on entend les mouches voler", à table), qui fatigue mes
grands-parents. Beaucoup de larmes coulent de leur côté, de + en +
souvent.
La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais
et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je
comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une
telle prise de distance de sa part.
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude
peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives
disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage
précieux sur cette sombre situation exaspérante.
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Bonsoir,
je suis grand-père et avec mon épouse, il nous reste de la force pour botter les fesses à celui qui voudrait nous dicter notre conduite avec nos petits enfants !
Dan
============================================================================ "valere" a écrit dans le message de news:
Bonjour.
J'ai bien lu et relu les différents messages déposés sur ce forum, mais je me permets malgré tout de vous soumettre ma situation, en raison de son caractère assez insolite.
Mes grands-parents ont des relations très tendues avec leur gendre (mon oncle en l'occurence).
En effet, ce dernier empêche ses filles: - d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours appelés ainsi) - de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative traumatisante), - de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité interrompus, détournés), - d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le jardin potager par exemple), - de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou - habilement écourtés), - de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force majeure)
La question de laisser ses filles aux grands-parents pendant les vacances ne s'est, bien évidemment, jamais posée à mon oncle. De sorte que mes grands-parents deviennent presque des "étrangers" aux yeux de leurs petites-filles. Elles connaissent tout juste le prénom de mes grands-parents (j'exagère, mais je n'étais pas loin de la vérité, il n'y a pas si longtemps)
Les quelques correspondances obtenues par écrit, entre mes grands-parents et leurs petites-filles, demeurent les seules formes d'échange privées établies entre eux. En admettant que ces correspondances ne soient pas contrôlées par mon oncle (leur gendre).
Les échanges téléphoniques, à l'initiative de mes grands-parents, vers leurs petites filles restent très rares, car très mal ressentis par le gendre.
Mes grands-parents n'entretiendront jamais les liens que nous avons tissés avec mes grands-parents mais ils vieillissent et j'aimerais leur rendre service en espérant qu'il ne soit pas trop tard (bien que beaucoup de mal ait été fait).
Je ne prétends pas être objectif dans mon jugement/analyse: je porte une grande affection pour mes grands-parents, j'ai reçu beaucoup d'amour de leur part et je ne comprends pas qu'il n'en soit pas de même pour mes cousines.
Sachant que rien ne s'y oppose, sinon un père arqueboutté sur des principes consistant, de toute évidence, à neutraliser toute forme d'attachement (naturel) naissant entre mes grands-parents et leurs petites-filles. Celles-ci sont âgées de 13, et 17 ans à ce jour.
Je n'ai surement pas connaissance de tout le contexte relationnel entre mes grands-parents et leur gendre. Je n'ai d'ailleurs rien à reprocher à mon oncle à titre personnel, mais force est de constater la brutalité et la sécheresse de son comportement (quasi-associal, maladroit, pour ne pas dire méchant) aux dépens de mes grands-parents.
Il faut savoir que mes grands-parents peuvent "voir" - du verbe voir - leurs petites filles, lors de leurs passages chez eux (2/3 jours au moment des vacances scolaires alors qu'ils restent bien 10 jours dans la famille de mon oncle..) mais toujours sous l'étroite surveillance de mon oncle. Il règne, à ses moments, une ambiance pesante, un climat tendu ("on entend les mouches voler", à table), qui fatigue mes grands-parents. Beaucoup de larmes coulent de leur côté, de + en + souvent.
La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une telle prise de distance de sa part.
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Bonsoir,
je suis grand-père et avec mon épouse, il nous reste de la force pour botter
les fesses à celui qui voudrait nous dicter notre conduite avec nos petits
enfants !
Dan
============================================================================
"valere" <tribut.valere@free.fr> a écrit dans le message de news:
445182dd.0502230938.58bebc8f@posting.google.com...
Bonjour.
J'ai bien lu et relu les différents messages déposés sur ce forum,
mais je me permets malgré tout de vous soumettre ma situation, en
raison de son caractère assez insolite.
Mes grands-parents ont des relations très tendues avec leur gendre
(mon oncle en l'occurence).
