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Recherche cabinet d'avocats et juristes spécialisés en violence institutionnelle

8 réponses
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sap
Bonsoir,



Je recherche un cabinet d'avocats et juristes qui se serait spécialisé dans
la maltraitance institutionnelle pour faire opposition à un Juge des Enfants
et des mesures très particulières.



J'ai déjà eu deux avocats pour le moment. Le premier pratiquait une
politique du « laisser faire, ça va s'arranger » (tu parles) et le second,
une politique du « quelles que soient les votres, renoncez y et conformez
vous strictement à leur philosophie et à leurs croyances » (mentir,
calomnier et mettre ma fille en péril ?).

Si le prochain pouvait être le bon.



Ce juge a ordonné puis prorogé une mesure de placement pour l'une de mes
filles qu'il a motivé avec des éléments exclusivement calomnieux et
mensongers. C'est ce qu'il a trouvé de mieux à faire étant donné que deux
rapports d'enquêtes - une première faite par l'ASE puis une seconde ordonnée
par ce même juge - ne lui ont pas donnés matière à justifier une mesure de
placement.



Ce juge a également ordonné récemment une mesure d'expertise complémentaire
dans le but de lui donner les arguments qui lui font défaut d'une part, pour
justifier mieux la mesure de placement en cours et d'une autre, pour
proroger encore.

Lorsque je l'ai rencontré pour une première fois j'ai pu constater que
l'expert désigné n'est pas neutre et je peux très bien comprendre pourquoi
au vu de diverses confirmations que j'ai pu relever sur Internet (affinités
évidentes avec des tiers). Il rendra un rapport de complaisance à ce juge ce
qui lui permettra sereinement de proroger encore sa mesure ou même,
puisqu'il s'avèrerait qu'il agit ainsi, d'ordonner suite à cela un placement
en famille d'accueil.



Par ailleurs, j'ai comme un doute au vu de ce que j'ai également pu relever.
La République Française est laïque mais qu'en est il au juste des
institutions judiciaires françaises ?



Comble de l'hypocrisie, ma fille est actuellement en péril - j'ai bien écrit
péril - dans l'établissement même où elle est aujourd'hui placée. Le juge a
été averti mais comme il s'agissait d'un courrier qui emmenait de moi, son
père, il l'a tout simplement ignoré.

Depuis, ma fille a risqué de perdre l'usage d'un oeil (on lui a tiré dessus
à deux reprises sans la moindre sommation avec un pistolet à billes, j'ai le
certificat médical et un récépissé de dépôt de plainte pour violence
volontaire) et, quelques semaines plus tard, elle a eu un sévère traumatisme
crânien pour lequel le directeur de l'établissement s'est strictement opposé
à ce que ma fille soit présentée à un médecin (violent passage à tabac -
jetée à terre et plusieurs coups de genoux à la tête - par deux enfants de
16 ans alors que ma fille n'en a que 11).

Réponse du Directeur : « tu cherches », « laisses faire et dire sinon c'est
pire ». Ce que je ne m'explique pas c'est que ma fille ne « cherche » et ne
rencontre des problèmes que dans cet établissement.



Ce week end j'ai à nouveau longuement discuté de la situation de ma fille
avec le 119. Je croise les doigts, on m'a dit qu'il allait y avoir un
signalement auprès de l'ASE pour que ma fille ait rapidement un soutien (ce
que le juge a déjà refusé).



Par ailleurs, j'ai pu relever que l'établissement excelle dans l'art de
l'atteinte à l'autorité parentale. Je m'explique finalement cela par le fait
que le Directeur est un « spécialiste de la séparation et du départ vers une
nouvelle vie ».

J'ai eu beau le rappeler à l'ordre très souvent, lui rappeler la Loi, j'ai
eu aussi à lui rappeler le contenu de l'ordonnance du juge car il l'avait
réinterprétée et réécrite lui-même en des termes qui l'arrangeaient. Rien n'
y fait, ce directeur continue de n'en faire qu'à sa tête tout comme si je
n'existait pas (triste confusion, c'est la maman de ma fille - ma première
fille - qui est décédée).



J'ai pu relever aussi que ma fille en a eu pour plusieurs semaines avant qu'
elle ne soit entendue au sein de l'établissement et que sa demande pour
obtenir un avocat soit entendue.

Aujourd'hui plusieurs mois se sont écoulés depuis que le juge a informé ma f
ille qu'un avocat allait être nommé d'office et aucun avocat n'a encore pris
contact avec ma fille.

