Ca n'est pas la première fois que je lis que, la photo de mariage, ça serait
quasiment de la prostitution pour un photographe.
Et puis, voilà que ça me tombe dessus, des copains me demandent de faire ça.
Ca me stresse totalement.
Ca implique donc que je mette au point un plan de bataille. Je vais donc
voir ce que font les pros sur le net, histoire de pomper des idées, vu que
je n'en ai aucune sur ce sujet qui me déprime.....zzzzz, misère !! Vulgarité
! banalité ! a vomir de sucraille ! Mais de recherches en recherches, je
tombe sur olivier Tops, un suisse, humblement photographe "de mariage"
http://www.oliviertops.com/fr/expo.php
Je suis beaucoup moins sur, après avoir vu ça, que ce soit si dégradant. Ca
pétarade de bonnes idées. Ca ouvre des routes. Il me faudra du temps pour
absorber ce qu'il a inventé. J'aime totalement.
Il est impératif, une fois qu'on aura fait le tour de ses photos de mariage,
de voir ce qu'il a fait au Tibet. Là, non seulement il faut savoir faire,
mais il faut y être. Peu de photos, mais explosives. Incroyable que ces
photos exceptionnelles ne soient pas connues de toute la planète.
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news: g1r0eg$91p$
J'avoue que même dans mon métier, il y a toujours dans les opérations capitales, même si on a tout prévu tout planifié un petit moment de stress quand on met en place le nouveau truc.
C'est un des moments où l'on se sent vivant.
Et... je me demande si sans ça il y aurait un quelconque intérêt à bosser.
Question légitime.
-- JCG
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me
conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@grimart.invalid> a écrit dans le message de
news: g1r0eg$91p$1@news.brutele.be...
J'avoue que même dans mon métier, il y a toujours dans les opérations
capitales, même si on a tout prévu tout planifié un petit moment de
stress quand on met en place le nouveau truc.
C'est un des moments où l'on se sent vivant.
Et... je me demande si sans ça il y aurait un quelconque intérêt à
bosser.
Question légitime.
--
JCG
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me
conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news: g1r0eg$91p$
J'avoue que même dans mon métier, il y a toujours dans les opérations capitales, même si on a tout prévu tout planifié un petit moment de stress quand on met en place le nouveau truc.
C'est un des moments où l'on se sent vivant.
Et... je me demande si sans ça il y aurait un quelconque intérêt à bosser.
Question légitime.
-- JCG
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me
conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Jean-Claude Ghislain nous susurrait, le samedi 31/05/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <g1qtvv$84c$, les doux mélismes suivants :
ceux qui rentrent en scène sans aucun trac, à la je m'en foutisme, ne sont pas forcément les meilleurs.
Dans le milieu des artistes des musiciens "classiques" (instrumentistes, chanteurs), à la louche, #80 % ont le trac à des niveaux divers...
Le plus traqueux de tous ayant été probablement le pianiste *Vladimir Horowitz*, qui dut à plusieurs reprise arrêter net sa carrière artistique pendant plusieurs années d'affilée, à cause de ce trac, et des profondes crises de dépression qu'il lui causait...Heuruesement, RCA, son éditeur/producteur, avait eu la bonne idée d'installer un studio d'enregistrement complet chez lui...Et put ainsi enregistrer de mémorables cires, hélas encore bien trop peu nombreuses...
À l'inverse, le moins traqueux fut le pianiste *Claudio Arrau*, qui ne connut _jamais_ le trac...Et qui de plus ne transpirait jamais en scène, y compris dans les oeuvres les plus difficiles et virtuoses (J(ai pu à plusieurs reprises le constater de visu)...La psychanalyse qu'il fit pendant plusieurs années à partir de l'âge de 17 ans (suite à la mort de son "coach" et père par procuration Martin Krause, un des derniers élèves de Franz Liszt) est pour beaucoup dans le calme et la serénité olymoiens de cet immense artiste (un des plus 5 ou 10 grands pianistes de toute l'histoire du piano "classique")...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Jean-Claude Ghislain nous susurrait, le
samedi 31/05/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales
quand même, et dans le message <g1qtvv$84c$1@news.brutele.be>, les doux
mélismes suivants :
ceux qui rentrent en scène sans aucun trac, à la je m'en foutisme, ne
sont pas forcément les meilleurs.
Dans le milieu des artistes des musiciens "classiques"
(instrumentistes, chanteurs), à la louche, #80 % ont le trac à des
niveaux divers...