En effet, ce dernier empêche ses filles:
- d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours
appelés ainsi)
- de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative
traumatisante),
- de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité
interrompus, détournés),
- d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le
jardin potager par exemple),
- de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou
- habilement écourtés),
- de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force
majeure)
La question de laisser ses filles aux grands-parents pendant les
vacances ne s'est, bien évidemment, jamais posée à mon oncle. De sorte
que mes grands-parents deviennent presque des "étrangers" aux yeux de
leurs petites-filles. Elles connaissent tout juste le prénom de mes
grands-parents (j'exagère, mais je n'étais pas loin de la vérité, il
n'y a pas si longtemps)
Les quelques correspondances obtenues par écrit, entre mes
grands-parents et leurs petites-filles, demeurent les seules formes
d'échange privées établies entre eux. En admettant que ces
correspondances ne soient pas contrôlées par mon oncle (leur gendre).
Les échanges téléphoniques, à l'initiative de mes grands-parents, vers
leurs petites filles restent très rares, car très mal ressentis par le
gendre.
Mes grands-parents n'entretiendront jamais les liens que nous avons
tissés avec mes grands-parents mais ils vieillissent et j'aimerais
leur rendre service en espérant qu'il ne soit pas trop tard (bien que
beaucoup de mal ait été fait).
Je ne prétends pas être objectif dans mon jugement/analyse: je porte
une grande affection pour mes grands-parents, j'ai reçu beaucoup
d'amour de leur part et je ne comprends pas qu'il n'en soit pas de
même pour mes cousines.
Sachant que rien ne s'y oppose, sinon un père arqueboutté sur des
principes consistant, de toute évidence, à neutraliser toute forme
d'attachement (naturel) naissant entre mes grands-parents et leurs
petites-filles. Celles-ci sont âgées de 13, et 17 ans à ce jour.
Je n'ai surement pas connaissance de tout le contexte relationnel
entre mes grands-parents et leur gendre. Je n'ai d'ailleurs rien à
reprocher à mon oncle à titre personnel, mais force est de constater
la brutalité et la sécheresse de son comportement (quasi-associal,
maladroit, pour ne pas dire méchant) aux dépens de mes grands-parents.
Il faut savoir que mes grands-parents peuvent "voir" - du verbe voir -
leurs petites filles, lors de leurs passages chez eux (2/3 jours au
moment des vacances scolaires alors qu'ils restent bien 10 jours dans
la famille de mon oncle..) mais toujours sous l'étroite surveillance
de mon oncle. Il règne, à ses moments, une ambiance pesante, un climat
tendu ("on entend les mouches voler", à table), qui fatigue mes
grands-parents. Beaucoup de larmes coulent de leur côté, de + en +
souvent.
La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais
et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je
comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une
telle prise de distance de sa part.
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude
peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives
disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage
précieux sur cette sombre situation exaspérante.
je suis grand-père et avec mon épouse, il nous reste de la force pour botter les fesses à celui qui voudrait nous dicter notre conduite avec nos petits enfants !
Dan
============================================================================ "valere" a écrit dans le message de news:
Bonjour.
J'ai bien lu et relu les différents messages déposés sur ce forum, mais je me permets malgré tout de vous soumettre ma situation, en raison de son caractère assez insolite.
Mes grands-parents ont des relations très tendues avec leur gendre (mon oncle en l'occurence).
En effet, ce dernier empêche ses filles: - d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours appelés ainsi) - de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative traumatisante), - de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité interrompus, détournés), - d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le jardin potager par exemple), - de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou - habilement écourtés), - de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force majeure)
La question de laisser ses filles aux grands-parents pendant les vacances ne s'est, bien évidemment, jamais posée à mon oncle. De sorte que mes grands-parents deviennent presque des "étrangers" aux yeux de leurs petites-filles. Elles connaissent tout juste le prénom de mes grands-parents (j'exagère, mais je n'étais pas loin de la vérité, il n'y a pas si longtemps)
Les quelques correspondances obtenues par écrit, entre mes grands-parents et leurs petites-filles, demeurent les seules formes d'échange privées établies entre eux. En admettant que ces correspondances ne soient pas contrôlées par mon oncle (leur gendre).
Les échanges téléphoniques, à l'initiative de mes grands-parents, vers leurs petites filles restent très rares, car très mal ressentis par le gendre.
