"FiLH" a écrit dans le message de news: 1i6reuu.169szb31rliy6eN%
Les comiques troupiers, hurlent à la hauteur de leur manque de subtilité qui leur masque justement le goût de ces choses là. Ou peut-être ne savent-ils pas apprécier cette amertume là. Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci explique peut-être la colère.
c'est pas nouveau, c'est facile à comprendre et on a très bien compris. tu as essayé de faire ça avec tes vues Tunisiennes.
on t'a dit non ça ne rend pas le résultat escompté...
au lieu de dire je vais essayer de faire mieux la prochaine fois, tu plonkes et tu t'inventes une meute...
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de news:
1i6reuu.169szb31rliy6eN%filh@filh.orgie...
Les comiques troupiers, hurlent à la hauteur de leur manque de subtilité
qui leur masque justement le goût de ces choses là. Ou peut-être ne
savent-ils pas apprécier cette amertume là.
Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces
lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci
explique peut-être la colère.
c'est pas nouveau, c'est facile à comprendre et
on a très bien compris.
tu as essayé de faire ça avec tes vues Tunisiennes.
on t'a dit non ça ne rend pas le résultat escompté...
au lieu de dire je vais essayer de faire mieux la
prochaine fois, tu plonkes et tu t'inventes une meute...
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1i6reuu.169szb31rliy6eN%
Les comiques troupiers, hurlent à la hauteur de leur manque de subtilité qui leur masque justement le goût de ces choses là. Ou peut-être ne savent-ils pas apprécier cette amertume là. Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci explique peut-être la colère.
c'est pas nouveau, c'est facile à comprendre et on a très bien compris. tu as essayé de faire ça avec tes vues Tunisiennes.
on t'a dit non ça ne rend pas le résultat escompté...
au lieu de dire je vais essayer de faire mieux la prochaine fois, tu plonkes et tu t'inventes une meute...
jpw
"Octave" a écrit
Tu m'emmerde avec cette naïveté.
m'étonne pas
Si je l'ai, c'est dans le regard sur la photo et pas ailleurs, c'est là ton erreur !
non justement y'a pas d'erreur moi je parle de ton expression de tes messages sur ce forum.
mais regarde l'évolution des gens qui te répondent .... Là, je ne sais pas ce que tu veux dire. Quelle est l'évolution des gens
qui me répondent ?
ye ne a de moins en moins quise retiennent de dire que ce que tu fais c'est de la merde
Je serais là tant que les dialogues m'apporteront un regard différent, mais aussi, simplement, tant que je m'exprimerai ici en développant des idées que je n'aurais pas autrement.
oh mais c'est pas moi qui te chasserais
jpw
"Octave" <octavoctav@wanadoo.fr> a écrit
Tu m'emmerde avec cette naïveté.
m'étonne pas
Si je l'ai, c'est dans le regard sur
la photo et pas ailleurs, c'est là ton erreur !
non justement y'a pas d'erreur moi je parle de ton expression de tes
messages sur
ce forum.
mais regarde l'évolution des gens qui te répondent ....
Là, je ne sais pas ce que tu veux dire. Quelle est l'évolution des gens
qui me répondent ?
ye ne a de moins en moins quise retiennent de dire que ce que tu fais c'est
de la merde
Je serais là tant que les dialogues m'apporteront un regard différent,
mais aussi, simplement, tant que je m'exprimerai ici en développant des
idées que je n'aurais pas autrement.
Si je l'ai, c'est dans le regard sur la photo et pas ailleurs, c'est là ton erreur !
non justement y'a pas d'erreur moi je parle de ton expression de tes messages sur ce forum.
mais regarde l'évolution des gens qui te répondent .... Là, je ne sais pas ce que tu veux dire. Quelle est l'évolution des gens
qui me répondent ?
ye ne a de moins en moins quise retiennent de dire que ce que tu fais c'est de la merde
Je serais là tant que les dialogues m'apporteront un regard différent, mais aussi, simplement, tant que je m'exprimerai ici en développant des idées que je n'aurais pas autrement.
oh mais c'est pas moi qui te chasserais
jpw
jpw
"Octave" a écrit dans le message de news:
jpw a couché sur son écran :
tu n'as jamais dit le contraire non plus tu n'as jamais clairement démenti pour moi tu fais parti de la famille des faux culs
ça me dérange pas y'en a plein mais ça m'intéresse pas d'une part....