Ma fille m'a appris qu'elle écrit à nouveau au juge : « marre de me faire
taper, je veux parler à mon avocat ».



Ma fille ne souhaite qu'une chose, « rentrer », et en cela, elle et moi nous
convergeons.

Malheureusement, ce juge des Enfants est réputé pour ne pas non plus écouter
la parole de l'enfant. En cours d'audience, j'ai même plutôt constaté que ce
juge induit des réponses sinon contraint l'enfant à certaines réponses ou au
silence s'il n'obtempère pas.



Les Magistrats sont ils tous comme celui-ci ou comme j'ai pu là aussi le
relever sur le net, ma fille et moi avons décroché le pompon?



Pour le moment, tout en veillant au moindre détail et en restant attentif à
ma fille et à ses intérêts, j'emploie les preuves que j'ai déjà amoncelées
et j'en constitue un dossier que je vais transmettre, entre autres, au
Procureur de la République.



Parmi les éléments ce dossier, de quoi porter plainte contre l'établissement
gardien avec :

- motifs pour atteinte à l'autorité parentale (ma fille de 11 ans en
souffre)

- motifs pour abus de faiblesse de ma fille de 11 ans

- motifs pour tentative d'abus de faiblesse

- plusieurs motifs pour violence volontaire envers ma fille de 11
ans répartis sur 8 mois

- motifs pour violence habituelle envers ma fille de 11 ans

- plusieurs motifs pour violence volontaire de l'établissement
gardien lui-même envers ma fille de 11 ans

- motifs pour mise en péril de mineur (privation de soins, de
sommeil ainsi que, parfois, privation d'aliments)

- nombre de motifs pour délaissement d'une personne hors d'état de
se protéger







La cerise pour le cabinet qui se chargerait de l'affaire est tout de même
que depuis deux ans je sers des preuves et débuts de preuves à ce juge qui
les écarte sciemment pour calomnier et aller jusqu'à réécrire l'histoire de
ma fille. Ce juge se saisirait-il du mauvais dossier lors de ses audiences
que cela ne me surprendrait pas.



Je suis certain qu'il y aurait lieu de - et il y a là aussi les éléments
pour - demander la récusation de ce juge. Je sais qu'il y a le risque majeur
de se mettre toute la Magistrature à dos.



Cordialement



sap at cloppy point net

8 réponses

Avatar
marinmar
sap a écrit :

Je recherche un cabinet d'avocats et juristes qui se serait spécialisé dans
la maltraitance institutionnelle pour faire opposition à un Juge des Enfants
et des mesures très particulières.



Et bien bon courage tout seul pour en trouver un(e) qui accepte ,
j'espere au moins que tu es sur un grand barreau,
ce genre de "baton merdeux" en general c'est fuit comme la peste.

ce n'est pas politiquement correct comme reponse, mais c'est la
realité, la seule
solution est de passer par une association ayant un avocat "permanent"

Val
Avatar
sap
alors sincerement, cette réponse m'apporte du baume au coeur car je comprend
beaucoup mieux pourquoi je me retrouve seul face à la situation actuelle.

encore deux ou trois messages comme ca et c'est le bonheur!

sans quoi, ma fille m'a informé qu'elle a enfin eu des nouvelles de son
avocat. je lui ai recommandé de lui ecrire de suite.
pour ma part, une seconde lettre va partir auprès du service gardien puis
j'expédie les copies au TGI.


sinon comment formule-t-on une demande de reccusation d'un expert?
je suppose qu'elle doit prendre une forme bien precise? etrangement, il n'y
en a pas la moindre trace d'une sur le web dont je pourrais m'inspirer. j'ai
peur qu'il faille des références juridiques précises et que d'emblée, on me
sanctionne de 750 euro pour uen virgule déplacée :-)

j'ai vu qu'il y avait un Dalot de la reccusation, je vais peut etre passer
par la case libraire si je n'obtiens pas de réponses dans les prochains
jours.


"marinmar" a écrit dans le message de
news:
sap a écrit :

> Je recherche un cabinet d'avocats et juristes qui se serait spécialisé


dans
> la maltraitance institutionnelle pour faire opposition à un Juge des


Enfants
> et des mesures très particulières.

