On 21 fév, 10:43, Claude BRUN wrote:Le 21/2/2010
Bonjour,
Le 21/02/10 03:20, pouet pouet a écrit :> On 20 fév, 11:36, Claude BRUN wrote:Bonjour,
--------------------------coupure-----------------ClBrun- Masquer le texte des messages précédents -- Afficher le texte des messages précédents -Merci.Donc, si je comprend bien, vous me confirmez que je peux me faire
rembourser mes 600 euros par les deux assurances.
Oui ! Mais si l'on tient compte de votre dernier message ci-dessous,
à condition qu'il y ait bien deux contrats...par contre, une chose etonnante.Quand j'ai déclaré mon sinistre à la premiere assurance... la personne
qui m'a répondu a une adresse email avec un nom de domaine
( ) qui correspond à la seconde assurance.Il semble donc que ma premiere assurance sous traite auprés de la
société qui m'a fourni la seconde assurance.Je sais pas si je suis tres clair donc je vais donner un exemple. La
premiere assurance s'appelle TOTO et la seconde TATA. Ce sont deux
compagnies differentes. Mais quand j'ai déclaré le sinistre à la
premiere assurance, les personnes qui m'ont répondu ont des adresses
emails en TATA.FRCela ne risque t il pas de poser de probleme ?
Le plus simple me semble-t-il est de faire un courrier adressé au
service concerné par la CB offrant la garantie la plus élevée.
Dans ce courrier :
- vous déclarez le sinistre
- vous déclarez la co-assurance et ce qu'elle garantit
- vous rappelez l'article L121-4 du Code des assurances (au besoin, vous
le recopiez intégralement...)
- vous confirmez qu'en vertu de cet article L121-4 vous avez décidé de
le choisir comme "apériteur" dans vos rapports entre vous et les deux
assureurs
- qu'en conséquence c'est à lui que vous réclamez la somme qui vous
revient (600€)
- vous fournissez pour cela le ou les justificatifs réclamés par les
assureurs
Ensuite "wait and see"...la situation s'éclaircira vraisemblablement
d'elle-même et vous saurez où aller, comment et pourquoi...
ClBrun- Masquer le texte des messages précédents -
- Afficher le texte des messages précédents -
merci de votre aide.
j'ai appellé la premiere assurance.
La dame m'a dit qu'on ne pouvait pas cumuler deux assurances.
Je lui ai donné vos informations, elle s'est renseigné et m'a dit que
c'etait possible.
Elle a pris note de ce que je suis coassuré...m'a dit de déclarer le
sinistre à la seconde assurance... et de leur envoyer les documents
que m'enverra l'autre assurance.
Est-ce bien comme ca que ca se passe ?
Elle avait pas vraiment l'air de savoit :)
On 21 fév, 10:43, Claude BRUN<c.bru...@orange.fr> wrote:
Le 21/2/2010
Bonjour,
Le 21/02/10 03:20, pouet pouet a écrit :> On 20 fév, 11:36, Claude BRUN<c.bru...@orange.fr> wrote:
Bonjour,
--------------------------coupure-----------------
ClBrun- Masquer le texte des messages précédents -
- Afficher le texte des messages précédents -
Merci.
Donc, si je comprend bien, vous me confirmez que je peux me faire
rembourser mes 600 euros par les deux assurances.
Oui ! Mais si l'on tient compte de votre dernier message ci-dessous,
à condition qu'il y ait bien deux contrats...
par contre, une chose etonnante.
Quand j'ai déclaré mon sinistre à la premiere assurance... la personne
qui m'a répondu a une adresse email avec un nom de domaine
( ....@xxxx.fr) qui correspond à la seconde assurance.
Il semble donc que ma premiere assurance sous traite auprés de la
société qui m'a fourni la seconde assurance.
Je sais pas si je suis tres clair donc je vais donner un exemple. La
premiere assurance s'appelle TOTO et la seconde TATA. Ce sont deux
compagnies differentes. Mais quand j'ai déclaré le sinistre à la
premiere assurance, les personnes qui m'ont répondu ont des adresses
emails en TATA.FR
Cela ne risque t il pas de poser de probleme ?
