Bonjour,
Que pensez vous de la question citée en objet, est possible, des
limites,et toutes questions afférentes à celle ci.
Merci par avance.
Bernard.
Bonjour,
Que pensez vous de la question citée en objet, est possible, des
limites,et toutes questions afférentes à celle ci.
Merci par avance.
Bernard.
Bonjour,
Que pensez vous de la question citée en objet, est possible, des
limites,et toutes questions afférentes à celle ci.
Merci par avance.
Bernard.
Bonjour,
Que pensez vous de la question citée en objet, est possible, des
limites,et toutes questions afférentes à celle ci.
Merci par avance.
Bernard.
Bonjour,
Que pensez vous de la question citée en objet, est possible, des
limites,et toutes questions afférentes à celle ci.
Merci par avance.
Bernard.
Bonjour,
Que pensez vous de la question citée en objet, est possible, des
limites,et toutes questions afférentes à celle ci.
Merci par avance.
Bernard.
Les salariés peuvent adhérer à l'association dont ils sont employés
Cassation, chambre sociale,17 février 1988 n° 85-16639
Toutefois ceci nécessite une attention particulière pour bien
différencier ce qui est du ressort du contrat de travail et ce qui est
du bénévolat pour ne pas risquer d'être considéré, voir qualifié, de
fictif.
Le risque le plus sérieux, outre la requalification de l'association en
association à but lucratif est celui de requalification de l'association
en société
Les salariés peuvent adhérer à l'association dont ils sont employés
Cassation, chambre sociale,17 février 1988 n° 85-16639
Toutefois ceci nécessite une attention particulière pour bien
différencier ce qui est du ressort du contrat de travail et ce qui est
du bénévolat pour ne pas risquer d'être considéré, voir qualifié, de
fictif.
Le risque le plus sérieux, outre la requalification de l'association en
association à but lucratif est celui de requalification de l'association
en société
Les salariés peuvent adhérer à l'association dont ils sont employés
Cassation, chambre sociale,17 février 1988 n° 85-16639
Toutefois ceci nécessite une attention particulière pour bien
différencier ce qui est du ressort du contrat de travail et ce qui est
du bénévolat pour ne pas risquer d'être considéré, voir qualifié, de
fictif.
Le risque le plus sérieux, outre la requalification de l'association en
association à but lucratif est celui de requalification de l'association
en société
haveur a écrit :Les salariés peuvent adhérer à l'association dont ils sont employés
Cassation, chambre sociale,17 février 1988 n° 85-16639
Dépassé depuis longtemps, j'en ai peur, comme tu le sais : depuis le 15
septembre 1998 déjà, avec la première instruction fiscale sur le sujet
(voire même juillet 1998 avec le livre blanc) puis avec la loi de
finance 2005.
Toutefois ceci nécessite une attention particulière pour bien
différencier ce qui est du ressort du contrat de travail et ce qui est
du bénévolat pour ne pas risquer d'être considéré, voir qualifié, de
fictif.
Désolé, mais ce principe - qui était logique mais souvent dévoyé - est
obsolète : d'une part, l'article 261 du CGI définit désormais le
désintéressement comme interdisant la rémunération d'un dirigeant - et,
sauf statuts exotiques, les membres du CA sont des dirigeants - en
dessous d'un seuil de CA de 200000 euros (pendant les 3 derniers
exercices), et ceci sans distinguer les raisons de la rémunération. De
plus il précise que les dirigeants ne doivent avoir "aucun intérêt
direct ou indirect dans les résultats de l'exploitation".
Bon, après, cette IF part en sucette, parce qu'elle parle toujours de
plafonnement aux 3/4 du SMIC, ce qui n'a plus de sens depuis la
modification du CGI par la loi de finance 2005 (honte au rédacteur de
cette dernière IF pour ne pas avoir pris en compte ce changement !),
mais c'est un autre sujet.
haveur a écrit :
Les salariés peuvent adhérer à l'association dont ils sont employés
Cassation, chambre sociale,17 février 1988 n° 85-16639
Dépassé depuis longtemps, j'en ai peur, comme tu le sais : depuis le 15
septembre 1998 déjà, avec la première instruction fiscale sur le sujet
(voire même juillet 1998 avec le livre blanc) puis avec la loi de
finance 2005.
Toutefois ceci nécessite une attention particulière pour bien
différencier ce qui est du ressort du contrat de travail et ce qui est
du bénévolat pour ne pas risquer d'être considéré, voir qualifié, de
fictif.