Et bien bon courage tout seul pour en trouver un(e) qui accepte ,
j'espere au moins que tu es sur un grand barreau,
ce genre de "baton merdeux" en general c'est fuit comme la peste.

ce n'est pas politiquement correct comme reponse, mais c'est la
realité, la seule
solution est de passer par une association ayant un avocat "permanent"

Val




Avatar
marinmar
sap a écrit :
alors sincerement, cette réponse m'apporte du baume au coeur car je comprend
beaucoup mieux pourquoi je me retrouve seul face à la situation actuelle.



C'est bien que vous le preniez ainsi , en generale les gens n'aime
pas entendre la verité ou tout au moins ce qui ne va pas dans leur
sens.

sinon comment formule-t-on une demande de reccusation d'un expert?
je suppose qu'elle doit prendre une forme bien precise? etrangement,



Un expert se recuse de la meme maniere et dans les memes formes qu'un
juge
(donc vous imaginez bien que c'est tres simple :D )

La demande de recusation en elle meme est simple et peut meme etre
prise par proces verbal
par declaration au secretaire de la juridiction.

Attention les motifs de recusations sont tres limités
et doivent etre expressement motivés et documentés, et ne laisses rien
à la subjectivité.
D'autre part si la mission est commencée c'est too late .

val
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sap
> Un expert se recuse de la meme maniere et dans les memes formes qu'un
juge
(donc vous imaginez bien que c'est tres simple :D )

La demande de recusation en elle meme est simple et peut meme etre
prise par proces verbal
par declaration au secretaire de la juridiction.



on ne parle pas la même langue, je pensais que la demande etait à faire
parvenir au président de la cour d'appel...

on va voir ce secrétaire et on dit qu'on ne veut plus avoir affaire à tel ou
tel expert ou juge?
et on fourni une simple liste de pieces pour motiver la demande?

ca peut se faire par courrier? je préfèrerais


Attention les motifs de recusations sont tres limités



article 668-9, des éléments à ce titre qui me permettent de suspecter que
l'expert ne sera pas neutre

et doivent etre expressement motivés et documentés, et ne laisses rien
à la subjectivité.
D'autre part si la mission est commencée c'est too late .



j'ai rencontré cet expert et je n'avais aucun a priori en m'y rendant.
en même pas 10 minutes de discussion il m'a traité de menteur, a traité ma
fille de menteuse et il a placé un parti qui sera sous peu adverse sur un
piedestal.

c'est après coup que je me suis renseigné un peu mieux à son sujet et je
peux comprendre car l'expert travaille occasionnellement avec ce parti.
j'ai trouvé un autre élément qui m'a confirmé qu'il ne sera pas neutre et
qu'il rendra un rapport de complaisance.

bon, si c'est ainsi, je ne consacre plus de temps à cet expert pour le
moment.
j'aviserais un peu plus tard sur la manière de me comporter avec lui

par contre, il n'y a pas vraiment trace de cet entretient...


val




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marinmar
sap a écrit :
on ne parle pas la même langue, je pensais que la demande etait à faire
parvenir au président de la cour d'appel...



On parle la meme langue, mais pas le meme code :-(

vous etes à coté de la plaque, c'est du civil

val
Avatar
sap
"marinmar" a écrit dans le message de
news:
sap a écrit :
> on ne parle pas la même langue, je pensais que la demande etait à faire
> parvenir au président de la cour d'appel...

On parle la meme langue, mais pas le meme code :-(

vous etes à coté de la plaque, c'est du civil

val




je n'ai pas de formation en droit et c'est bien la raison pour laquelle
j'aurai bien besoin d'un avocat
Avatar
ephemere
Bonsoir;
je lis:
< Un expert se recuse de la meme maniere et dans les memes formes qu'un
<juge
<(donc vous imaginez bien que c'est tres simple :D )

<La demande de recusation en elle meme est simple et peut meme etre
<prise par proces verbal
<par declaration au secretaire de la juridiction.

<Attention les motifs de recusations sont tres limités
<et doivent etre expressement motivés et documentés, et ne laisses rien
<à la subjectivité.
<D'autre part si la mission est commencée c'est too late .

<val

et:
< sap a écrit :
<> on ne parle pas la même langue, je pensais que la demande etait à faire
<> parvenir au président de la cour d'appel...

