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Le marchand de tapis Sarkozy charge Simone Veil, l'avorteuse en masse, de veiller sur nos droits

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Taureau Assis
Brillante prestation, comme prévu, de Nicolas Sarkozy lors de la
conférence de presse de deux heures qu’il a tenue mardi. Et au cours de
laquelle il a réaffirmé son intention de « bousculer les habitudes ». En
réécrivant par exemple le préambule de la Constitution. « Je souhaite
que le préambule de notre Constitution soit complété pour garantir
l‘égalité de l’homme et de la femme, pour assurer le respect de la
diversité et ses moyens, pour rendre possibles de véritables politiques
d’intégration, pour répondre au défi de la bioéthique (…). Il s’agit que
sur les problèmes philosophiques, moraux, éthiques posés par la
modernité, notre Constitution soit en avance sur notre temps et non pas
en retard. »

Qui présidera la commission chargée en quelque sorte de compléter la
Déclaration des droits de l’homme, pierre de touche de notre
Constitution « républicaine » ? Simone Veil ! Le nom de cette dernière,
quelles que soient par ailleurs ses qualités, symbolise la loi sur
l’avortement de janvier 1975 voulue par Giscard et Chirac. On voit donc
dans quel sens Nicolas Sarkozy entend répondre au « défi de la
bioéthique ». On pressent, à travers Mme Veil, figure de proue de la
culture de mort, quelles solutions il entend apporter aux « problèmes
philosophiques, moraux, éthiques par la modernité ». Et de quelle «
modernité » s’agit-il ?

Un nouveau préambule pour également « rendre possibles de véritables
politiques d’intégration ». Une politique d’intégration qui implique
bien sûr la fameuse discrimination positive prônée par Nicolas Sarkozy.
Autre forme de « culture de mort » visant l’identité nationale. « Je
souhaite une juridiction qui s’occupe du droit des étrangers », a
notamment déclaré le chef de l’Etat. S’occuper du droit des Français
consisterait en une seule chose : rétablir la préférence nationale. Au
passage, Nicolas Sarkozy a d’ailleurs confirmé que, derrière le rideau
de fumée concernant les clandestins, il était bien un président
immigrationniste. « J’ai demandé au ministre de l’Immigration (…)
d’aller jusqu’au bout d’une politique fondée sur des quotas (…). Je
souhaite que chaque année, devant le Parlement, on puisse débattre de la
politique de l’immigration de l’année prochaine : combien de personnes
nous avons accueillies, combien de personnes nous voulons accueillir. »

Un moment plaisant : la façon humoristique dont Nicolas Sarkozy a roulé
dans la farine le directeur de Libération, Laurent Joffrin, lorsque
celui-ci a demandé : « Vivons-nous sous un régime de monarchie élective
? Y a-t-il pour ainsi dire un seul homme dans l’Etat ? » Réponse : «
Monarchie, ça veut dire héréditaire. Vous croyez que je suis le fils
illégitime de Jacques Chirac qui m’a mis sur un trône ? »

À noter que notre matamore du pouvoir d’achat a également un peu
escamoté le sujet. Glissons, mortels ! Il ne s’agit plus de travailler
plus pour gagner plus mais en quelque sorte de travailler plus pour…
vivre mieux ! C’est beaucoup moins mesurable que le pouvoir d’achat, et
ça rentre, de façon très floue, dans la politique de civilisation. Et un
tour de passe-passe de plus !

Son mariage avec Carla Bruni : « C’est du sérieux (…). Il y a de fortes
chances que vous l’appreniez quand ce sera déjà fait. » La loi lui fait
pourtant obligation, comme à tout un chacun, de publier des bans.
Craindrait-il que des quidams s’invitent à la noce sans y être conviés ?

Plus que tout autre politicien, Nicolas Sarkozy, maître incontesté du
verbe, semble être un adepte de la maxime : « Ce n’est pas ce qu’on fait
qui compte mais ce que l’on dit. » Et lui le dit avec brio et maestria.
Il devrait toutefois se méfier. L’illusionniste de la parole est
toujours au mieux de sa forme et de son art, comme nous l’a démontré son
show de mardi. En revanche, sous l’implacable dureté des temps, les
illusions qu’il suscite avec tant de virtuosité commencent
dangereusement à se dissiper…

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philg42
Quel rapport avec le droit?
A part le mensonge d'un politique qui en 2005 à déclaré, JE NE PRIVATIRESAIS
PAS Gaz de France avec la main sur le coeur et le doigt ou je vous laisse
imaginer.
Décembre 2008 : décret de privatisation de GDF
Vous allez en chier mes braves!!!!
Bon, vous aurez le gaz, l'élec, l'eau, le tél sur la même facture grâce
(grasse) à suez.
Bonsoir cordials HiHiHi!!!!