Le plus simple me semble-t-il est de faire un courrier adressé au
service concerné par la CB offrant la garantie la plus élevée.
Dans ce courrier :
- vous déclarez le sinistre
- vous déclarez la co-assurance et ce qu'elle garantit
- vous rappelez l'article L121-4 du Code des assurances (au besoin, vous
le recopiez intégralement...)
- vous confirmez qu'en vertu de cet article L121-4 vous avez décidé de
le choisir comme "apériteur" dans vos rapports entre vous et les deux
assureurs
- qu'en conséquence c'est à lui que vous réclamez la somme qui vous
revient (600€)
- vous fournissez pour cela le ou les justificatifs réclamés par les
assureurs
Ensuite "wait and see"...la situation s'éclaircira vraisemblablement
d'elle-même et vous saurez où aller, comment et pourquoi...
ClBrun- Masquer le texte des messages précédents -
- Afficher le texte des messages précédents -
merci de votre aide.
j'ai appellé la premiere assurance.
La dame m'a dit qu'on ne pouvait pas cumuler deux assurances.
Je lui ai donné vos informations, elle s'est renseigné et m'a dit que
c'etait possible.
Elle a pris note de ce que je suis coassuré...m'a dit de déclarer le
sinistre à la seconde assurance... et de leur envoyer les documents
que m'enverra l'autre assurance.
Est-ce bien comme ca que ca se passe ?
Elle avait pas vraiment l'air de savoit :)
On 21 fév, 10:43, Claude BRUN wrote:Le 21/2/2010
Bonjour,
Le 21/02/10 03:20, pouet pouet a écrit :> On 20 fév, 11:36, Claude BRUN wrote:Bonjour,
--------------------------coupure-----------------ClBrun- Masquer le texte des messages précédents -- Afficher le texte des messages précédents -Merci.Donc, si je comprend bien, vous me confirmez que je peux me faire
rembourser mes 600 euros par les deux assurances.
Oui ! Mais si l'on tient compte de votre dernier message ci-dessous,
à condition qu'il y ait bien deux contrats...par contre, une chose etonnante.Quand j'ai déclaré mon sinistre à la premiere assurance... la personne
qui m'a répondu a une adresse email avec un nom de domaine
( ) qui correspond à la seconde assurance.Il semble donc que ma premiere assurance sous traite auprés de la
société qui m'a fourni la seconde assurance.Je sais pas si je suis tres clair donc je vais donner un exemple. La
premiere assurance s'appelle TOTO et la seconde TATA. Ce sont deux
compagnies differentes. Mais quand j'ai déclaré le sinistre à la
premiere assurance, les personnes qui m'ont répondu ont des adresses
emails en TATA.FRCela ne risque t il pas de poser de probleme ?
Le plus simple me semble-t-il est de faire un courrier adressé au
service concerné par la CB offrant la garantie la plus élevée.
Dans ce courrier :
- vous déclarez le sinistre
- vous déclarez la co-assurance et ce qu'elle garantit
- vous rappelez l'article L121-4 du Code des assurances (au besoin, vous
le recopiez intégralement...)
- vous confirmez qu'en vertu de cet article L121-4 vous avez décidé de
le choisir comme "apériteur" dans vos rapports entre vous et les deux
assureurs
- qu'en conséquence c'est à lui que vous réclamez la somme qui vous
revient (600€)
- vous fournissez pour cela le ou les justificatifs réclamés par les
assureurs
Ensuite "wait and see"...la situation s'éclaircira vraisemblablement
d'elle-même et vous saurez où aller, comment et pourquoi...
ClBrun- Masquer le texte des messages précédents -
- Afficher le texte des messages précédents -
merci de votre aide.
j'ai appellé la premiere assurance.
La dame m'a dit qu'on ne pouvait pas cumuler deux assurances.