<On parle la meme langue, mais pas le meme code :-(

<vous etes à coté de la plaque, c'est du civil

<val

Y a t-il une différence entre la récusation et la mise en suspicion
légitime, sur le fond et dans la forme ?
Merci.
Ephemere.
Avatar
Jacques Lavau
Une dame ouvre la porte du bordel et voit un homme élégant, d'âge mûr.
- En quoi puis-je vous être utile?
- Je souhaite voir Nathalie, répondit-il.
- Monsieur, Nathalie est une de nos demoiselles les plus coûteuses,
peut-être souhaitez-vous voir une autre fille?
- Non, merci, je dois voir Nathalie.
Nathalie apparaît immédiatement pour lui expliquer qu'elle demande
1000 EUR OS la passe et l'homme, sans discuter, allonge 10 billets de 100
EUROS.
Ils vont dans une chambre et une heure plus tard, l'homme sort
tranquillement.
La nuit suivante, le même homme frappe à la porte et demande de
nouveau à voir Nathalie.
Nathalie répond qu'il était très rare que quelqu'un lui rende visite 2
soirs de suite et qu'il n'aura pas pour autant de réduction.
De nouveau, l'homme sort 10 billets de 100 EUROS de sa poche et les lui
donne.
En compagnie de la jeune femme, il se dirige vers une chambre et en
ressort une heure plus tard.
Quand il apparaît la troisième nuit, personne ne peut en croire ses
yeux. De nouveau, il donne 1000 EUROS à Nathalie et ils passent tous les
deux dans une chambre. Une heure plus tard, alors qu'il est sur le
point de partir, Nathalie demande à son fidèle client:
- Personne n'a fait usage de mes services trois nuits de suite. D'où
êtes-vous?
- De Grenoble.
- Vraiment? J'ai de la famille à Grenoble.
- Je sais. Votre père est décédé. Je suis l'avocat de vos soeurs et ce
sont elles qui m'ont demandé de vous remettre votre part de
l'héritage, 3000 EUROS.

MORALE DE CETTE HISTOIRE:
Certaines choses dans notre monde ne peuvent être évitées : la mort,
les impôts et se faire baiser par un avocat

sap wrote:

Bonsoir,



Je recherche un cabinet d'avocats et juristes qui se serait spécialisé dans
la maltraitance institutionnelle pour faire opposition à un Juge des Enfants
et des mesures très particulières.



J'ai déjà eu deux avocats pour le moment. Le premier pratiquait une
politique du « laisser faire, ça va s'arranger » (tu parles) et le second,
une politique du « quelles que soient les votres, renoncez y et conformez
vous strictement à leur philosophie et à leurs croyances » (mentir,
calomnier et mettre ma fille en péril ?).

Si le prochain pouvait être le bon.



Ce juge a ordonné puis prorogé une mesure de placement pour l'une de mes
filles qu'il a motivé avec des éléments exclusivement calomnieux et
mensongers. C'est ce qu'il a trouvé de mieux à faire étant donné que deux
rapports d'enquêtes - une première faite par l'ASE puis une seconde ordonnée
par ce même juge - ne lui ont pas donnés matière à justifier une mesure de
placement.



Ce juge a également ordonné récemment une mesure d'expertise complémentaire
dans le but de lui donner les arguments qui lui font défaut d'une part, pour
justifier mieux la mesure de placement en cours et d'une autre, pour
proroger encore.

Lorsque je l'ai rencontré pour une première fois j'ai pu constater que
l'expert désigné n'est pas neutre et je peux très bien comprendre pourquoi
au vu de diverses confirmations que j'ai pu relever sur Internet (affinités
évidentes avec des tiers). Il rendra un rapport de complaisance à ce juge ce
qui lui permettra sereinement de proroger encore sa mesure ou même,
puisqu'il s'avèrerait qu'il agit ainsi, d'ordonner suite à cela un placement
en famille d'accueil.



Par ailleurs, j'ai comme un doute au vu de ce que j'ai également pu relever.
La République Française est laïque mais qu'en est il au juste des
institutions judiciaires françaises ?



Comble de l'hypocrisie, ma fille est actuellement en péril - j'ai bien écrit
péril - dans l'établissement même où elle est aujourd'hui placée. Le juge a
été averti mais comme il s'agissait d'un courrier qui emmenait de moi, son
père, il l'a tout simplement ignoré.

Depuis, ma fille a risqué de perdre l'usage d'un oeil (on lui a tiré dessus
à deux reprises sans la moindre sommation avec un pistolet à billes, j'ai le
certificat médical et un récépissé de dépôt de plainte pour violence
volontaire) et, quelques semaines plus tard, elle a eu un sévère traumatisme
crânien pour lequel le directeur de l'établissement s'est strictement opposé
à ce que ma fille soit présentée à un médecin (violent passage à tabac -
jetée à terre et plusieurs coups de genoux à la tête - par deux enfants de
16 ans alors que ma fille n'en a que 11).