Mes grands-parents n'entretiendront jamais les liens que nous avons tissés avec mes grands-parents mais ils vieillissent et j'aimerais leur rendre service en espérant qu'il ne soit pas trop tard (bien que beaucoup de mal ait été fait).
Je ne prétends pas être objectif dans mon jugement/analyse: je porte une grande affection pour mes grands-parents, j'ai reçu beaucoup d'amour de leur part et je ne comprends pas qu'il n'en soit pas de même pour mes cousines.
Sachant que rien ne s'y oppose, sinon un père arqueboutté sur des principes consistant, de toute évidence, à neutraliser toute forme d'attachement (naturel) naissant entre mes grands-parents et leurs petites-filles. Celles-ci sont âgées de 13, et 17 ans à ce jour.
Je n'ai surement pas connaissance de tout le contexte relationnel entre mes grands-parents et leur gendre. Je n'ai d'ailleurs rien à reprocher à mon oncle à titre personnel, mais force est de constater la brutalité et la sécheresse de son comportement (quasi-associal, maladroit, pour ne pas dire méchant) aux dépens de mes grands-parents.
Il faut savoir que mes grands-parents peuvent "voir" - du verbe voir - leurs petites filles, lors de leurs passages chez eux (2/3 jours au moment des vacances scolaires alors qu'ils restent bien 10 jours dans la famille de mon oncle..) mais toujours sous l'étroite surveillance de mon oncle. Il règne, à ses moments, une ambiance pesante, un climat tendu ("on entend les mouches voler", à table), qui fatigue mes grands-parents. Beaucoup de larmes coulent de leur côté, de + en + souvent.
La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une telle prise de distance de sa part.
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Black Myst
valere wrote:
Bonjour.
....
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents... La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur faire savoir à quelpoint cette situation blesses ces GP. Je ne doute pas qu'a 17 ans, la ptit'fille soit en mesure de trompé la vigilance de l'oncle si c'est sa volonté (et qu'elle puisse emmené sa soeur avec elle)
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement (mais pas necessaire rationnel)
bonne chance
valere wrote:
Bonjour.
....
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude
peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives
disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage
précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents...
La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que
ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur
faire savoir à quelpoint cette situation blesses ces GP.
Je ne doute pas qu'a 17 ans, la ptit'fille soit en mesure de trompé la
vigilance de l'oncle si c'est sa volonté (et qu'elle puisse emmené sa
soeur avec elle)
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas
qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la
tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de
l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement
(mais pas necessaire rationnel)
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents... La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur faire savoir à quelpoint cette situation blesses ces GP. Je ne doute pas qu'a 17 ans, la ptit'fille soit en mesure de trompé la vigilance de l'oncle si c'est sa volonté (et qu'elle puisse emmené sa soeur avec elle)
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement (mais pas necessaire rationnel)
bonne chance
tribut.valere
Black Myst <Black_point_Myst_chez_free_point_fr> wrote in message news:<421ceb30$0$14815$...
valere wrote: > Bonjour. > .... > > Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude > peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives > disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage > précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents... La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur faire savoir à quelpoint cette situation blesse ces GP.
Elles semblent mesurer la gravite de la situation, mais leur papa, c'est "leur papa".
Je ne doute pas qu'a 17 ans, la ptit'fille soit en mesure de tromper la vigilance de l'oncle si c'est sa volonté (et qu'elle puisse emmené sa soeur avec elle)
Impossible: les parents exercent une emprise très forte sur elles et ne les laisseraient jamais partir du foyer familial. A moins que, dans quelques années... Mais il sera trop tard car les filles n'auront pas le lien d'attache qu'ont les petites-filles avec leurs grands-parents. Mes grands-parents resteront des "étrangers". (Au mieux elles éprouveront de la compassion). Mon oncle aura GAGNE.
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement (mais pas necessairement rationnel).
Je peux peut-être lui conseiller de consulter. Il devrait trouver de bonnes adresses (de psy) sur Paris. Je connais mes grands-parents: ils sont très affables, modernes. Je ne comprends pas comment il a pu en arriver là. Mes grands-parents devraient-ils menacer mon oncle d'en référer à un JAF en vertu de l'article 371-4 du code civil ? Ecrire une lettre à mon oncle pour mettre les choses au point ?
bonne chance
On en a grand besoin. Merci du réconfort, en tout cas.