Je lui ai donné vos informations, elle s'est renseigné et m'a dit que
c'etait possible.
Elle a pris note de ce que je suis coassuré...m'a dit de déclarer le
sinistre à la seconde assurance... et de leur envoyer les documents
que m'enverra l'autre assurance.
Est-ce bien comme ca que ca se passe ?
Elle avait pas vraiment l'air de savoit :)
JFK a écrit :Le 21/02/2010 21:10, Claude BRUN a écrit :Comment voulez-vous, dans ces conditions, qu'un assuré obtienne de son
assureur la mise en oeuvre de la clause de DR incluse dans son
contrat ?...
Ce qui amène une autre question: pourquoi vendent-ils de force la
partie défense et recours alors que selon vos dires elle ne servirait
qu'à donner de l'argent pour rien aux assureurs ??
Accident sortant de la convention. Avec un tiers non assuré. Ou avec un
moldoslovaque en vacances. Ou peut-être avec un véhicule administratif,
je ne sais pas le statut actuel de l'assurance des chars d'assaut.
JFK a écrit :
Le 21/02/2010 21:10, Claude BRUN a écrit :
Comment voulez-vous, dans ces conditions, qu'un assuré obtienne de son
assureur la mise en oeuvre de la clause de DR incluse dans son
contrat ?...
Ce qui amène une autre question: pourquoi vendent-ils de force la
partie défense et recours alors que selon vos dires elle ne servirait
qu'à donner de l'argent pour rien aux assureurs ??
Accident sortant de la convention. Avec un tiers non assuré. Ou avec un
moldoslovaque en vacances. Ou peut-être avec un véhicule administratif,
je ne sais pas le statut actuel de l'assurance des chars d'assaut.
JFK a écrit :Le 21/02/2010 21:10, Claude BRUN a écrit :Comment voulez-vous, dans ces conditions, qu'un assuré obtienne de son
assureur la mise en oeuvre de la clause de DR incluse dans son
contrat ?...
Ce qui amène une autre question: pourquoi vendent-ils de force la
partie défense et recours alors que selon vos dires elle ne servirait
qu'à donner de l'argent pour rien aux assureurs ??
Accident sortant de la convention. Avec un tiers non assuré. Ou avec un
moldoslovaque en vacances. Ou peut-être avec un véhicule administratif,
je ne sais pas le statut actuel de l'assurance des chars d'assaut.
j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
PAP a écrit :L'assurance décès l'est. Une assurance décès est accolée aux
assurances-vies.
pas toujours... j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
Vous voulez dire qu'il n'y a pas un petit bonus sur le capital pour les
ayant-droits en cas de décès? Jamais vu.
PAP a écrit :
L'assurance décès l'est. Une assurance décès est accolée aux
assurances-vies.
pas toujours... j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
Vous voulez dire qu'il n'y a pas un petit bonus sur le capital pour les
ayant-droits en cas de décès? Jamais vu.
PAP a écrit :L'assurance décès l'est. Une assurance décès est accolée aux
assurances-vies.
pas toujours... j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
Vous voulez dire qu'il n'y a pas un petit bonus sur le capital pour les
ayant-droits en cas de décès? Jamais vu.
PAP wrote:j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
Les assurances-vie ne sont pas des assurances. Pour une raison simple :
une assurance couvre un risque, et seulement un risque. Or la mort est
un événement certain, qu'aucune assurance ne peut couvrir par définition
(et peut-être même de par la loi, faudrait qu'un juriste nous le
confirme mais je crois avoir lu ça quelque part). Le bon terme est
capital décès.
PAP<papsanssans@hotmail.fr> wrote:
j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
Les assurances-vie ne sont pas des assurances. Pour une raison simple :
une assurance couvre un risque, et seulement un risque. Or la mort est
un événement certain, qu'aucune assurance ne peut couvrir par définition
(et peut-être même de par la loi, faudrait qu'un juriste nous le
confirme mais je crois avoir lu ça quelque part). Le bon terme est
capital décès.