Le plus traqueux de tous ayant été probablement le pianiste *Vladimir
Horowitz*, qui dut à plusieurs reprise arrêter net sa carrière
artistique pendant plusieurs années d'affilée, à cause de ce trac, et
des profondes crises de dépression qu'il lui causait...Heuruesement,
RCA, son éditeur/producteur, avait eu la bonne idée d'installer un
studio d'enregistrement complet chez lui...Et put ainsi enregistrer de
mémorables cires, hélas encore bien trop peu nombreuses...
À l'inverse, le moins traqueux fut le pianiste *Claudio Arrau*, qui ne
connut _jamais_ le trac...Et qui de plus ne transpirait jamais en
scène, y compris dans les oeuvres les plus difficiles et virtuoses
(J(ai pu à plusieurs reprises le constater de visu)...La psychanalyse
qu'il fit pendant plusieurs années à partir de l'âge de 17 ans (suite à
la mort de son "coach" et père par procuration Martin Krause, un des
derniers élèves de Franz Liszt) est pour beaucoup dans le calme et la
serénité olymoiens de cet immense artiste (un des plus 5 ou 10 grands
pianistes de toute l'histoire du piano "classique")...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Jean-Claude Ghislain nous susurrait, le samedi 31/05/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <g1qtvv$84c$, les doux mélismes suivants :
ceux qui rentrent en scène sans aucun trac, à la je m'en foutisme, ne sont pas forcément les meilleurs.
Dans le milieu des artistes des musiciens "classiques" (instrumentistes, chanteurs), à la louche, #80 % ont le trac à des niveaux divers...
Le plus traqueux de tous ayant été probablement le pianiste *Vladimir Horowitz*, qui dut à plusieurs reprise arrêter net sa carrière artistique pendant plusieurs années d'affilée, à cause de ce trac, et des profondes crises de dépression qu'il lui causait...Heuruesement, RCA, son éditeur/producteur, avait eu la bonne idée d'installer un studio d'enregistrement complet chez lui...Et put ainsi enregistrer de mémorables cires, hélas encore bien trop peu nombreuses...
À l'inverse, le moins traqueux fut le pianiste *Claudio Arrau*, qui ne connut _jamais_ le trac...Et qui de plus ne transpirait jamais en scène, y compris dans les oeuvres les plus difficiles et virtuoses (J(ai pu à plusieurs reprises le constater de visu)...La psychanalyse qu'il fit pendant plusieurs années à partir de l'âge de 17 ans (suite à la mort de son "coach" et père par procuration Martin Krause, un des derniers élèves de Franz Liszt) est pour beaucoup dans le calme et la serénité olymoiens de cet immense artiste (un des plus 5 ou 10 grands pianistes de toute l'histoire du piano "classique")...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Jean-Claude Ghislain
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de bijoux, de couverts.
Et pour terminer, quelques portraits à la Harcourt...
-- JCG
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me
conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX
métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les
cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout
le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la
nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de
bijoux, de couverts.
Et pour terminer, quelques portraits à la Harcourt...
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de bijoux, de couverts.
Et pour terminer, quelques portraits à la Harcourt...
-- JCG
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de bijoux, de couverts.
Ferrari peut-être pas, mais bien des produits de catalogues sont photographiés à la presse-bouton par un employé. Je ne dis pas que le résultat est tip-top, je dis que c'est la tendance.
Noëlle Adam.
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me
conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les
cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout
le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la
nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de
bijoux, de couverts.
Ferrari peut-être pas, mais bien des produits de catalogues sont
photographiés à la presse-bouton par un employé. Je ne dis pas que le
résultat est tip-top, je dis que c'est la tendance.
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de bijoux, de couverts.
Ferrari peut-être pas, mais bien des produits de catalogues sont photographiés à la presse-bouton par un employé. Je ne dis pas que le résultat est tip-top, je dis que c'est la tendance.
Noëlle Adam.
Jean-Claude Ghislain
Ferrari peut-être pas, mais bien des produits de catalogues sont photographiés à la presse-bouton par un employé.
Ne ne sont pas à celle là que je pense.
Je ne dis pas que le résultat est tip-top, je dis que c'est la tendance.
Pas encore chez tout le monde, par exemple : http://www.tagheuer.com/the-collection/index.lbl?lang=fr
-- JCG
Ferrari peut-être pas, mais bien des produits de catalogues sont
photographiés à la presse-bouton par un employé.
Ne ne sont pas à celle là que je pense.
Je ne dis pas que le résultat est tip-top, je dis que c'est la
tendance.
Pas encore chez tout le monde, par exemple :
http://www.tagheuer.com/the-collection/index.lbl?lang=fr
"corven1" a écrit dans le message de news: 484126c4$0$881$
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me
conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
c'est comme maintenant, ya plus de vrai écrivain, ils pressent tous les touches d'un clavier... pfff...