Black Myst <Black_point_Myst_chez_free_point_fr> wrote in message news:<421ceb30$0$14815$636a15ce@news.free.fr>...
valere wrote:
> Bonjour.
>
....
>
> Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude
> peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives
> disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage
> précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents...
La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que
ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur
faire savoir à quelpoint cette situation blesse ces GP.
Elles semblent mesurer la gravite de la situation, mais leur papa,
c'est "leur papa".
Je ne doute pas qu'a 17 ans, la ptit'fille soit en mesure de tromper la
vigilance de l'oncle si c'est sa volonté (et qu'elle puisse emmené sa
soeur avec elle)
Impossible: les parents exercent une emprise très forte sur elles et
ne les laisseraient jamais partir du foyer familial. A moins que, dans
quelques années... Mais il sera trop tard car les filles n'auront pas
le lien d'attache qu'ont les petites-filles avec leurs grands-parents.
Mes grands-parents resteront des "étrangers". (Au mieux elles
éprouveront de la compassion). Mon oncle aura GAGNE.
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas
qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la
tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de
l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement
(mais pas necessairement rationnel).
Je peux peut-être lui conseiller de consulter. Il devrait trouver de
bonnes adresses (de psy) sur Paris. Je connais mes grands-parents: ils
sont très affables, modernes. Je ne comprends pas comment il a pu en
arriver là. Mes grands-parents devraient-ils menacer mon oncle d'en
référer à un JAF en vertu de l'article 371-4 du code civil ? Ecrire
une lettre à mon oncle pour mettre les choses au point ?
bonne chance
On en a grand besoin. Merci du réconfort, en tout cas.
Black Myst <Black_point_Myst_chez_free_point_fr> wrote in message news:<421ceb30$0$14815$...
valere wrote: > Bonjour. > .... > > Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude > peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives > disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage > précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents... La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur faire savoir à quelpoint cette situation blesse ces GP.
Elles semblent mesurer la gravite de la situation, mais leur papa, c'est "leur papa".
Je ne doute pas qu'a 17 ans, la ptit'fille soit en mesure de tromper la vigilance de l'oncle si c'est sa volonté (et qu'elle puisse emmené sa soeur avec elle)
Impossible: les parents exercent une emprise très forte sur elles et ne les laisseraient jamais partir du foyer familial. A moins que, dans quelques années... Mais il sera trop tard car les filles n'auront pas le lien d'attache qu'ont les petites-filles avec leurs grands-parents. Mes grands-parents resteront des "étrangers". (Au mieux elles éprouveront de la compassion). Mon oncle aura GAGNE.
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement (mais pas necessairement rationnel).
Je peux peut-être lui conseiller de consulter. Il devrait trouver de bonnes adresses (de psy) sur Paris. Je connais mes grands-parents: ils sont très affables, modernes. Je ne comprends pas comment il a pu en arriver là. Mes grands-parents devraient-ils menacer mon oncle d'en référer à un JAF en vertu de l'article 371-4 du code civil ? Ecrire une lettre à mon oncle pour mettre les choses au point ?
bonne chance
On en a grand besoin. Merci du réconfort, en tout cas.
tribut.valere
"GRANYACA" wrote in message news:<421ced7f$0$7063$...
Bonsoir,
je suis grand-père et avec mon épouse, il nous reste de la force pour botter les fesses à celui qui voudrait nous dicter notre conduite avec nos petits enfants !
Dan
Là, ils sont tombés sur un cas (j'allais dire un caîd). Mes grands-parents devraient peut-être se renseigner auprès d'un JAF, en vertu de l'article 371-4 du code civil.