PAP wrote:j'ai au moins 10 assurances-vie qui n'ont *pas*
d'assurance-décès accolée...
Les assurances-vie ne sont pas des assurances. Pour une raison simple :
une assurance couvre un risque, et seulement un risque. Or la mort est
un événement certain, qu'aucune assurance ne peut couvrir par définition
(et peut-être même de par la loi, faudrait qu'un juriste nous le
confirme mais je crois avoir lu ça quelque part). Le bon terme est
capital décès.
"jr" a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$Tardigradus a écrit :jr wrote:En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour les
cas "simples" !
Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela m'est
arrivé !
"jr" <jqs@froc.net> a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$426a74cc@news.free.fr...
Tardigradus a écrit :
jr <jqs@froc.net> wrote:
En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour les
cas "simples" !
Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela m'est
arrivé !
"jr" a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$Tardigradus a écrit :jr wrote:En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour les
cas "simples" !
Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela m'est
arrivé !
Cher Tardigradus, vous omettez, je pense, l'aléa (assurable donc) que
constitue la durée de vie d'un être humain...
Cher Tardigradus, vous omettez, je pense, l'aléa (assurable donc) que
constitue la durée de vie d'un être humain...
Cher Tardigradus, vous omettez, je pense, l'aléa (assurable donc) que
constitue la durée de vie d'un être humain...
Le 22/02/10 11:26, Serge a écrit :
"jr" a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$Tardigradus a écrit :jr wrote:En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne
présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour
les
cas "simples" !
Pas seulement...
Elles ont été créées, d'abord et surtout pour modifier en profondeur
la
gestion des sinistres auto, notamment en créant un coût moyen de
sinistre d'autant plus proche de la réalité que le portefeuille
automobile de la compagnie adhérente est important en nombre (Ce qui
explique pourquoi, une mutuelle comme la MACIF a attendu d'en voir les
résultats sur plusieurs années avant d'y adhérer à son tour...). en
créant aussi une sorte de chambre de compensation pour les réglements
sinistres entre compagnies (dans le genre : "je te dois 10 dossiers à
1205€ - c'est le coût moyen actuel - et tu me dois 10 dossiers à 1205€
donc nous somme quittes...Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui
demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas
de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela
m'est
arrivé !
Eh non! Impossible car, pour tous les sinistres entrant dans le cadre
de l'IRSA, les adhérentes s'interdisent tout recours entre elles et,
de même, s'interdisent-elles mutuellement toute action judiciaire...
Par ailleurs, dans l'exemple que vous choisissez, Serge, il n'est nul
besoin de se tourner vers l'assureur du responsable pour obtenir le
remboursement d'une facture de location de voiture pendant toute la
période où la victime a été privée de son véhicule parce que les
assureurs adhérents à l'IRSA s'interdisent (encore, direz-vous...)
de se faire rembourser différents postes d'indemnisation de préjudices
(ils sont au nombre de 13) tels que dépannage/remorquage,
immobilisation du véhicule,etc...
- ce qui ne veut surtout pas dire que la victime ne peut être
indemnisée, au contraire ((n'en déplaisent à certains assureurs qui
les refusent à l'assuré qui leur réclame au motif que la convention
IRSA NE LE PERMET PAS !...). Comme pour les autres postes de
préjudices expertisés, estimés par l'assureur de la victime,
l'indemnisation due pour l'immobilisation du véhicule sera prise en
charge par lui, de façon conforme aux jugements de nos tribunaux c'est
à dire pour sa durée REELLE, qu'elle soit courte ou longue peu
importe, (et non pour une durée forfaitaire comme le proposent encore
certains assureurs).
Seul inconvénient pour l'assureur de la victime, il devra conserver
cette indemnisation à sa charge...( ce qui explique, sans doute, son
premier réflexe de refus...et même son second car parfois, dur, dur de
lui faire entendre raison..)
ClBrun
Le 22/02/10 11:26, Serge a écrit :
"jr" <jqs@froc.net> a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$426a74cc@news.free.fr...