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Pas encore chez tout le monde, par exemple : http://www.tagheuer.com/the-collection/index.lbl?lang=fr
Comme Ferrari : dans le luxe.
C'est assez marginal.
J'ai tenté de convaincre ma hiérarchie que 1/ Photographe événementiel c'est un métier ; 2/ ce n'est pas le mien ; 3/ En revanche, je suis tout à fait qualifiée pour en trouver un bon et lui expliciter les demandes.
C'est un collègue sans états d'âme qui fait les photos avec un compact avec un seul bouton, et c'est très bien comme ça de mon point de vue.
Noëlle Adam.
Pas encore chez tout le monde, par exemple :
http://www.tagheuer.com/the-collection/index.lbl?lang=fr
Comme Ferrari : dans le luxe.
C'est assez marginal.
J'ai tenté de convaincre ma hiérarchie que
1/ Photographe événementiel c'est un métier ;
2/ ce n'est pas le mien ;
3/ En revanche, je suis tout à fait qualifiée pour en trouver un bon et
lui expliciter les demandes.
C'est un collègue sans états d'âme qui fait les photos avec un compact
avec un seul bouton, et c'est très bien comme ça de mon point de vue.
Pas encore chez tout le monde, par exemple : http://www.tagheuer.com/the-collection/index.lbl?lang=fr
Comme Ferrari : dans le luxe.
C'est assez marginal.
J'ai tenté de convaincre ma hiérarchie que 1/ Photographe événementiel c'est un métier ; 2/ ce n'est pas le mien ; 3/ En revanche, je suis tout à fait qualifiée pour en trouver un bon et lui expliciter les demandes.
C'est un collègue sans états d'âme qui fait les photos avec un compact avec un seul bouton, et c'est très bien comme ça de mon point de vue.
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de bijoux, de couverts.
Ferrari peut-être pas, mais bien des produits de catalogues sont photographiés à la presse-bouton par un employé. Je ne dis pas que le résultat est tip-top, je dis que c'est la tendance.
Il y a eu des progrés dans le petit matos de studio il semble, on trouve de petites tentes pour les petits objets pour pas trop cher.
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est réussi à tous les coups du point de vue technique.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me
conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les
cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout
le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la
nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de
bijoux, de couverts.
Ferrari peut-être pas, mais bien des produits de catalogues sont
photographiés à la presse-bouton par un employé. Je ne dis pas que le
résultat est tip-top, je dis que c'est la tendance.
Il y a eu des progrés dans le petit matos de studio il semble, on trouve
de petites tentes pour les petits objets pour pas trop cher.
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le
boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est réussi
à tous les coups du point de vue technique.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Je me demande si photographe, c'est encore un métier le terme qui me conviendrai " pressbouton "serait le mieux approprier pour cet EX métier
Sur un vélo il suffit de tourner les pédales, pourtant tous les cyclistes ne sont pas des champions. Demande à monsieur ou madame tout le monde de réaliser les photos de studio pour le catalogue de la nouvelle Ferrari ou en moins gros, de simples photos de montres, de bijoux, de couverts.
Ferrari peut-être pas, mais bien des produits de catalogues sont photographiés à la presse-bouton par un employé. Je ne dis pas que le résultat est tip-top, je dis que c'est la tendance.
Il y a eu des progrés dans le petit matos de studio il semble, on trouve de petites tentes pour les petits objets pour pas trop cher.
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est réussi à tous les coups du point de vue technique.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est réussi à tous les coups du point de vue technique.
Si on photographie toujours la même chose. Par exemple la photo scolaire, tu installes ton petit studio et tu photographies les 1000 élèves de l'Athénée Royal (c'est comme ça qu'on dit en Belgique, un Athénée).
Mais ce n'est pas toujours le cas, à des époques différentes, j'ai par exemple réalisé de la photo de meuble en studio, des gros trucs en chêne, toute une infrastructure, puis des photos d'aliments, une fois préparé pour la photo il valait mieux ne plus les manger, sans parler des repros d'oeuvres d'art. Il ne suffit pas de placer les flashs une fois pour toute, c'est plutôt le domaine de la débrouille, du système D et du serre-joint.
-- JCG
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le
boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est
réussi à tous les coups du point de vue technique.
Si on photographie toujours la même chose. Par exemple la photo
scolaire, tu installes ton petit studio et tu photographies les 1000
élèves de l'Athénée Royal (c'est comme ça qu'on dit en Belgique, un
Athénée).