============================================================================ > "valere" a écrit dans le message de news:
> Bonjour. > > J'ai bien lu et relu les différents messages déposés sur ce forum, > mais je me permets malgré tout de vous soumettre ma situation, en > raison de son caractère assez insolite. > > Mes grands-parents ont des relations très tendues avec leur gendre > (mon oncle en l'occurence). > > En effet, ce dernier empêche ses filles: > - d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours > appelés ainsi) > - de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative > traumatisante), > - de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité > interrompus, détournés), > - d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le > jardin potager par exemple), > - de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou > - habilement écourtés), > - de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force > majeure) > > > La question de laisser ses filles aux grands-parents pendant les > vacances ne s'est, bien évidemment, jamais posée à mon oncle. De sorte > que mes grands-parents deviennent presque des "étrangers" aux yeux de > leurs petites-filles. Elles connaissent tout juste le prénom de mes > grands-parents (j'exagère, mais je n'étais pas loin de la vérité, il > n'y a pas si longtemps) > > Les quelques correspondances obtenues par écrit, entre mes > grands-parents et leurs petites-filles, demeurent les seules formes > d'échange privées établies entre eux. En admettant que ces > correspondances ne soient pas contrôlées par mon oncle (leur gendre). > > Les échanges téléphoniques, à l'initiative de mes grands-parents, vers > leurs petites filles restent très rares, car très mal ressentis par le > gendre. > > Mes grands-parents n'entretiendront jamais les liens que nous avons > tissés avec mes grands-parents mais ils vieillissent et j'aimerais > leur rendre service en espérant qu'il ne soit pas trop tard (bien que > beaucoup de mal ait été fait). > > Je ne prétends pas être objectif dans mon jugement/analyse: je porte > une grande affection pour mes grands-parents, j'ai reçu beaucoup > d'amour de leur part et je ne comprends pas qu'il n'en soit pas de > même pour mes cousines. > > Sachant que rien ne s'y oppose, sinon un père arqueboutté sur des > principes consistant, de toute évidence, à neutraliser toute forme > d'attachement (naturel) naissant entre mes grands-parents et leurs > petites-filles. Celles-ci sont âgées de 13, et 17 ans à ce jour. > > Je n'ai surement pas connaissance de tout le contexte relationnel > entre mes grands-parents et leur gendre. Je n'ai d'ailleurs rien à > reprocher à mon oncle à titre personnel, mais force est de constater > la brutalité et la sécheresse de son comportement (quasi-associal, > maladroit, pour ne pas dire méchant) aux dépens de mes grands-parents. > > Il faut savoir que mes grands-parents peuvent "voir" - du verbe voir - > leurs petites filles, lors de leurs passages chez eux (2/3 jours au > moment des vacances scolaires alors qu'ils restent bien 10 jours dans > la famille de mon oncle..) mais toujours sous l'étroite surveillance > de mon oncle. Il règne, à ses moments, une ambiance pesante, un climat > tendu ("on entend les mouches voler", à table), qui fatigue mes > grands-parents. Beaucoup de larmes coulent de leur côté, de + en + > souvent. > > La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais > et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je > comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une > telle prise de distance de sa part. > > Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude > peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives > disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage > précieux sur cette sombre situation exaspérante.
"GRANYACA" <granyaca@free.fr> wrote in message news:<421ced7f$0$7063$626a14ce@news.free.fr>...
Bonsoir,
je suis grand-père et avec mon épouse, il nous reste de la force pour botter
les fesses à celui qui voudrait nous dicter notre conduite avec nos petits
enfants !
Dan
Là, ils sont tombés sur un cas (j'allais dire un caîd). Mes
grands-parents devraient peut-être se renseigner auprès d'un JAF, en
vertu de l'article 371-4 du code civil.
============================================================================ >
"valere" <tribut.valere@free.fr> a écrit dans le message de news:
445182dd.0502230938.58bebc8f@posting.google.com...
> Bonjour.
>
> J'ai bien lu et relu les différents messages déposés sur ce forum,
> mais je me permets malgré tout de vous soumettre ma situation, en
> raison de son caractère assez insolite.
>
> Mes grands-parents ont des relations très tendues avec leur gendre
> (mon oncle en l'occurence).
>
> En effet, ce dernier empêche ses filles:
> - d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours
> appelés ainsi)
> - de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative
> traumatisante),
> - de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité
> interrompus, détournés),
> - d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le
> jardin potager par exemple),
> - de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou
> - habilement écourtés),
> - de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force
> majeure)
>
>
> La question de laisser ses filles aux grands-parents pendant les
> vacances ne s'est, bien évidemment, jamais posée à mon oncle. De sorte
> que mes grands-parents deviennent presque des "étrangers" aux yeux de
> leurs petites-filles. Elles connaissent tout juste le prénom de mes
> grands-parents (j'exagère, mais je n'étais pas loin de la vérité, il
> n'y a pas si longtemps)
>
> Les quelques correspondances obtenues par écrit, entre mes
> grands-parents et leurs petites-filles, demeurent les seules formes
> d'échange privées établies entre eux. En admettant que ces
> correspondances ne soient pas contrôlées par mon oncle (leur gendre).