Tardigradus a écrit :
jr <jqs@froc.net> wrote:
En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne
présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour
les
cas "simples" !
Pas seulement...
Elles ont été créées, d'abord et surtout pour modifier en profondeur
la
gestion des sinistres auto, notamment en créant un coût moyen de
sinistre d'autant plus proche de la réalité que le portefeuille
automobile de la compagnie adhérente est important en nombre (Ce qui
explique pourquoi, une mutuelle comme la MACIF a attendu d'en voir les
résultats sur plusieurs années avant d'y adhérer à son tour...). en
créant aussi une sorte de chambre de compensation pour les réglements
sinistres entre compagnies (dans le genre : "je te dois 10 dossiers à
1205€ - c'est le coût moyen actuel - et tu me dois 10 dossiers à 1205€
donc nous somme quittes...
Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui
demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas
de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela
m'est
arrivé !
Eh non! Impossible car, pour tous les sinistres entrant dans le cadre
de l'IRSA, les adhérentes s'interdisent tout recours entre elles et,
de même, s'interdisent-elles mutuellement toute action judiciaire...
Par ailleurs, dans l'exemple que vous choisissez, Serge, il n'est nul
besoin de se tourner vers l'assureur du responsable pour obtenir le
remboursement d'une facture de location de voiture pendant toute la
période où la victime a été privée de son véhicule parce que les
assureurs adhérents à l'IRSA s'interdisent (encore, direz-vous...)
de se faire rembourser différents postes d'indemnisation de préjudices
(ils sont au nombre de 13) tels que dépannage/remorquage,
immobilisation du véhicule,etc...
- ce qui ne veut surtout pas dire que la victime ne peut être
indemnisée, au contraire ((n'en déplaisent à certains assureurs qui
les refusent à l'assuré qui leur réclame au motif que la convention
IRSA NE LE PERMET PAS !...). Comme pour les autres postes de
préjudices expertisés, estimés par l'assureur de la victime,
l'indemnisation due pour l'immobilisation du véhicule sera prise en
charge par lui, de façon conforme aux jugements de nos tribunaux c'est
à dire pour sa durée REELLE, qu'elle soit courte ou longue peu
importe, (et non pour une durée forfaitaire comme le proposent encore
certains assureurs).
Seul inconvénient pour l'assureur de la victime, il devra conserver
cette indemnisation à sa charge...( ce qui explique, sans doute, son
premier réflexe de refus...et même son second car parfois, dur, dur de
lui faire entendre raison..)
ClBrun
Le 22/02/10 11:26, Serge a écrit :
"jr" a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$Tardigradus a écrit :jr wrote:En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne
présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour
les
cas "simples" !
Pas seulement...
Elles ont été créées, d'abord et surtout pour modifier en profondeur
la
gestion des sinistres auto, notamment en créant un coût moyen de
sinistre d'autant plus proche de la réalité que le portefeuille
automobile de la compagnie adhérente est important en nombre (Ce qui
explique pourquoi, une mutuelle comme la MACIF a attendu d'en voir les
résultats sur plusieurs années avant d'y adhérer à son tour...). en
créant aussi une sorte de chambre de compensation pour les réglements
sinistres entre compagnies (dans le genre : "je te dois 10 dossiers à
1205€ - c'est le coût moyen actuel - et tu me dois 10 dossiers à 1205€
donc nous somme quittes...Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui
demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas
de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela
m'est
arrivé !
Eh non! Impossible car, pour tous les sinistres entrant dans le cadre
de l'IRSA, les adhérentes s'interdisent tout recours entre elles et,
de même, s'interdisent-elles mutuellement toute action judiciaire...
Par ailleurs, dans l'exemple que vous choisissez, Serge, il n'est nul
besoin de se tourner vers l'assureur du responsable pour obtenir le
remboursement d'une facture de location de voiture pendant toute la
période où la victime a été privée de son véhicule parce que les
assureurs adhérents à l'IRSA s'interdisent (encore, direz-vous...)
de se faire rembourser différents postes d'indemnisation de préjudices
(ils sont au nombre de 13) tels que dépannage/remorquage,
immobilisation du véhicule,etc...