Bon, ok ! Tant pis pour moi. Juste une dernière défense, tu ne m'a jamais demandé qui j'étais, ce que je faisais et depuis quand. Le dialogue n'est pas vraiment favorisé par tes interventions.
prout prout caca boudin
jpw
"Octave" <octavoctav@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
mn.ecaa7d7a21692c5f.72551@wanadoo.fr...
jpw a couché sur son écran :
tu n'as jamais dit le contraire non plus
tu n'as jamais clairement démenti
pour moi tu fais parti de la famille des faux culs
ça me dérange pas y'en a plein
mais ça m'intéresse pas
d'une part....
Bon, ok !
Tant pis pour moi.
Juste une dernière défense, tu ne m'a jamais demandé qui j'étais, ce
que je faisais et depuis quand. Le dialogue n'est pas vraiment favorisé
par tes interventions.
tu n'as jamais dit le contraire non plus tu n'as jamais clairement démenti pour moi tu fais parti de la famille des faux culs
ça me dérange pas y'en a plein mais ça m'intéresse pas d'une part....
Bon, ok ! Tant pis pour moi. Juste une dernière défense, tu ne m'a jamais demandé qui j'étais, ce que je faisais et depuis quand. Le dialogue n'est pas vraiment favorisé par tes interventions.
prout prout caca boudin
jpw
jpw
"Stephane Legras-Decussy" a écrit dans le message de news: 47262fbe$0$6569$
"Hugues" a écrit dans le message de news:
Rhoo, j'ai pas le droit de jouer, moi aussi ? :)
à chaque fois qu'il voit un nouveau pseudo que laisse passer sa boitakon, il lui ressort le même blabla jusqu'à le plonker comme les autres...
des dizaines de milliers de lurkeurs sont morts de rire mais il s'en fout... :-)
!!!!!!!
:-))))
jpw
"Stephane Legras-Decussy" <I_love@Arol> a écrit dans le message de news:
47262fbe$0$6569$426a74cc@news.free.fr...
"Hugues" <hugues@contact.me> a écrit dans le message de news:
87r6jdkgrz.fsf@paranoid.ordener.fr...
Rhoo, j'ai pas le droit de jouer, moi aussi ? :)
à chaque fois qu'il voit un nouveau pseudo que laisse
passer sa boitakon, il lui ressort le même blabla
jusqu'à le plonker comme les autres...
des dizaines de milliers de lurkeurs
sont morts de rire mais il s'en fout... :-)
"Ricco" <d.francoise32[NO-pourriel ]@aliceadsl.fr> a écrit dans le message de news: fg5bkn$4fj$
qu est ce que des lurkeurs, un langage du net ? j'avoue ne pas comprendre bien le reste de ton message d'ailleurs, expliques ?
ce sontt les gens qui lisent le groupe sans intervenir...
albert
Bonjour Ricco,
" etre et se
regarder etre "
Tiens ! Comme ca tombe bien le : >
C'est comme les Shadoks, on ne peut à la fois pomper et se regarder pomper <-:
Blague à part, ca me scie de te regarder penser. Chapeau bas. Dire que 26 siècles plus tôt Parménide avait résolu la question :
"Le même est à la fois penser et être"
On aurait bien mieux fait de s'en tenir là.
Je crois Ricco, que tu donnes la clé. Se regarder est un exercice difficile s'il en est, et moi je trouve que ca fait un peu chochotte. Se regarder à travers les autres, comme ici, c'est encore plus difficile. Regarder les autres te regarder, à mon avis, mieux vaut faire du saut à l'élastique, il y a moins de rebonds. Toujours est-il qu'on perd le fil. Si la photographie a besoin du regard des autres, elle est à elle même son propre regard. Il suffit de la faire. Le reste à mon avis est du charabia.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
Bonjour Ricco,
" etre et se
regarder etre "
Tiens ! Comme ca tombe bien le : >
C'est comme les Shadoks, on ne peut à la fois pomper et se regarder
pomper <-:
Blague à part, ca me scie de te regarder penser. Chapeau bas. Dire que
26 siècles plus tôt Parménide avait résolu la question :
"Le même est à la fois penser et être"
On aurait bien mieux fait de s'en tenir là.