>
> Les échanges téléphoniques, à l'initiative de mes grands-parents, vers
> leurs petites filles restent très rares, car très mal ressentis par le
> gendre.
>
> Mes grands-parents n'entretiendront jamais les liens que nous avons
> tissés avec mes grands-parents mais ils vieillissent et j'aimerais
> leur rendre service en espérant qu'il ne soit pas trop tard (bien que
> beaucoup de mal ait été fait).
>
> Je ne prétends pas être objectif dans mon jugement/analyse: je porte
> une grande affection pour mes grands-parents, j'ai reçu beaucoup
> d'amour de leur part et je ne comprends pas qu'il n'en soit pas de
> même pour mes cousines.
>
> Sachant que rien ne s'y oppose, sinon un père arqueboutté sur des
> principes consistant, de toute évidence, à neutraliser toute forme
> d'attachement (naturel) naissant entre mes grands-parents et leurs
> petites-filles. Celles-ci sont âgées de 13, et 17 ans à ce jour.
>
> Je n'ai surement pas connaissance de tout le contexte relationnel
> entre mes grands-parents et leur gendre. Je n'ai d'ailleurs rien à
> reprocher à mon oncle à titre personnel, mais force est de constater
> la brutalité et la sécheresse de son comportement (quasi-associal,
> maladroit, pour ne pas dire méchant) aux dépens de mes grands-parents.
>
> Il faut savoir que mes grands-parents peuvent "voir" - du verbe voir -
> leurs petites filles, lors de leurs passages chez eux (2/3 jours au
> moment des vacances scolaires alors qu'ils restent bien 10 jours dans
> la famille de mon oncle..) mais toujours sous l'étroite surveillance
> de mon oncle. Il règne, à ses moments, une ambiance pesante, un climat
> tendu ("on entend les mouches voler", à table), qui fatigue mes
> grands-parents. Beaucoup de larmes coulent de leur côté, de + en +
> souvent.
>
> La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais
> et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je
> comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une
> telle prise de distance de sa part.
>
> Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude
> peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives
> disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage
> précieux sur cette sombre situation exaspérante.
"GRANYACA" wrote in message news:<421ced7f$0$7063$...
Bonsoir,
je suis grand-père et avec mon épouse, il nous reste de la force pour botter les fesses à celui qui voudrait nous dicter notre conduite avec nos petits enfants !
Dan
Là, ils sont tombés sur un cas (j'allais dire un caîd). Mes grands-parents devraient peut-être se renseigner auprès d'un JAF, en vertu de l'article 371-4 du code civil.
============================================================================ > "valere" a écrit dans le message de news:
> Bonjour. > > J'ai bien lu et relu les différents messages déposés sur ce forum, > mais je me permets malgré tout de vous soumettre ma situation, en > raison de son caractère assez insolite. > > Mes grands-parents ont des relations très tendues avec leur gendre > (mon oncle en l'occurence). > > En effet, ce dernier empêche ses filles: > - d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours > appelés ainsi) > - de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative > traumatisante), > - de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité > interrompus, détournés), > - d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le > jardin potager par exemple), > - de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou > - habilement écourtés), > - de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force > majeure) > > > La question de laisser ses filles aux grands-parents pendant les > vacances ne s'est, bien évidemment, jamais posée à mon oncle. De sorte > que mes grands-parents deviennent presque des "étrangers" aux yeux de > leurs petites-filles. Elles connaissent tout juste le prénom de mes > grands-parents (j'exagère, mais je n'étais pas loin de la vérité, il > n'y a pas si longtemps) > > Les quelques correspondances obtenues par écrit, entre mes > grands-parents et leurs petites-filles, demeurent les seules formes > d'échange privées établies entre eux. En admettant que ces > correspondances ne soient pas contrôlées par mon oncle (leur gendre). > > Les échanges téléphoniques, à l'initiative de mes grands-parents, vers > leurs petites filles restent très rares, car très mal ressentis par le > gendre. > > Mes grands-parents n'entretiendront jamais les liens que nous avons > tissés avec mes grands-parents mais ils vieillissent et j'aimerais > leur rendre service en espérant qu'il ne soit pas trop tard (bien que > beaucoup de mal ait été fait). > > Je ne prétends pas être objectif dans mon jugement/analyse: je porte > une grande affection pour mes grands-parents, j'ai