- ce qui ne veut surtout pas dire que la victime ne peut être
indemnisée, au contraire ((n'en déplaisent à certains assureurs qui
les refusent à l'assuré qui leur réclame au motif que la convention
IRSA NE LE PERMET PAS !...). Comme pour les autres postes de
préjudices expertisés, estimés par l'assureur de la victime,
l'indemnisation due pour l'immobilisation du véhicule sera prise en
charge par lui, de façon conforme aux jugements de nos tribunaux c'est
à dire pour sa durée REELLE, qu'elle soit courte ou longue peu
importe, (et non pour une durée forfaitaire comme le proposent encore
certains assureurs).
Seul inconvénient pour l'assureur de la victime, il devra conserver
cette indemnisation à sa charge...( ce qui explique, sans doute, son
premier réflexe de refus...et même son second car parfois, dur, dur de
lui faire entendre raison..)
ClBrun
"Claude BRUN" a écrit dans le message de news:
4b83db0a$0$17891$Le 22/02/10 11:26, Serge a écrit :
"jr" a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$Tardigradus a écrit :jr wrote:En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne
présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour les
cas "simples" !
Pas seulement...
Elles ont été créées, d'abord et surtout pour modifier en profondeur la
gestion des sinistres auto, notamment en créant un coût moyen de
sinistre d'autant plus proche de la réalité que le portefeuille
automobile de la compagnie adhérente est important en nombre (Ce qui
explique pourquoi, une mutuelle comme la MACIF a attendu d'en voir les
résultats sur plusieurs années avant d'y adhérer à son tour...). en
créant aussi une sorte de chambre de compensation pour les réglements
sinistres entre compagnies (dans le genre : "je te dois 10 dossiers à
1205€ - c'est le coût moyen actuel - et tu me dois 10 dossiers à 1205€
donc nous somme quittes...Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela m'est
arrivé !
Eh non! Impossible car, pour tous les sinistres entrant dans le cadre
de l'IRSA, les adhérentes s'interdisent tout recours entre elles et,
de même, s'interdisent-elles mutuellement toute action judiciaire...
Par ailleurs, dans l'exemple que vous choisissez, Serge, il n'est nul
besoin de se tourner vers l'assureur du responsable pour obtenir le
remboursement d'une facture de location de voiture pendant toute la
période où la victime a été privée de son véhicule parce que les
assureurs adhérents à l'IRSA s'interdisent (encore, direz-vous...) de
se faire rembourser différents postes d'indemnisation de préjudices
(ils sont au nombre de 13) tels que dépannage/remorquage,
immobilisation du véhicule,etc...
- ce qui ne veut surtout pas dire que la victime ne peut être
indemnisée, au contraire ((n'en déplaisent à certains assureurs qui
les refusent à l'assuré qui leur réclame au motif que la convention
IRSA NE LE PERMET PAS !...). Comme pour les autres postes de
préjudices expertisés, estimés par l'assureur de la victime,
l'indemnisation due pour l'immobilisation du véhicule sera prise en
charge par lui, de façon conforme aux jugements de nos tribunaux c'est
à dire pour sa durée REELLE, qu'elle soit courte ou longue peu
importe, (et non pour une durée forfaitaire comme le proposent encore
certains assureurs).
Seul inconvénient pour l'assureur de la victime, il devra conserver
cette indemnisation à sa charge...( ce qui explique, sans doute, son
premier réflexe de refus...et même son second car parfois, dur, dur de
lui faire entendre raison..)
ClBrun
En 1998 suite à accident non responsable au début des vacances, j'avais
du louer un véhicule....
Après demande motivée auprès de la MACIF (comme quoi les conventions
inter-assureurs ne m'engageait pas, et que j'étais à 15 km de routes de
montagne pour tout !) j'ai obtenu de leur part le remboursement de cette
location....
