Ce n'était pas la réponse attendue ;).
Ce n'était pas la réponse attendue ;).
Ce n'était pas la réponse attendue ;).
Ou être enfin raisonnable et se poser honnêtement la question de savoir
pourquoi en 2008 des étudiants du supérieur se révèlent incapables de
réaliser en la matière ce que le moindre titulaire du Certificat
d'Etudes Primaires jusque dans les années 50 réalisait sans peine...
Ou être enfin raisonnable et se poser honnêtement la question de savoir
pourquoi en 2008 des étudiants du supérieur se révèlent incapables de
réaliser en la matière ce que le moindre titulaire du Certificat
d'Etudes Primaires jusque dans les années 50 réalisait sans peine...
Ou être enfin raisonnable et se poser honnêtement la question de savoir
pourquoi en 2008 des étudiants du supérieur se révèlent incapables de
réaliser en la matière ce que le moindre titulaire du Certificat
d'Etudes Primaires jusque dans les années 50 réalisait sans peine...
WEILL wrote:
[snip]Avant de sanctionner des candidats quant à leur orthographe, en dépit
d'ailleurs de l'absence totale d'instruction l'autorisant, il faudrait
pourvoir écrire soi-même sans faute...
Ahhh, les grammar nazis ! C'est marrant, c'est systématique, à *chaque* fois
que quelqu'un fait une remarque à un autre sur son aurtograffe, pour peu
que ça dépasse les 10 caractères, bam, une faute (au moins).
De quoi se pourvoir en cassation...
[snip]
WEILL wrote:
[snip]
Avant de sanctionner des candidats quant à leur orthographe, en dépit
d'ailleurs de l'absence totale d'instruction l'autorisant, il faudrait
pourvoir écrire soi-même sans faute...
Ahhh, les grammar nazis ! C'est marrant, c'est systématique, à *chaque* fois
que quelqu'un fait une remarque à un autre sur son aurtograffe, pour peu
que ça dépasse les 10 caractères, bam, une faute (au moins).
De quoi se pourvoir en cassation...
[snip]
WEILL wrote:
[snip]Avant de sanctionner des candidats quant à leur orthographe, en dépit
d'ailleurs de l'absence totale d'instruction l'autorisant, il faudrait
pourvoir écrire soi-même sans faute...
Ahhh, les grammar nazis ! C'est marrant, c'est systématique, à *chaque* fois
que quelqu'un fait une remarque à un autre sur son aurtograffe, pour peu
que ça dépasse les 10 caractères, bam, une faute (au moins).
De quoi se pourvoir en cassation...
[snip]
Disons qu'il y a toute une gamme entre la faute occasionnelle et le
manque d'attention total porté à la fois à la présentation, la
grammaire, l'orthographe et la ponctuation. Dur dur pour le lecteur.
L'orthographe française est compliquée et tordue c'est vrai. La
transformer en une sorte de sms fonétik rendrais rapidement tout le
passé culturel inaccessible au plus grand nombre, mis à part quelques
lettrés spécialistes. Et ça, cette rupture des racines, ce serait
vraiment grave. De plus, si l'orthographe est commune, les dérives en
revanches sont personnelles : c'est en cela qu'elles compliquent la
lecture.
Disons qu'il y a toute une gamme entre la faute occasionnelle et le
manque d'attention total porté à la fois à la présentation, la
grammaire, l'orthographe et la ponctuation. Dur dur pour le lecteur.
L'orthographe française est compliquée et tordue c'est vrai. La
transformer en une sorte de sms fonétik rendrais rapidement tout le
passé culturel inaccessible au plus grand nombre, mis à part quelques
lettrés spécialistes. Et ça, cette rupture des racines, ce serait
vraiment grave. De plus, si l'orthographe est commune, les dérives en
revanches sont personnelles : c'est en cela qu'elles compliquent la
lecture.
Disons qu'il y a toute une gamme entre la faute occasionnelle et le
manque d'attention total porté à la fois à la présentation, la
grammaire, l'orthographe et la ponctuation. Dur dur pour le lecteur.
