Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que nous
puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
floues !
Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent ou
s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement disparaître
en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système)
acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparaissent,
trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
Les conclusions varient considérablement selon la distance
d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
retiendrons deux :
* la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
perspective,
* et une distance pratique d'observation voisine de la diagonale
du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que nous
puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
floues !
Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent ou
s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement disparaître
en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système)
acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparaissent,
trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
Les conclusions varient considérablement selon la distance
d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
retiendrons deux :
* la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
perspective,
* et une distance pratique d'observation voisine de la diagonale
du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que nous
puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
floues !
Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent ou
s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement disparaître
en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système)
acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparaissent,
trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
Les conclusions varient considérablement selon la distance
d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
retiendrons deux :
* la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
perspective,
* et une distance pratique d'observation voisine de la diagonale
du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
kowalski a couché sur son écran :
> Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
> qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
> cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
> imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
> paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que n ous
> puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
> intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
> d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
> floues !
> Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
> restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent o u
> s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
> apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
> nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement dispara ître
> en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
> À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
> profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
> profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
> l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
> que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système )
> acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
> d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
> profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
> d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparais sent,
> trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
> Les conclusions varient considérablement selon la distance
> d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
> retiendrons deux :
> * la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
> perspective,
> * et une distance pratique d'observation voisine de la diagonal e
> du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pou r
> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nettet é.
> Après, il est trop tard !
très bien, en attendant, tu as été bien content de le trouver le bo nobo
qui a pondu ce texte,
parce qu'il n'est certainement pas de toi, sinon,
tu aurais compris que toutes ces lapalissades ne sont valable que pour
la camera ou l'appareil qui saisi l'image et non pas pour l'observateur
qui regarde l'image capturé par la camera, parce qu'une fois capturé,
le point de vue de la camera est figé et ce qui détermine la qualit é de
la capture, c'est la définition de l'image, donc plus l'image est
défini, et meilleur sera la retranscription de ce que la caméra a vu et
capturé.
c'est largement visible ici :
http://hd-discs.mbmg.de/spider-man-trilogy_dvd_vs_bd/04_spider-man3.html
sur ce point, le DVD et OUT et le BD l'emporte largement.
kowalski a couché sur son écran :
> Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
> qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
> cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
> imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
> paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que n ous
> puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
> intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
> d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
> floues !
> Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
> restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent o u
> s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
> apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
> nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement dispara ître
> en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
> À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
> profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
> profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
> l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
> que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système )
> acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
> d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
> profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
> d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparais sent,
> trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
> Les conclusions varient considérablement selon la distance
> d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
> retiendrons deux :
> * la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
> perspective,
> * et une distance pratique d'observation voisine de la diagonal e
> du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pou r
> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nettet é.
> Après, il est trop tard !
très bien, en attendant, tu as été bien content de le trouver le bo nobo
qui a pondu ce texte,
parce qu'il n'est certainement pas de toi, sinon,
tu aurais compris que toutes ces lapalissades ne sont valable que pour
la camera ou l'appareil qui saisi l'image et non pas pour l'observateur
qui regarde l'image capturé par la camera, parce qu'une fois capturé,
le point de vue de la camera est figé et ce qui détermine la qualit é de
la capture, c'est la définition de l'image, donc plus l'image est
défini, et meilleur sera la retranscription de ce que la caméra a vu et
capturé.
c'est largement visible ici :
http://hd-discs.mbmg.de/spider-man-trilogy_dvd_vs_bd/04_spider-man3.html
sur ce point, le DVD et OUT et le BD l'emporte largement.
kowalski a couché sur son écran :
> Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
> qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
> cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
> imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
> paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que n ous
> puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
> intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
> d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
> floues !
> Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
> restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent o u
> s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
> apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
> nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement dispara ître
> en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
> À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
> profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
> profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
> l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
> que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système )
> acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
> d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
> profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
> d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparais sent,
> trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
> Les conclusions varient considérablement selon la distance
> d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
> retiendrons deux :
> * la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
> perspective,
> * et une distance pratique d'observation voisine de la diagonal e
> du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pou r
> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nettet é.