"Taureau Assis"
T'assis pas n'importe ou, ça peut surprendre
a écrit dans le message de news: fm2s8e$j8v$

Brillante prestation, comme prévu, de Nicolas Sarkozy lors de la
conférence de presse de deux heures qu’il a tenue mardi. Et au cours de
laquelle il a réaffirmé son intention de « bousculer les habitudes ». En
réécrivant par exemple le préambule de la Constitution. « Je souhaite que
le préambule de notre Constitution soit complété pour garantir l‘égalité
de l’homme et de la femme, pour assurer le respect de la diversité et ses
moyens, pour rendre possibles de véritables politiques d’intégration, pour
répondre au défi de la bioéthique (…). Il s’agit que sur les problèmes
philosophiques, moraux, éthiques posés par la modernité, notre
Constitution soit en avance sur notre temps et non pas en retard. »

Qui présidera la commission chargée en quelque sorte de compléter la
Déclaration des droits de l’homme, pierre de touche de notre Constitution
« républicaine » ? Simone Veil ! Le nom de cette dernière, quelles que
soient par ailleurs ses qualités, symbolise la loi sur l’avortement de
janvier 1975 voulue par Giscard et Chirac. On voit donc dans quel sens
Nicolas Sarkozy entend répondre au « défi de la bioéthique ». On pressent,
à travers Mme Veil, figure de proue de la culture de mort, quelles
solutions il entend apporter aux « problèmes philosophiques, moraux,
éthiques par la modernité ». Et de quelle « modernité » s’agit-il ?

Un nouveau préambule pour également « rendre possibles de véritables
politiques d’intégration ». Une politique d’intégration qui implique bien
sûr la fameuse discrimination positive prônée par Nicolas Sarkozy. Autre
forme de « culture de mort » visant l’identité nationale. « Je souhaite
une juridiction qui s’occupe du droit des étrangers », a notamment déclaré
le chef de l’Etat. S’occuper du droit des Français consisterait en une
seule chose : rétablir la préférence nationale. Au passage, Nicolas
Sarkozy a d’ailleurs confirmé que, derrière le rideau de fumée concernant
les clandestins, il était bien un président immigrationniste. « J’ai
demandé au ministre de l’Immigration (…) d’aller jusqu’au bout d’une
politique fondée sur des quotas (…). Je souhaite que chaque année, devant
le Parlement, on puisse débattre de la politique de l’immigration de l’année
prochaine : combien de personnes nous avons accueillies, combien de
personnes nous voulons accueillir. »

Un moment plaisant : la façon humoristique dont Nicolas Sarkozy a roulé
dans la farine le directeur de Libération, Laurent Joffrin, lorsque
celui-ci a demandé : « Vivons-nous sous un régime de monarchie élective ?
Y a-t-il pour ainsi dire un seul homme dans l’Etat ? » Réponse : «
Monarchie, ça veut dire héréditaire. Vous croyez que je suis le fils
illégitime de Jacques Chirac qui m’a mis sur un trône ? »

À noter que notre matamore du pouvoir d’achat a également un peu escamoté
le sujet. Glissons, mortels ! Il ne s’agit plus de travailler plus pour
gagner plus mais en quelque sorte de travailler plus pour… vivre mieux ! C’est
beaucoup moins mesurable que le pouvoir d’achat, et ça rentre, de façon
très floue, dans la politique de civilisation. Et un tour de passe-passe
de plus !

Son mariage avec Carla Bruni : « C’est du sérieux (…). Il y a de fortes
chances que vous l’appreniez quand ce sera déjà fait. » La loi lui fait
pourtant obligation, comme à tout un chacun, de publier des bans.
Craindrait-il que des quidams s’invitent à la noce sans y être conviés ?

Plus que tout autre politicien, Nicolas Sarkozy, maître incontesté du
verbe, semble être un adepte de la maxime : « Ce n’est pas ce qu’on fait
qui compte mais ce que l’on dit. » Et lui le dit avec brio et maestria. Il
devrait toutefois se méfier. L’illusionniste de la parole est toujours au
mieux de sa forme et de son art, comme nous l’a démontré son show de
mardi. En revanche, sous l’implacable dureté des temps, les illusions qu’il
suscite avec tant de virtuosité commencent dangereusement à se dissiper…