Serge
"Claude BRUN" <c.brun31@orange.fr> a écrit dans le message de news:
4b83db0a$0$17891$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Le 22/02/10 11:26, Serge a écrit :
"jr" <jqs@froc.net> a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$426a74cc@news.free.fr...
Tardigradus a écrit :
jr <jqs@froc.net> wrote:
En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne
présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour les
cas "simples" !
Pas seulement...
Elles ont été créées, d'abord et surtout pour modifier en profondeur la
gestion des sinistres auto, notamment en créant un coût moyen de
sinistre d'autant plus proche de la réalité que le portefeuille
automobile de la compagnie adhérente est important en nombre (Ce qui
explique pourquoi, une mutuelle comme la MACIF a attendu d'en voir les
résultats sur plusieurs années avant d'y adhérer à son tour...). en
créant aussi une sorte de chambre de compensation pour les réglements
sinistres entre compagnies (dans le genre : "je te dois 10 dossiers à
1205€ - c'est le coût moyen actuel - et tu me dois 10 dossiers à 1205€
donc nous somme quittes...
Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela m'est
arrivé !
Eh non! Impossible car, pour tous les sinistres entrant dans le cadre
de l'IRSA, les adhérentes s'interdisent tout recours entre elles et,
de même, s'interdisent-elles mutuellement toute action judiciaire...
Par ailleurs, dans l'exemple que vous choisissez, Serge, il n'est nul
besoin de se tourner vers l'assureur du responsable pour obtenir le
remboursement d'une facture de location de voiture pendant toute la
période où la victime a été privée de son véhicule parce que les
assureurs adhérents à l'IRSA s'interdisent (encore, direz-vous...) de
se faire rembourser différents postes d'indemnisation de préjudices
(ils sont au nombre de 13) tels que dépannage/remorquage,
immobilisation du véhicule,etc...
- ce qui ne veut surtout pas dire que la victime ne peut être
indemnisée, au contraire ((n'en déplaisent à certains assureurs qui
les refusent à l'assuré qui leur réclame au motif que la convention
IRSA NE LE PERMET PAS !...). Comme pour les autres postes de
préjudices expertisés, estimés par l'assureur de la victime,
l'indemnisation due pour l'immobilisation du véhicule sera prise en
charge par lui, de façon conforme aux jugements de nos tribunaux c'est
à dire pour sa durée REELLE, qu'elle soit courte ou longue peu
importe, (et non pour une durée forfaitaire comme le proposent encore
certains assureurs).
Seul inconvénient pour l'assureur de la victime, il devra conserver
cette indemnisation à sa charge...( ce qui explique, sans doute, son
premier réflexe de refus...et même son second car parfois, dur, dur de
lui faire entendre raison..)
ClBrun
En 1998 suite à accident non responsable au début des vacances, j'avais
du louer un véhicule....
Après demande motivée auprès de la MACIF (comme quoi les conventions
inter-assureurs ne m'engageait pas, et que j'étais à 15 km de routes de
montagne pour tout !) j'ai obtenu de leur part le remboursement de cette
location....
Serge
"Claude BRUN" a écrit dans le message de news:
4b83db0a$0$17891$Le 22/02/10 11:26, Serge a écrit :
"jr" a écrit dans le message de news:
4b8227fd$0$21308$Tardigradus a écrit :jr wrote:En ne faisant pas le constat dit "à l'amiable".
Ça ne change rien, le constat amiable n'est qu'un moyen et il ne
présage
en rien de la suite des événements.
Certes, mais avec un constat de gendarmerie, l'assuré ne peut pas se
voir opposer une convention qu'il n'a pas signée quant à ses torts.
Bonjour,
Il en est de même avec un constat amiable...
Les conventions entre compagnies n'engagent pas leurs assurés, Claude
Brun saura le rappeler mieux que moi....
Elles servent simplement à accélérer le règlement des sinistres pour les
cas "simples" !
Pas seulement...