Je crois Ricco, que tu donnes la clé. Se regarder est un exercice
difficile s'il en est, et moi je trouve que ca fait un peu chochotte. Se
regarder à travers les autres, comme ici, c'est encore plus difficile.
Regarder les autres te regarder, à mon avis, mieux vaut faire du saut à
l'élastique, il y a moins de rebonds. Toujours est-il qu'on perd le fil. Si
la photographie a besoin du regard des autres, elle est à elle même son
propre regard. Il suffit de la faire. Le reste à mon avis est du charabia.
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
----------------------------------------------------------
C'est comme les Shadoks, on ne peut à la fois pomper et se regarder pomper <-:
Blague à part, ca me scie de te regarder penser. Chapeau bas. Dire que 26 siècles plus tôt Parménide avait résolu la question :
"Le même est à la fois penser et être"
On aurait bien mieux fait de s'en tenir là.
Je crois Ricco, que tu donnes la clé. Se regarder est un exercice difficile s'il en est, et moi je trouve que ca fait un peu chochotte. Se regarder à travers les autres, comme ici, c'est encore plus difficile. Regarder les autres te regarder, à mon avis, mieux vaut faire du saut à l'élastique, il y a moins de rebonds. Toujours est-il qu'on perd le fil. Si la photographie a besoin du regard des autres, elle est à elle même son propre regard. Il suffit de la faire. Le reste à mon avis est du charabia.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
Ricco
Stephane Legras-Decussy wrote:
"Ricco" <d.francoise32[NO-pourriel ]@aliceadsl.fr> a écrit dans le message de news: fg5bkn$4fj$
qu est ce que des lurkeurs, un langage du net ? j'avoue ne pas comprendre bien le reste de ton message d'ailleurs, expliques ?
ce sontt les gens qui lisent le groupe sans intervenir...
merci, je ne savais pas, mais comment le sait on ?
-- -- Ricco
Stephane Legras-Decussy wrote:
"Ricco" <d.francoise32[NO-pourriel ]@aliceadsl.fr> a écrit dans le
message de news: fg5bkn$4fj$1@news.tiscali.fr...
qu est ce que des lurkeurs, un langage du net ?
j'avoue ne pas comprendre bien le reste de ton message d'ailleurs,
expliques ?
ce sontt les gens qui lisent le groupe sans intervenir...
merci, je ne savais pas, mais comment le sait on ?
"Ricco" <d.francoise32[NO-pourriel ]@aliceadsl.fr> a écrit dans le message de news: fg5bkn$4fj$
qu est ce que des lurkeurs, un langage du net ? j'avoue ne pas comprendre bien le reste de ton message d'ailleurs, expliques ?
ce sontt les gens qui lisent le groupe sans intervenir...
merci, je ne savais pas, mais comment le sait on ?
-- -- Ricco
Octave
FiLH a émis l'idée suivante :
Je ne sais pas, j'ai toujours et encore dans la tête le discours de Trufaut, tu sais Antoine, au cinéma les trains arrivent toujours à l'heure... Le cinéma est plus beau que la vie, on enlève les moments un peu vide, on concentre tout ça, c'est comme de l'émmental sans les trous.
Tes photos, dans ce qu'elles donnent à voir de ces zones pas très pittoresques, de ces instants où l'on vit sans trop d'excitation...
Je suis allé me promener ce dimanche et j'ai loupé les photos qui montreraient cette zone un peu vide, alors j'ai de belles photos d'automne.
Il y a dans ces zones spacio-temporelles un goût subtil d'ennuis, le goût d'un sentiment qu'on ne cherche pas trop.
Je me sens proche de ça !
...Ou peut-être ne savent-ils pas apprécier cette amertume là.
Ce regard ailleurs, non posé, juste là parce qu'il faut se poser pour penser, ou pour ne plus penser. Ce regard se pose sur une lumière, sur un contraste, sur une couleur comme une balle s'arrête dans son élan juste parce qu'il y a une brindille. La photo du dernier éclat, plus rien, juste l'envie.
Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci explique peut-être la colère.
Là, non. Les endroits ne me sont pas étrangers, je les connais depuis des années, presque chaque brin d'herbe. Mon regard change sur les mêmes endroits. C'est un peu ce qui m'amuse, revenir sans plus rien à photographier. Et le regard finit toujours par tomber sur un truc, avec une idée. Jusqu'à quand ?