Réponse du Directeur : « tu cherches », « laisses faire et dire sinon c'est
pire ». Ce que je ne m'explique pas c'est que ma fille ne « cherche » et ne
rencontre des problèmes que dans cet établissement.



Ce week end j'ai à nouveau longuement discuté de la situation de ma fille
avec le 119. Je croise les doigts, on m'a dit qu'il allait y avoir un
signalement auprès de l'ASE pour que ma fille ait rapidement un soutien (ce
que le juge a déjà refusé).



Par ailleurs, j'ai pu relever que l'établissement excelle dans l'art de
l'atteinte à l'autorité parentale. Je m'explique finalement cela par le fait
que le Directeur est un « spécialiste de la séparation et du départ vers une
nouvelle vie ».

J'ai eu beau le rappeler à l'ordre très souvent, lui rappeler la Loi, j'ai
eu aussi à lui rappeler le contenu de l'ordonnance du juge car il l'avait
réinterprétée et réécrite lui-même en des termes qui l'arrangeaient. Rien n'
y fait, ce directeur continue de n'en faire qu'à sa tête tout comme si je
n'existait pas (triste confusion, c'est la maman de ma fille - ma première
fille - qui est décédée).



J'ai pu relever aussi que ma fille en a eu pour plusieurs semaines avant qu'
elle ne soit entendue au sein de l'établissement et que sa demande pour
obtenir un avocat soit entendue.

Aujourd'hui plusieurs mois se sont écoulés depuis que le juge a informé ma f
ille qu'un avocat allait être nommé d'office et aucun avocat n'a encore pris
contact avec ma fille.

Ma fille m'a appris qu'elle écrit à nouveau au juge : « marre de me faire
taper, je veux parler à mon avocat ».



Ma fille ne souhaite qu'une chose, « rentrer », et en cela, elle et moi nous
convergeons.

Malheureusement, ce juge des Enfants est réputé pour ne pas non plus écouter
la parole de l'enfant. En cours d'audience, j'ai même plutôt constaté que ce
juge induit des réponses sinon contraint l'enfant à certaines réponses ou au
silence s'il n'obtempère pas.



Les Magistrats sont ils tous comme celui-ci ou comme j'ai pu là aussi le
relever sur le net, ma fille et moi avons décroché le pompon?



Pour le moment, tout en veillant au moindre détail et en restant attentif à
ma fille et à ses intérêts, j'emploie les preuves que j'ai déjà amoncelées
et j'en constitue un dossier que je vais transmettre, entre autres, au
Procureur de la République.



Parmi les éléments ce dossier, de quoi porter plainte contre l'établissement
gardien avec :

- motifs pour atteinte à l'autorité parentale (ma fille de 11 ans en
souffre)

- motifs pour abus de faiblesse de ma fille de 11 ans

- motifs pour tentative d'abus de faiblesse

- plusieurs motifs pour violence volontaire envers ma fille de 11
ans répartis sur 8 mois

- motifs pour violence habituelle envers ma fille de 11 ans

- plusieurs motifs pour violence volontaire de l'établissement
gardien lui-même envers ma fille de 11 ans

- motifs pour mise en péril de mineur (privation de soins, de
sommeil ainsi que, parfois, privation d'aliments)

- nombre de motifs pour délaissement d'une personne hors d'état de
se protéger







La cerise pour le cabinet qui se chargerait de l'affaire est tout de même
que depuis deux ans je sers des preuves et débuts de preuves à ce juge qui
les écarte sciemment pour calomnier et aller jusqu'à réécrire l'histoire de
ma fille. Ce juge se saisirait-il du mauvais dossier lors de ses audiences
que cela ne me surprendrait pas.



Je suis certain qu'il y aurait lieu de - et il y a là aussi les éléments
pour - demander la récusation de ce juge. Je sais qu'il y a le risque majeur
de se mettre toute la Magistrature à dos.



Cordialement



sap at cloppy point net






--
La science se distingue de tous les autres modes de transmission des
connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts
sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir
toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de
vérifier, par des expériences.
-- Jacques Lavau (retirer les anti et les spam pour le courriel)
http://perso.club-internet.fr/lavaujac/