reçu beaucoup > d'amour de leur part et je ne comprends pas qu'il n'en soit pas de > même pour mes cousines. > > Sachant que rien ne s'y oppose, sinon un père arqueboutté sur des > principes consistant, de toute évidence, à neutraliser toute forme > d'attachement (naturel) naissant entre mes grands-parents et leurs > petites-filles. Celles-ci sont âgées de 13, et 17 ans à ce jour. > > Je n'ai surement pas connaissance de tout le contexte relationnel > entre mes grands-parents et leur gendre. Je n'ai d'ailleurs rien à > reprocher à mon oncle à titre personnel, mais force est de constater > la brutalité et la sécheresse de son comportement (quasi-associal, > maladroit, pour ne pas dire méchant) aux dépens de mes grands-parents. > > Il faut savoir que mes grands-parents peuvent "voir" - du verbe voir - > leurs petites filles, lors de leurs passages chez eux (2/3 jours au > moment des vacances scolaires alors qu'ils restent bien 10 jours dans > la famille de mon oncle..) mais toujours sous l'étroite surveillance > de mon oncle. Il règne, à ses moments, une ambiance pesante, un climat > tendu ("on entend les mouches voler", à table), qui fatigue mes > grands-parents. Beaucoup de larmes coulent de leur côté, de + en + > souvent. > > La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais > et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je > comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une > telle prise de distance de sa part. > > Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude > peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives > disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage > précieux sur cette sombre situation exaspérante.
bj
Le 23 Feb 2005 09:38:00 -0800, (valere) a écrit :
En effet, ce dernier empêche ses filles: - d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours appelés ainsi) - de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative traumatisante), - de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité interrompus, détournés), - d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le jardin potager par exemple), - de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou - habilement écourtés), - de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force majeure)
(...)
La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une telle prise de distance de sa part.
Elle a peut-être un passé douloureux avec son père qu'elle a raconté à son mari et qui a fait peur à ce dernier. Ce n'est ni impossible, ni rare et cela n'arrive pas qu'aux autres. Le mieux serait peut-être de poser la question aux principaux intéressés.
Le 23 Feb 2005 09:38:00 -0800, tribut.valere@free.fr (valere) a écrit
:
En effet, ce dernier empêche ses filles:
- d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours
appelés ainsi)
- de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative
traumatisante),
- de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité
interrompus, détournés),
- d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le
jardin potager par exemple),
- de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou
- habilement écourtés),
- de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force
majeure)
(...)
La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais
et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je
comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une
telle prise de distance de sa part.
Elle a peut-être un passé douloureux avec son père qu'elle a raconté à
son mari et qui a fait peur à ce dernier. Ce n'est ni impossible, ni
rare et cela n'arrive pas qu'aux autres.
Le mieux serait peut-être de poser la question aux principaux
intéressés.
En effet, ce dernier empêche ses filles: - d'appeler leurs grands-parents "papy" & "mamy" (je les ai toujours appelés ainsi) - de tenir leurs grands-parents par la main (dernière tentative traumatisante), - de s'approcher trop près des grands-parents (moments de complicité interrompus, détournés), - d'aller se promener avec les grands-parents (même d'aller dans le jardin potager par exemple), - de partager des moments de tendresse avec leurs grands-parents (+ ou - habilement écourtés), - de monter dans la voiture des grands-parents (sauf cas de force majeure)
(...)
La fille de mes grands-parents, ma tante donc, ne se prononce jamais et fait toujours en sorte de ne pas prendre parti. Ce que je comprends. Même si on ne sait pas toujours comment interpréter une telle prise de distance de sa part.
Elle a peut-être un passé douloureux avec son père qu'elle a raconté à son mari et qui a fait peur à ce dernier. Ce n'est ni impossible, ni rare et cela n'arrive pas qu'aux autres. Le mieux serait peut-être de poser la question aux principaux intéressés.