L'orthographe française est compliquée et tordue c'est vrai. La
transformer en une sorte de sms fonétik rendrais rapidement tout le
passé culturel inaccessible au plus grand nombre, mis à part quelques
lettrés spécialistes. Et ça, cette rupture des racines, ce serait
vraiment grave. De plus, si l'orthographe est commune, les dérives en
revanches sont personnelles : c'est en cela qu'elles compliquent la
lecture.
WEILL wrote:Ou être enfin raisonnable et se poser honnêtement la question de
savoir pourquoi en 2008 des étudiants du supérieur se révèlent
incapables de réaliser en la matière ce que le moindre titulaire du
Certificat d'Etudes Primaires jusque dans les années 50 réalisait sans
peine...
Parce que dans les années 50, moins de 80.000 personnes passaient le bac
dans l'année. De nos jours, c'est plus de 600.000. Et que d'un autre
côté, le "Certif" était très sélectif
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Certificat_d%27%C3%A9tudes_primaires)
WEILL wrote:
Ou être enfin raisonnable et se poser honnêtement la question de
savoir pourquoi en 2008 des étudiants du supérieur se révèlent
incapables de réaliser en la matière ce que le moindre titulaire du
Certificat d'Etudes Primaires jusque dans les années 50 réalisait sans
peine...
Parce que dans les années 50, moins de 80.000 personnes passaient le bac
dans l'année. De nos jours, c'est plus de 600.000. Et que d'un autre
côté, le "Certif" était très sélectif
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Certificat_d%27%C3%A9tudes_primaires)
WEILL wrote:Ou être enfin raisonnable et se poser honnêtement la question de
savoir pourquoi en 2008 des étudiants du supérieur se révèlent
incapables de réaliser en la matière ce que le moindre titulaire du
Certificat d'Etudes Primaires jusque dans les années 50 réalisait sans
peine...
Parce que dans les années 50, moins de 80.000 personnes passaient le bac
dans l'année. De nos jours, c'est plus de 600.000. Et que d'un autre
côté, le "Certif" était très sélectif
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Certificat_d%27%C3%A9tudes_primaires)
Disons qu'il y a toute une gamme entre la faute occasionnelle et le
manque d'attention total porté à la fois à la présentation, la
grammaire, l'orthographe et la ponctuation. Dur dur pour le lecteur.
L'orthographe française est compliquée et tordue c'est vrai. La
transformer en une sorte de sms fonétik rendrais rapidement tout le
passé culturel inaccessible au plus grand nombre, mis à part quelques
lettrés spécialistes. Et ça, cette rupture des racines, ce serait
vraiment grave. De plus, si l'orthographe est commune, les dérives en
revanches sont personnelles : c'est en cela qu'elles compliquent la
lecture.
Disons qu'il y a toute une gamme entre la faute occasionnelle et le
manque d'attention total porté à la fois à la présentation, la
grammaire, l'orthographe et la ponctuation. Dur dur pour le lecteur.
L'orthographe française est compliquée et tordue c'est vrai. La
transformer en une sorte de sms fonétik rendrais rapidement tout le
passé culturel inaccessible au plus grand nombre, mis à part quelques
lettrés spécialistes. Et ça, cette rupture des racines, ce serait
vraiment grave. De plus, si l'orthographe est commune, les dérives en
revanches sont personnelles : c'est en cela qu'elles compliquent la
lecture.
Disons qu'il y a toute une gamme entre la faute occasionnelle et le
manque d'attention total porté à la fois à la présentation, la
grammaire, l'orthographe et la ponctuation. Dur dur pour le lecteur.
L'orthographe française est compliquée et tordue c'est vrai. La
transformer en une sorte de sms fonétik rendrais rapidement tout le
passé culturel inaccessible au plus grand nombre, mis à part quelques
lettrés spécialistes. Et ça, cette rupture des racines, ce serait
vraiment grave. De plus, si l'orthographe est commune, les dérives en
revanches sont personnelles : c'est en cela qu'elles compliquent la
lecture.