> Après, il est trop tard !
très bien, en attendant, tu as été bien content de le trouver le bo nobo
qui a pondu ce texte,
parce qu'il n'est certainement pas de toi, sinon,
tu aurais compris que toutes ces lapalissades ne sont valable que pour
la camera ou l'appareil qui saisi l'image et non pas pour l'observateur
qui regarde l'image capturé par la camera, parce qu'une fois capturé,
le point de vue de la camera est figé et ce qui détermine la qualit é de
la capture, c'est la définition de l'image, donc plus l'image est
défini, et meilleur sera la retranscription de ce que la caméra a vu et
capturé.
c'est largement visible ici :
http://hd-discs.mbmg.de/spider-man-trilogy_dvd_vs_bd/04_spider-man3.html
sur ce point, le DVD et OUT et le BD l'emporte largement.
kowalski a écrit :
> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pou r
> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nettet é.
> Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
kowalski a écrit :
> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pou r
> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nettet é.
> Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
kowalski a écrit :
> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pou r
> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nettet é.
> Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
On 23 avr, 10:22, *.-pipolin-.* wrote:kowalski a couché sur son écran :Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que nous
puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
floues !Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent ou
s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement disparaître
en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système)
acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparaissent,
trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
Les conclusions varient considérablement selon la distance
d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
retiendrons deux :* la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
perspective,
* et une distance pratique d'observation voisine de la diagonale
du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
très bien, en attendant, tu as été bien content de le trouver le bonobo
qui a pondu ce texte,
Non, alors déjà pour commencer , le type qui a pondu ce texte n'a rien
a voir avec un bonobo.
Un bonobo, c'est type qui se fait passer pour un connaisseur alors
qu'il ne répète que des conneries issues du service marketing de la
boîte qui promotionne le produit.
En gros c'est un type comme toi ! :-)parce qu'il n'est certainement pas de toi, sinon,
tu aurais compris que toutes ces lapalissades ne sont valable que pour
la camera ou l'appareil qui saisi l'image et non pas pour l'observateur
qui regarde l'image capturé par la camera, parce qu'une fois capturé,
Voilà dés qu'on parle technique tu es largué, CQFD ! Remonte dans ton
arbre Pipolin.
le point de vue de la camera est figé et ce qui détermine la qualité de
la capture, c'est la définition de l'image, donc plus l'image est
défini, et meilleur sera la retranscription de ce que la caméra a vu et
capturé.
c'est largement visible ici :
http://hd-discs.mbmg.de/spider-man-trilogy_dvd_vs_bd/04_spider-man3.html
sur ce point, le DVD et OUT et le BD l'emporte largement.
Voilà ton domaine d'excellence CQFD, tu n'es bon qu'a plonger dans
tous les pièges à cons de GEEK
On 23 avr, 10:22, *.-pipolin-.* <..pipoli...@DTC.com> wrote:
kowalski a couché sur son écran :
Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que nous
puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
floues !
Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent ou
s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement disparaître
en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système)
acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparaissent,
trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
Les conclusions varient considérablement selon la distance
d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
retiendrons deux :
* la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
perspective,
* et une distance pratique d'observation voisine de la diagonale
du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
très bien, en attendant, tu as été bien content de le trouver le bonobo
qui a pondu ce texte,
Non, alors déjà pour commencer , le type qui a pondu ce texte n'a rien
a voir avec un bonobo.
Un bonobo, c'est type qui se fait passer pour un connaisseur alors
qu'il ne répète que des conneries issues du service marketing de la
boîte qui promotionne le produit.
En gros c'est un type comme toi ! :-)
parce qu'il n'est certainement pas de toi, sinon,
tu aurais compris que toutes ces lapalissades ne sont valable que pour
la camera ou l'appareil qui saisi l'image et non pas pour l'observateur
qui regarde l'image capturé par la camera, parce qu'une fois capturé,
Voilà dés qu'on parle technique tu es largué, CQFD ! Remonte dans ton
arbre Pipolin.
le point de vue de la camera est figé et ce qui détermine la qualité de
la capture, c'est la définition de l'image, donc plus l'image est
défini, et meilleur sera la retranscription de ce que la caméra a vu et
capturé.
c'est largement visible ici :
http://hd-discs.mbmg.de/spider-man-trilogy_dvd_vs_bd/04_spider-man3.html
sur ce point, le DVD et OUT et le BD l'emporte largement.