J'ai l'impression que beaucoup d'incompréhensions viennent du rapport à l'histoire de la photo qui semble souvent castrateur, comme s'il fallait faire avec, mais jamais contre.
???
Bah, à force de me poser des questions sur l'incompréhension envers la création, je me dis que c'est l'histoire de la photo qui bloque. Les photographes n'osent être iconoclastes avec ceux qu'ils admirent.
J'en profite pour ajouter un lien vers une nouvelle page, discrètement, au fond d'un fil :
http://octav.fr/quotidien/07-10-16/16oct07.html
Le un a quelque chose de formel de très bien, le deux moins.
Pour le deux, après avoir vu à la suite deux jeunes avec des têtes de mort, l'un sur ses chaussettes, l'autre sur son tee-shirt, j'ai repensé que la tête de mort donc la Vanité étaient à la mode. Donc voilà, la deux, une espèce de Vanité.
FiLH a émis l'idée suivante :
Je ne sais pas, j'ai toujours et encore dans la tête le discours de
Trufaut, tu sais Antoine, au cinéma les trains arrivent toujours à
l'heure...
Le cinéma est plus beau que la vie, on enlève les moments un peu vide,
on concentre tout ça, c'est comme de l'émmental sans les trous.
Tes photos, dans ce qu'elles donnent à voir de ces zones pas très
pittoresques, de ces instants où l'on vit sans trop d'excitation...
Je suis allé me promener ce dimanche et j'ai loupé les photos qui
montreraient cette zone un peu vide, alors j'ai de belles photos
d'automne.
Il y a dans ces zones spacio-temporelles un goût subtil d'ennuis, le
goût d'un sentiment qu'on ne cherche pas trop.
Je me sens proche de ça !
...Ou peut-être ne savent-ils pas apprécier cette amertume là.
Ce regard ailleurs, non posé, juste là parce qu'il faut se poser pour
penser, ou pour ne plus penser. Ce regard se pose sur une lumière, sur
un contraste, sur une couleur comme une balle s'arrête dans son élan
juste parce qu'il y a une brindille. La photo du dernier éclat, plus
rien, juste l'envie.
Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces
lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci
explique peut-être la colère.
Là, non. Les endroits ne me sont pas étrangers, je les connais depuis
des années, presque chaque brin d'herbe. Mon regard change sur les
mêmes endroits. C'est un peu ce qui m'amuse, revenir sans plus rien à
photographier. Et le regard finit toujours par tomber sur un truc, avec
une idée.
Jusqu'à quand ?
J'ai l'impression que beaucoup d'incompréhensions viennent du rapport à
l'histoire de la photo qui semble souvent castrateur, comme s'il
fallait
faire avec, mais jamais contre.
???
Bah, à force de me poser des questions sur l'incompréhension envers la
création, je me dis que c'est l'histoire de la photo qui bloque. Les
photographes n'osent être iconoclastes avec ceux qu'ils admirent.
J'en profite pour ajouter un lien vers une nouvelle page, discrètement,
au fond d'un fil :
http://octav.fr/quotidien/07-10-16/16oct07.html
Le un a quelque chose de formel de très bien, le deux moins.
Pour le deux, après avoir vu à la suite deux jeunes avec des têtes de
mort, l'un sur ses chaussettes, l'autre sur son tee-shirt, j'ai repensé
que la tête de mort donc la Vanité étaient à la mode. Donc voilà, la
deux, une espèce de Vanité.
Je ne sais pas, j'ai toujours et encore dans la tête le discours de Trufaut, tu sais Antoine, au cinéma les trains arrivent toujours à l'heure... Le cinéma est plus beau que la vie, on enlève les moments un peu vide, on concentre tout ça, c'est comme de l'émmental sans les trous.
Tes photos, dans ce qu'elles donnent à voir de ces zones pas très pittoresques, de ces instants où l'on vit sans trop d'excitation...
Je suis allé me promener ce dimanche et j'ai loupé les photos qui montreraient cette zone un peu vide, alors j'ai de belles photos d'automne.
Il y a dans ces zones spacio-temporelles un goût subtil d'ennuis, le goût d'un sentiment qu'on ne cherche pas trop.
Je me sens proche de ça !