Et pour finir sur la langue Française, c'est vrai qu'elle est tordue. Un
truc que je suis toujours autant incapable d'expliquer, c'est le genre des
choses. Un mur, une brique ?
Et pour finir sur la langue Française, c'est vrai qu'elle est tordue. Un
truc que je suis toujours autant incapable d'expliquer, c'est le genre des
choses. Un mur, une brique ?
Et pour finir sur la langue Française, c'est vrai qu'elle est tordue. Un
truc que je suis toujours autant incapable d'expliquer, c'est le genre des
choses. Un mur, une brique ?
Ou encore pourrais-tu nous expliquer l'intérêt culturel d'écrire la
volonté avec "é" et non "ée" en tant qu'exception à la règle commune du
féminin ?
Ou encore pourrais-tu nous expliquer l'intérêt culturel d'écrire la
volonté avec "é" et non "ée" en tant qu'exception à la règle commune du
féminin ?
Ou encore pourrais-tu nous expliquer l'intérêt culturel d'écrire la
volonté avec "é" et non "ée" en tant qu'exception à la règle commune du
féminin ?
> Cher Noëlle,
Sans vouloir te contredire à tout prix, je me permets tout de même de te
rappeler qu'une des périodes les plus prolifiques et les plus belles de
notre littérature nationale se situe au XVIème siècle, époque où
l'orthographe n'était nullement codifiée... Il ne me semble pas que
cette époque ait été une époque de perte des racines culturelles ou de
stérilité de la culture.
Quant à l'accès aux oeuvres anciennes "dans le texte" par le plus grand
nombre, je t'invite à essayer de faire lire et comprendre un texte du
XIIIème siècle - même retranscrit en caractères actuels pour éliminer
les problèmes de déchiffrement des écritures manuscrites anciennes - à
un individu lambda - même diplômé du supérieur - s'il n'est pas un
chartiste ou un historien spécialiste du médiéval...
Quant à trouver un quelconque intérêt culturel à écrire "éléphant" (avec
un PH au lieu d'un "F") sous prétexte que le mot est censé avoir une
racine grecque j'en doute fort... A moins que les italiens, les
espagnols, les Allemands (et sans doute quelques autres de part le vaste
monde) ne soit par toi considérés comme d'affreux incultes... Au
Moyen-âge, on écrivait d'ailleurs "olifant" (avec un F) le nom de ce
sympathique pachyderme (comprendrait-on moins et aurait-on moin de
culture si on écrivait "pachiderme"?)...
Je pourrais aussi te citer quelques redoublements de consonnes maintenus
malgré l'invention de l'imprimerie qui rendit obsolètes les trucs et
astuces des copistes rémunérés à la ligne pour arrondir leur bourse (au
singulier bien entendu :) ) en "allongeant la sauce" (c'est excusable
quand on est payé à la ligne) et qui n'ont aucune justification, ni dans
la prononciation usuelle, ni dans l'origine étymologique des mots...
Ou encore pourrais-tu nous expliquer l'intérêt culturel d'écrire la
volonté avec "é" et non "ée" en tant qu'exception à la règle commune du
féminin ?
> Cher Noëlle,
Sans vouloir te contredire à tout prix, je me permets tout de même de te
rappeler qu'une des périodes les plus prolifiques et les plus belles de
notre littérature nationale se situe au XVIème siècle, époque où
l'orthographe n'était nullement codifiée... Il ne me semble pas que
cette époque ait été une époque de perte des racines culturelles ou de
stérilité de la culture.
Quant à l'accès aux oeuvres anciennes "dans le texte" par le plus grand
nombre, je t'invite à essayer de faire lire et comprendre un texte du
XIIIème siècle - même retranscrit en caractères actuels pour éliminer
les problèmes de déchiffrement des écritures manuscrites anciennes - à
un individu lambda - même diplômé du supérieur - s'il n'est pas un
chartiste ou un historien spécialiste du médiéval...