Voilà ton domaine d'excellence CQFD, tu n'es bon qu'a plonger dans
tous les pièges à cons de GEEK
On 23 avr, 10:22, *.-pipolin-.* wrote:kowalski a couché sur son écran :Les lois de l'optique et les techniques de reproduction sont telles
qu'aucune photographie ne peut être parfaitement nette. Dans tous les
cas, une observation suffisamment rapprochée met en évidence des
imperfections plus ou moins importantes. Une photographie ne nous
paraît nette que parce que ses défauts sont trop ténus pour que nous
puissions les discerner. Autrement dit, l'impression de netteté est
intimement liée aux limites de notre vue. Pour un photographe doté
d'un ½il parfait, toutes les images sans exception paraîtraient
floues !Si la distance d'observation augmente ou diminue, toutes choses
restant égales par ailleurs, les défauts de netteté s'estompent ou
s'accentuent. À quelques mètres de l'écran, la zone de netteté
apparente nous semble plus large qu'à 50 cm et naturellement, plus
nous nous rapprochons, plus elle rétrécit, pour finalement disparaître
en totalité lorsque se révèle la « texture » de l'écran.
À cette bande que nous percevons comme nette correspond une certaine
profondeur dans l'espace du sujet. Si cette bande s'élargit, la
profondeur correspondante augmente, et inversement. La « zone de
l'espace dans laquelle doit se trouver le sujet à photographier pour
que l'on puisse en obtenir une image que l'½il (ou un autre système)
acceptera comme nette » dépend donc bel et bien de la distance
d'observation. C'est pourquoi, si l'on veut étudier sérieusement la
profondeur de champ, il faut impérativement définir une distance
d'observation de référence. Trop loin, certains défauts disparaissent,
trop près, on trouve des défauts qui n'en sont pas.
Les conclusions varient considérablement selon la distance
d'observation choisie. Parmi les références possibles, nous en
retiendrons deux :* la distance orthoscopique qui a le mérite de conserver la
perspective,
* et une distance pratique d'observation voisine de la diagonale
du format (si toutefois ce dernier est suffisamment grand).
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
très bien, en attendant, tu as été bien content de le trouver le bonobo
qui a pondu ce texte,
Non, alors déjà pour commencer , le type qui a pondu ce texte n'a rien
a voir avec un bonobo.
Un bonobo, c'est type qui se fait passer pour un connaisseur alors
qu'il ne répète que des conneries issues du service marketing de la
boîte qui promotionne le produit.
En gros c'est un type comme toi ! :-)parce qu'il n'est certainement pas de toi, sinon,
tu aurais compris que toutes ces lapalissades ne sont valable que pour
la camera ou l'appareil qui saisi l'image et non pas pour l'observateur
qui regarde l'image capturé par la camera, parce qu'une fois capturé,
Voilà dés qu'on parle technique tu es largué, CQFD ! Remonte dans ton
arbre Pipolin.
le point de vue de la camera est figé et ce qui détermine la qualité de
la capture, c'est la définition de l'image, donc plus l'image est
défini, et meilleur sera la retranscription de ce que la caméra a vu et
capturé.
c'est largement visible ici :
http://hd-discs.mbmg.de/spider-man-trilogy_dvd_vs_bd/04_spider-man3.html
sur ce point, le DVD et OUT et le BD l'emporte largement.
Voilà ton domaine d'excellence CQFD, tu n'es bon qu'a plonger dans
tous les pièges à cons de GEEK
On 23 avr, 12:29, "R." wrote:kowalski a écrit :Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
Explication de texte :
Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
Tu es vraiment limité mon pauvre garçon... :-)
On 23 avr, 12:29, "R." <R...@free.fr> wrote:
kowalski a écrit :
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
Explication de texte :
Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
Tu es vraiment limité mon pauvre garçon... :-)
On 23 avr, 12:29, "R." wrote:kowalski a écrit :Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
Explication de texte :
Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
Tu es vraiment limité mon pauvre garçon... :-)
kowalski a écrit :
> On 23 avr, 12:29, "R." wrote:
>> kowalski a écrit :
>>> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujou rs au
>>> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue p our
>>> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nett eté.
>>> Après, il est trop tard !
>> Quelque soit la distance ...
>> ;-)
> Explication de texte :
> Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
> de vue restera une photo floue.
lapalissade...
kowalski a écrit :
> On 23 avr, 12:29, "R." <R...@free.fr> wrote:
>> kowalski a écrit :
>>> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujou rs au
>>> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue p our
>>> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nett eté.