...Ou peut-être ne savent-ils pas apprécier cette amertume là.
Ce regard ailleurs, non posé, juste là parce qu'il faut se poser pour penser, ou pour ne plus penser. Ce regard se pose sur une lumière, sur un contraste, sur une couleur comme une balle s'arrête dans son élan juste parce qu'il y a une brindille. La photo du dernier éclat, plus rien, juste l'envie.
Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci explique peut-être la colère.
Là, non. Les endroits ne me sont pas étrangers, je les connais depuis des années, presque chaque brin d'herbe. Mon regard change sur les mêmes endroits. C'est un peu ce qui m'amuse, revenir sans plus rien à photographier. Et le regard finit toujours par tomber sur un truc, avec une idée. Jusqu'à quand ?
J'ai l'impression que beaucoup d'incompréhensions viennent du rapport à l'histoire de la photo qui semble souvent castrateur, comme s'il fallait faire avec, mais jamais contre.
???
Bah, à force de me poser des questions sur l'incompréhension envers la création, je me dis que c'est l'histoire de la photo qui bloque. Les photographes n'osent être iconoclastes avec ceux qu'ils admirent.
J'en profite pour ajouter un lien vers une nouvelle page, discrètement, au fond d'un fil :
http://octav.fr/quotidien/07-10-16/16oct07.html
Le un a quelque chose de formel de très bien, le deux moins.
Pour le deux, après avoir vu à la suite deux jeunes avec des têtes de mort, l'un sur ses chaussettes, l'autre sur son tee-shirt, j'ai repensé que la tête de mort donc la Vanité étaient à la mode. Donc voilà, la deux, une espèce de Vanité.
Octave
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a émis l'idée suivante :
Pour toi c'est pire, tu vois des les images en plus ce que tu as, ce que tu y a mis. Pour ça moi j'aime bien laisser refroidir, moisir voire, jusqu'a avoir complétement oublié qui j'étais au moment de la prise de vue.
Je ne comprends pas cette fin de ton intervention.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a émis l'idée suivante :
Pour toi c'est pire, tu vois
des les images en plus ce que tu as, ce que tu y a mis. Pour ça moi j'aime
bien laisser refroidir, moisir voire, jusqu'a avoir complétement oublié qui
j'étais au moment de la prise de vue.
Je ne comprends pas cette fin de ton intervention.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a émis l'idée suivante :
Pour toi c'est pire, tu vois des les images en plus ce que tu as, ce que tu y a mis. Pour ça moi j'aime bien laisser refroidir, moisir voire, jusqu'a avoir complétement oublié qui j'étais au moment de la prise de vue.
Je ne comprends pas cette fin de ton intervention.
filh
Octave wrote:
FiLH a émis l'idée suivante :
...Ou peut-être ne savent-ils pas apprécier cette amertume là.
Ce regard ailleurs, non posé, juste là parce qu'il faut se poser pour penser, ou pour ne plus penser. Ce regard se pose sur une lumière, sur un contraste, sur une couleur comme une balle s'arrête dans son élan juste parce qu'il y a une brindille. La photo du dernier éclat, plus rien, juste l'envie.
Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci explique peut-être la colère.
Là, non. Les endroits ne me sont pas étrangers, je les connais depuis des années, presque chaque brin d'herbe. Mon regard change sur les mêmes endroits. C'est un peu ce qui m'amuse, revenir sans plus rien à photographier. Et le regard finit toujours par tomber sur un truc, avec une idée.
Peut-être que je voudrais dire quotidien ce qu'on ne voit plus. Pour l'instant j'ai arrêté de faire certaines photos, car je me rend compte que d'année en année, j'ai le même ravissement devant ces même saisons. Je me demande si il n'y a pas une certaine façon d'être étranger au monde pour pouvoir encore le voir. Relire Érrance. L'errant et celui qui est toujours un peu étranger à son lieu.
Jusqu'à quand ?
Il y a toujours un détail.
Bah, à force de me poser des questions sur l'incompréhension envers la création, je me dis que c'est l'histoire de la photo qui bloque. Les photographes n'osent être iconoclastes avec ceux qu'ils admirent.
Oui, mais bon t'as vu où tu mets les pieds ? :)
Le un a quelque chose de formel de très bien, le deux moins.