Elles ont été créées, d'abord et surtout pour modifier en profondeur la
gestion des sinistres auto, notamment en créant un coût moyen de
sinistre d'autant plus proche de la réalité que le portefeuille
automobile de la compagnie adhérente est important en nombre (Ce qui
explique pourquoi, une mutuelle comme la MACIF a attendu d'en voir les
résultats sur plusieurs années avant d'y adhérer à son tour...). en
créant aussi une sorte de chambre de compensation pour les réglements
sinistres entre compagnies (dans le genre : "je te dois 10 dossiers à
1205€ - c'est le coût moyen actuel - et tu me dois 10 dossiers à 1205€
donc nous somme quittes...Il est toujours possible de rappeler à son assureur ceci et lui demander
d'effectuer un recours contre l'adversaire, par exemple dans le cas de
la nécessité de louer un véhicule lorsqu'un accident non responsable
entraîne une longue immobilisation du véhicule assuré, comme cela m'est
arrivé !
Eh non! Impossible car, pour tous les sinistres entrant dans le cadre
de l'IRSA, les adhérentes s'interdisent tout recours entre elles et,
de même, s'interdisent-elles mutuellement toute action judiciaire...
Par ailleurs, dans l'exemple que vous choisissez, Serge, il n'est nul
besoin de se tourner vers l'assureur du responsable pour obtenir le
remboursement d'une facture de location de voiture pendant toute la
période où la victime a été privée de son véhicule parce que les
assureurs adhérents à l'IRSA s'interdisent (encore, direz-vous...) de
se faire rembourser différents postes d'indemnisation de préjudices
(ils sont au nombre de 13) tels que dépannage/remorquage,
immobilisation du véhicule,etc...
- ce qui ne veut surtout pas dire que la victime ne peut être
indemnisée, au contraire ((n'en déplaisent à certains assureurs qui
les refusent à l'assuré qui leur réclame au motif que la convention
IRSA NE LE PERMET PAS !...). Comme pour les autres postes de
préjudices expertisés, estimés par l'assureur de la victime,
l'indemnisation due pour l'immobilisation du véhicule sera prise en
charge par lui, de façon conforme aux jugements de nos tribunaux c'est
à dire pour sa durée REELLE, qu'elle soit courte ou longue peu
importe, (et non pour une durée forfaitaire comme le proposent encore
certains assureurs).
Seul inconvénient pour l'assureur de la victime, il devra conserver
cette indemnisation à sa charge...( ce qui explique, sans doute, son
premier réflexe de refus...et même son second car parfois, dur, dur de
lui faire entendre raison..)
ClBrun
En 1998 suite à accident non responsable au début des vacances, j'avais
du louer un véhicule....
Après demande motivée auprès de la MACIF (comme quoi les conventions
inter-assureurs ne m'engageait pas, et que j'étais à 15 km de routes de
montagne pour tout !) j'ai obtenu de leur part le remboursement de cette
location....
Serge
Claude BRUN wrote:
Cher Tardigradus, vous omettez, je pense, l'aléa (assurable donc) que
constitue la durée de vie d'un être humain...
Oui, je ne pensais pas à cet aspect des choses, juste au côté "assurance
sur la mort". Ce qui n'invalide pas l'impossiblité pour un assureur de
garantir un événement certain, n'est-ce pas ?
Claude BRUN<c.brun31@orange.fr> wrote:
Cher Tardigradus, vous omettez, je pense, l'aléa (assurable donc) que
constitue la durée de vie d'un être humain...
Oui, je ne pensais pas à cet aspect des choses, juste au côté "assurance
sur la mort". Ce qui n'invalide pas l'impossiblité pour un assureur de
garantir un événement certain, n'est-ce pas ?
Claude BRUN wrote:
Cher Tardigradus, vous omettez, je pense, l'aléa (assurable donc) que
constitue la durée de vie d'un être humain...
Oui, je ne pensais pas à cet aspect des choses, juste au côté "assurance
sur la mort". Ce qui n'invalide pas l'impossiblité pour un assureur de
garantir un événement certain, n'est-ce pas ?