>>> Après, il est trop tard !
>> Quelque soit la distance ...
>> ;-)
> Explication de texte :
> Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
> de vue restera une photo floue.
lapalissade...
kowalski a écrit :
> On 23 avr, 12:29, "R." wrote:
>> kowalski a écrit :
>>> Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujou rs au
>>> moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue p our
>>> l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la nett eté.
>>> Après, il est trop tard !
>> Quelque soit la distance ...
>> ;-)
> Explication de texte :
> Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
> de vue restera une photo floue.
lapalissade...
On 23 avr, 14:04, *.-pipolin-.* wrote:kowalski a écrit :On 23 avr, 12:29, "R." wrote:kowalski a écrit :Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !Quelque soit la distance ...;-)Explication de texte :Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
lapalissade...
N'essaye pas de te faire passer pour moins con de ton collègue de zoo.
A la différence de toi, lui, je le soupçonne d'en rajouter pour le fun.
On 23 avr, 14:04, *.-pipolin-.* <..pipoli...@DTC.com> wrote:
kowalski a écrit :
On 23 avr, 12:29, "R." <R...@free.fr> wrote:
kowalski a écrit :
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
Explication de texte :
Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
lapalissade...
N'essaye pas de te faire passer pour moins con de ton collègue de zoo.
A la différence de toi, lui, je le soupçonne d'en rajouter pour le fun.
On 23 avr, 14:04, *.-pipolin-.* wrote:kowalski a écrit :On 23 avr, 12:29, "R." wrote:kowalski a écrit :Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !Quelque soit la distance ...;-)Explication de texte :Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
lapalissade...
N'essaye pas de te faire passer pour moins con de ton collègue de zoo.
A la différence de toi, lui, je le soupçonne d'en rajouter pour le fun.
On 23 avr, 12:29, "R." wrote:kowalski a écrit :Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
Explication de texte :
Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
On 23 avr, 12:29, "R." <R...@free.fr> wrote:
kowalski a écrit :
Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
Explication de texte :
Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
On 23 avr, 12:29, "R." wrote:kowalski a écrit :Cependant, quelle que soit la distance de référence, c'est toujours au
moment de la prise de vue, et en fonction de l'utilisation prévue pour
l'image, que nous devons résoudre au mieux le problème de la netteté.
Après, il est trop tard !
Quelque soit la distance ...
;-)
Explication de texte :
Quelle que soit la distance de référence, une photo floue à la prise
de vue restera une photo floue.
ne me préte pas des intentions qui ne sont que le fruit de tes délire s
d'aliéné, t'es tellement a la masse que tu ne te rend même pas comp te
que les arguments que tu empruntes a d'autres pour tenté vainement
d'étayé tes théories absurde, n'ont pour effets que de produire le
contraire de ce que tu recherches.
une image, quelque soit ce qu'elle réprésente, elle est totalement
dépendante de sa définition, c'est la valeur de base qui conditionne ce
qu'elle est.
dit moi, tout ton blabla que tu as posté, il devient quoi sur une
images composé de 32 X 32 pixels ?
ne me préte pas des intentions qui ne sont que le fruit de tes délire s
d'aliéné, t'es tellement a la masse que tu ne te rend même pas comp te
que les arguments que tu empruntes a d'autres pour tenté vainement
d'étayé tes théories absurde, n'ont pour effets que de produire le
contraire de ce que tu recherches.
une image, quelque soit ce qu'elle réprésente, elle est totalement
dépendante de sa définition, c'est la valeur de base qui conditionne ce
qu'elle est.
dit moi, tout ton blabla que tu as posté, il devient quoi sur une
images composé de 32 X 32 pixels ?
ne me préte pas des intentions qui ne sont que le fruit de tes délire s
d'aliéné, t'es tellement a la masse que tu ne te rend même pas comp te
que les arguments que tu empruntes a d'autres pour tenté vainement
d'étayé tes théories absurde, n'ont pour effets que de produire le
contraire de ce que tu recherches.
une image, quelque soit ce qu'elle réprésente, elle est totalement
dépendante de sa définition, c'est la valeur de base qui conditionne ce
qu'elle est.
dit moi, tout ton blabla que tu as posté, il devient quoi sur une
images composé de 32 X 32 pixels ?