Pour le deux, après avoir vu à la suite deux jeunes avec des têtes de mort, l'un sur ses chaussettes, l'autre sur son tee-shirt, j'ai repensé que la tête de mort donc la Vanité étaient à la mode. Donc voilà, la deux, une espèce de Vanité.
Hi hi, ma fille aussi :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave <octavoctav@wanadoo.fr> wrote:
FiLH a émis l'idée suivante :
...Ou peut-être ne savent-ils pas apprécier cette amertume là.
Ce regard ailleurs, non posé, juste là parce qu'il faut se poser pour
penser, ou pour ne plus penser. Ce regard se pose sur une lumière, sur
un contraste, sur une couleur comme une balle s'arrête dans son élan
juste parce qu'il y a une brindille. La photo du dernier éclat, plus
rien, juste l'envie.
Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces
lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci
explique peut-être la colère.
Là, non. Les endroits ne me sont pas étrangers, je les connais depuis
des années, presque chaque brin d'herbe. Mon regard change sur les
mêmes endroits. C'est un peu ce qui m'amuse, revenir sans plus rien à
photographier. Et le regard finit toujours par tomber sur un truc, avec
une idée.
Peut-être que je voudrais dire quotidien ce qu'on ne voit plus. Pour
l'instant j'ai arrêté de faire certaines photos, car je me rend compte
que d'année en année, j'ai le même ravissement devant ces même saisons.
Je me demande si il n'y a pas une certaine façon d'être étranger au
monde pour pouvoir encore le voir. Relire Érrance.
L'errant et celui qui est toujours un peu étranger à son lieu.
Jusqu'à quand ?
Il y a toujours un détail.
Bah, à force de me poser des questions sur l'incompréhension envers la
création, je me dis que c'est l'histoire de la photo qui bloque. Les
photographes n'osent être iconoclastes avec ceux qu'ils admirent.
Oui, mais bon t'as vu où tu mets les pieds ? :)
Le un a quelque chose de formel de très bien, le deux moins.
Pour le deux, après avoir vu à la suite deux jeunes avec des têtes de
mort, l'un sur ses chaussettes, l'autre sur son tee-shirt, j'ai repensé
que la tête de mort donc la Vanité étaient à la mode. Donc voilà, la
deux, une espèce de Vanité.
Hi hi, ma fille aussi :)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
...Ou peut-être ne savent-ils pas apprécier cette amertume là.
Ce regard ailleurs, non posé, juste là parce qu'il faut se poser pour penser, ou pour ne plus penser. Ce regard se pose sur une lumière, sur un contraste, sur une couleur comme une balle s'arrête dans son élan juste parce qu'il y a une brindille. La photo du dernier éclat, plus rien, juste l'envie.
Ou peut-être encore... peut-être encore que toi, moi nous visitons ces lieux en étrangers quand pour beaucoup il s'agit du quotidien, et ceci explique peut-être la colère.
Là, non. Les endroits ne me sont pas étrangers, je les connais depuis des années, presque chaque brin d'herbe. Mon regard change sur les mêmes endroits. C'est un peu ce qui m'amuse, revenir sans plus rien à photographier. Et le regard finit toujours par tomber sur un truc, avec une idée.
Peut-être que je voudrais dire quotidien ce qu'on ne voit plus. Pour l'instant j'ai arrêté de faire certaines photos, car je me rend compte que d'année en année, j'ai le même ravissement devant ces même saisons. Je me demande si il n'y a pas une certaine façon d'être étranger au monde pour pouvoir encore le voir. Relire Érrance. L'errant et celui qui est toujours un peu étranger à son lieu.
Jusqu'à quand ?
Il y a toujours un détail.
Bah, à force de me poser des questions sur l'incompréhension envers la création, je me dis que c'est l'histoire de la photo qui bloque. Les photographes n'osent être iconoclastes avec ceux qu'ils admirent.
Oui, mais bon t'as vu où tu mets les pieds ? :)
Le un a quelque chose de formel de très bien, le deux moins.
Pour le deux, après avoir vu à la suite deux jeunes avec des têtes de mort, l'un sur ses chaussettes, l'autre sur son tee-shirt, j'ai repensé que la tête de mort donc la Vanité étaient à la mode. Donc voilà, la deux, une espèce de Vanité.
Hi hi, ma fille aussi :)
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