Black Myst
valere wrote:
Black Myst <Black_point_Myst_chez_free_point_fr> wrote in message news:<421ceb30$0$14815$...
valere wrote:
Bonjour.
....
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents... La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur faire savoir à quelpoint cette situation blesse ces GP.
Elles semblent mesurer la gravite de la situation, mais leur papa, c'est "leur papa".
Si on m'avais interdit un lieu à 17 ans, c'est la qu'on aurrait eut le plus de chance de me trouver ;-)
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement (mais pas necessairement rationnel).
Je peux peut-être lui conseiller de consulter. Il devrait trouver de bonnes adresses (de psy) sur Paris. Je connais mes grands-parents: ils sont très affables, modernes. Je ne comprends pas comment il a pu en arriver là. Mes grands-parents devraient-ils menacer mon oncle d'en référer à un JAF en vertu de l'article 371-4 du code civil ? Ecrire une lettre à mon oncle pour mettre les choses au point ?
AMHA, c'est exactement le truc le moins recommandé dans cette situation. Le père aura beau de retourné cela contre vous et que les filles vois encore moins le GP qu'avant.
valere wrote:
Black Myst <Black_point_Myst_chez_free_point_fr> wrote in message news:<421ceb30$0$14815$636a15ce@news.free.fr>...
valere wrote:
Bonjour.
....
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude
peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives
disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage
précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents...
La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que
ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur
faire savoir à quelpoint cette situation blesse ces GP.
Elles semblent mesurer la gravite de la situation, mais leur papa,
c'est "leur papa".
Si on m'avais interdit un lieu à 17 ans, c'est la qu'on aurrait eut le
plus de chance de me trouver ;-)
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas
qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la
tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de
l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement
(mais pas necessairement rationnel).
Je peux peut-être lui conseiller de consulter. Il devrait trouver de
bonnes adresses (de psy) sur Paris. Je connais mes grands-parents: ils
sont très affables, modernes. Je ne comprends pas comment il a pu en
arriver là. Mes grands-parents devraient-ils menacer mon oncle d'en
référer à un JAF en vertu de l'article 371-4 du code civil ? Ecrire
une lettre à mon oncle pour mettre les choses au point ?
AMHA, c'est exactement le truc le moins recommandé dans cette situation.
Le père aura beau de retourné cela contre vous et que les filles vois
encore moins le GP qu'avant.
Black Myst <Black_point_Myst_chez_free_point_fr> wrote in message news:<421ceb30$0$14815$...
valere wrote:
Bonjour.
....
Compte tenu de descriptif, je souhaiterais savoir quelle attitude peuvent adopter mes grands-parents? De quelles alternatives disposent-ils ? Merci de bien vouloir apporter votre éclairage précieux sur cette sombre situation exaspérante.
Je ne vois pas trop ce que peuvent faire les grands parents... La balle est plutot dans le quand des petit-filles (pas si petite que ca!) et si elle n'en n'ont pas l'idée seule, il suffit peut-être de leur faire savoir à quelpoint cette situation blesse ces GP.
Elles semblent mesurer la gravite de la situation, mais leur papa, c'est "leur papa".
Si on m'avais interdit un lieu à 17 ans, c'est la qu'on aurrait eut le plus de chance de me trouver ;-)
En revanche, si les filles ne veullent pas voir leur GP, je ne pense pas qu'il est vraiment de solution (en dehors d'un coup de boule dans la tete de l'oncle)
La dernière chose est d'essayer de comprendre le comportement de l'oncle, il doit probablement avoir une raison dans ce comportement (mais pas necessairement rationnel).
Je peux peut-être lui conseiller de consulter. Il devrait trouver de bonnes adresses (de psy) sur Paris. Je connais mes grands-parents: ils sont très affables, modernes. Je ne comprends pas comment il a pu en arriver là. Mes grands-parents devraient-ils menacer mon oncle d'en référer à un JAF en vertu de l'article 371-4 du code civil ? Ecrire une lettre à mon oncle pour mettre les choses au point ?
AMHA, c'est exactement le truc le moins recommandé dans cette situation. Le père aura beau de retourné cela contre vous et que les filles vois encore moins le GP qu'avant.