Quant à trouver un quelconque intérêt culturel à écrire "éléphant" (avec
un PH au lieu d'un "F") sous prétexte que le mot est censé avoir une
racine grecque j'en doute fort... A moins que les italiens, les
espagnols, les Allemands (et sans doute quelques autres de part le vaste
monde) ne soit par toi considérés comme d'affreux incultes... Au
Moyen-âge, on écrivait d'ailleurs "olifant" (avec un F) le nom de ce
sympathique pachyderme (comprendrait-on moins et aurait-on moin de
culture si on écrivait "pachiderme"?)...
Je pourrais aussi te citer quelques redoublements de consonnes maintenus
malgré l'invention de l'imprimerie qui rendit obsolètes les trucs et
astuces des copistes rémunérés à la ligne pour arrondir leur bourse (au
singulier bien entendu :) ) en "allongeant la sauce" (c'est excusable
quand on est payé à la ligne) et qui n'ont aucune justification, ni dans
la prononciation usuelle, ni dans l'origine étymologique des mots...
Ou encore pourrais-tu nous expliquer l'intérêt culturel d'écrire la
volonté avec "é" et non "ée" en tant qu'exception à la règle commune du
féminin ?
> Cher Noëlle,
Sans vouloir te contredire à tout prix, je me permets tout de même de te
rappeler qu'une des périodes les plus prolifiques et les plus belles de
notre littérature nationale se situe au XVIème siècle, époque où
l'orthographe n'était nullement codifiée... Il ne me semble pas que
cette époque ait été une époque de perte des racines culturelles ou de
stérilité de la culture.
Quant à l'accès aux oeuvres anciennes "dans le texte" par le plus grand
nombre, je t'invite à essayer de faire lire et comprendre un texte du
XIIIème siècle - même retranscrit en caractères actuels pour éliminer
les problèmes de déchiffrement des écritures manuscrites anciennes - à
un individu lambda - même diplômé du supérieur - s'il n'est pas un
chartiste ou un historien spécialiste du médiéval...
Quant à trouver un quelconque intérêt culturel à écrire "éléphant" (avec
un PH au lieu d'un "F") sous prétexte que le mot est censé avoir une
racine grecque j'en doute fort... A moins que les italiens, les
espagnols, les Allemands (et sans doute quelques autres de part le vaste
monde) ne soit par toi considérés comme d'affreux incultes... Au
Moyen-âge, on écrivait d'ailleurs "olifant" (avec un F) le nom de ce
sympathique pachyderme (comprendrait-on moins et aurait-on moin de
culture si on écrivait "pachiderme"?)...
Je pourrais aussi te citer quelques redoublements de consonnes maintenus
malgré l'invention de l'imprimerie qui rendit obsolètes les trucs et
astuces des copistes rémunérés à la ligne pour arrondir leur bourse (au
singulier bien entendu :) ) en "allongeant la sauce" (c'est excusable
quand on est payé à la ligne) et qui n'ont aucune justification, ni dans
la prononciation usuelle, ni dans l'origine étymologique des mots...
Ou encore pourrais-tu nous expliquer l'intérêt culturel d'écrire la
volonté avec "é" et non "ée" en tant qu'exception à la règle commune du
féminin ?
Je suis bien d'accord sur le fond, mais bon, là en l'occurence
c'était un quand au lieu d'un quant, et si c'est une faute que
j'évite de faire, elle est quand même suffisement (suffisament ?
suffisemment ?) minime pour ne pas faire un post à son propos.
Je suis bien d'accord sur le fond, mais bon, là en l'occurence
c'était un quand au lieu d'un quant, et si c'est une faute que
j'évite de faire, elle est quand même suffisement (suffisament ?
suffisemment ?) minime pour ne pas faire un post à son propos.
Je suis bien d'accord sur le fond, mais bon, là en l'occurence
c'était un quand au lieu d'un quant, et si c'est une faute que
j'évite de faire, elle est quand même suffisement (suffisament ?
suffisemment ?) minime pour ne pas faire un post à son propos.