Mais ce n'est pas toujours le cas, à des époques différentes, j'ai par
exemple réalisé de la photo de meuble en studio, des gros trucs en
chêne, toute une infrastructure, puis des photos d'aliments, une fois
préparé pour la photo il valait mieux ne plus les manger, sans parler
des repros d'oeuvres d'art. Il ne suffit pas de placer les flashs une
fois pour toute, c'est plutôt le domaine de la débrouille, du système D
et du serre-joint.
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est réussi à tous les coups du point de vue technique.
Si on photographie toujours la même chose. Par exemple la photo scolaire, tu installes ton petit studio et tu photographies les 1000 élèves de l'Athénée Royal (c'est comme ça qu'on dit en Belgique, un Athénée).
Mais ce n'est pas toujours le cas, à des époques différentes, j'ai par exemple réalisé de la photo de meuble en studio, des gros trucs en chêne, toute une infrastructure, puis des photos d'aliments, une fois préparé pour la photo il valait mieux ne plus les manger, sans parler des repros d'oeuvres d'art. Il ne suffit pas de placer les flashs une fois pour toute, c'est plutôt le domaine de la débrouille, du système D et du serre-joint.
-- JCG
filh
Jean-Claude Ghislain wrote:
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est réussi à tous les coups du point de vue technique.
Si on photographie toujours la même chose. Par exemple la photo scolaire, tu installes ton petit studio et tu photographies les 1000 élèves de l'Athénée Royal (c'est comme ça qu'on dit en Belgique, un Athénée).
Oui, ou les portraits un peu soignés des photographes de quartier - enfin quand ça existait. Le boulot était tout à fait correct soit dit en passant. Mais là n'importe qui ou presque peut le faire je crois.
J'ai eu fait aussi des stages photos, et le mec qui nous les donnait avait ses petites « routines » quelques trucs qui donnaient une fois de plus de bons résuitalts.
Mais ce n'est pas toujours le cas, à des époques différentes, j'ai par exemple réalisé de la photo de meuble en studio, des gros trucs en chêne, toute une infrastructure, puis des photos d'aliments, une fois préparé pour la photo il valait mieux ne plus les manger, sans parler des repros d'oeuvres d'art. Il ne suffit pas de placer les flashs une fois pour toute, c'est plutôt le domaine de la débrouille, du système D et du serre-joint.
On est d'accord.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean-Claude Ghislain <jcg@grimart.invalid> wrote:
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le
boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est
réussi à tous les coups du point de vue technique.
Si on photographie toujours la même chose. Par exemple la photo
scolaire, tu installes ton petit studio et tu photographies les 1000
élèves de l'Athénée Royal (c'est comme ça qu'on dit en Belgique, un
Athénée).
Oui, ou les portraits un peu soignés des photographes de quartier -
enfin quand ça existait. Le boulot était tout à fait correct soit dit en
passant.
Mais là n'importe qui ou presque peut le faire je crois.
J'ai eu fait aussi des stages photos, et le mec qui nous les donnait
avait ses petites « routines » quelques trucs qui donnaient une fois de
plus de bons résuitalts.
Mais ce n'est pas toujours le cas, à des époques différentes, j'ai par
exemple réalisé de la photo de meuble en studio, des gros trucs en
chêne, toute une infrastructure, puis des photos d'aliments, une fois
préparé pour la photo il valait mieux ne plus les manger, sans parler
des repros d'oeuvres d'art. Il ne suffit pas de placer les flashs une
fois pour toute, c'est plutôt le domaine de la débrouille, du système D
et du serre-joint.
On est d'accord.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Pour le studio, les flashes sont réglés, posé à un endroit précis, le boitier réglé sur le bon couple, posé au bon endroit... et c'est réussi à tous les coups du point de vue technique.
Si on photographie toujours la même chose. Par exemple la photo scolaire, tu installes ton petit studio et tu photographies les 1000 élèves de l'Athénée Royal (c'est comme ça qu'on dit en Belgique, un Athénée).
Oui, ou les portraits un peu soignés des photographes de quartier - enfin quand ça existait. Le boulot était tout à fait correct soit dit en passant. Mais là n'importe qui ou presque peut le faire je crois.
J'ai eu fait aussi des stages photos, et le mec qui nous les donnait avait ses petites « routines » quelques trucs qui donnaient une fois de plus de bons résuitalts.
Mais ce n'est pas toujours le cas, à des époques différentes, j'ai par exemple réalisé de la photo de meuble en studio, des gros trucs en chêne, toute une infrastructure, puis des photos d'aliments, une fois préparé pour la photo il valait mieux ne plus les manger, sans parler des repros d'oeuvres d'art. Il ne suffit pas de placer les flashs une fois pour toute, c'est plutôt le domaine de la débrouille, du système D et du serre-joint.
On est d'accord.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