Désolé, mais ce principe - qui était logique mais souvent dévoyé - est
obsolète : d'une part, l'article 261 du CGI définit désormais le
désintéressement comme interdisant la rémunération d'un dirigeant - et,
sauf statuts exotiques, les membres du CA sont des dirigeants - en
dessous d'un seuil de CA de 200000 euros (pendant les 3 derniers
exercices), et ceci sans distinguer les raisons de la rémunération. De
plus il précise que les dirigeants ne doivent avoir "aucun intérêt
direct ou indirect dans les résultats de l'exploitation".
Bon, après, cette IF part en sucette, parce qu'elle parle toujours de
plafonnement aux 3/4 du SMIC, ce qui n'a plus de sens depuis la
modification du CGI par la loi de finance 2005 (honte au rédacteur de
cette dernière IF pour ne pas avoir pris en compte ce changement !),
mais c'est un autre sujet.
haveur a écrit :Les salariés peuvent adhérer à l'association dont ils sont employés
Cassation, chambre sociale,17 février 1988 n° 85-16639
Dépassé depuis longtemps, j'en ai peur, comme tu le sais : depuis le 15
septembre 1998 déjà, avec la première instruction fiscale sur le sujet
(voire même juillet 1998 avec le livre blanc) puis avec la loi de
finance 2005.
Toutefois ceci nécessite une attention particulière pour bien
différencier ce qui est du ressort du contrat de travail et ce qui est
du bénévolat pour ne pas risquer d'être considéré, voir qualifié, de
fictif.
Désolé, mais ce principe - qui était logique mais souvent dévoyé - est
obsolète : d'une part, l'article 261 du CGI définit désormais le
désintéressement comme interdisant la rémunération d'un dirigeant - et,
sauf statuts exotiques, les membres du CA sont des dirigeants - en
dessous d'un seuil de CA de 200000 euros (pendant les 3 derniers
exercices), et ceci sans distinguer les raisons de la rémunération. De
plus il précise que les dirigeants ne doivent avoir "aucun intérêt
direct ou indirect dans les résultats de l'exploitation".
Bon, après, cette IF part en sucette, parce qu'elle parle toujours de
plafonnement aux 3/4 du SMIC, ce qui n'a plus de sens depuis la
modification du CGI par la loi de finance 2005 (honte au rédacteur de
cette dernière IF pour ne pas avoir pris en compte ce changement !),
mais c'est un autre sujet.
Jusqu'à présent je n'ai pas trouvé de jurisprudence allant dans ce sens.
Bon, après, cette IF part en sucette, parce qu'elle parle toujours de
plafonnement aux 3/4 du SMIC, ce qui n'a plus de sens depuis la
modification du CGI par la loi de finance 2005 (honte au rédacteur de
cette dernière IF pour ne pas avoir pris en compte ce changement !),
mais c'est un autre sujet.
Pas tout à fait parce que le secteur associatif est de plus en plus
confronté à des doctrines variées, parfois divergentes.
Jusqu'à présent je n'ai pas trouvé de jurisprudence allant dans ce sens.
Bon, après, cette IF part en sucette, parce qu'elle parle toujours de
plafonnement aux 3/4 du SMIC, ce qui n'a plus de sens depuis la
modification du CGI par la loi de finance 2005 (honte au rédacteur de
cette dernière IF pour ne pas avoir pris en compte ce changement !),
mais c'est un autre sujet.
Pas tout à fait parce que le secteur associatif est de plus en plus
confronté à des doctrines variées, parfois divergentes.
Jusqu'à présent je n'ai pas trouvé de jurisprudence allant dans ce sens.
Bon, après, cette IF part en sucette, parce qu'elle parle toujours de
plafonnement aux 3/4 du SMIC, ce qui n'a plus de sens depuis la
modification du CGI par la loi de finance 2005 (honte au rédacteur de
cette dernière IF pour ne pas avoir pris en compte ce changement !),
mais c'est un autre sujet.
Pas tout à fait parce que le secteur associatif est de plus en plus
confronté à des doctrines variées, parfois divergentes.
haveur a écrit :Jusqu'à présent je n'ai pas trouvé de jurisprudence allant dans ce sens.
Ça ne m'étonne pas : avant 1998, c'était le flou, et l'administration
fiscale savait interpréter ce flou dans le sens qui l'arrangeait. Depuis
les choses sont nettement plus claires, donc, d'une part le fisc ne peut
plus exploiter le manque de clarté et d'autre part les associations
savent à quoi s'en tenir.
haveur a écrit :
Jusqu'à présent je n'ai pas trouvé de jurisprudence allant dans ce sens.
Ça ne m'étonne pas : avant 1998, c'était le flou, et l'administration
fiscale savait interpréter ce flou dans le sens qui l'arrangeait. Depuis
les choses sont nettement plus claires, donc, d'une part le fisc ne peut
plus exploiter le manque de clarté et d'autre part les associations
savent à quoi s'en tenir.
haveur a écrit :Jusqu'à présent je n'ai pas trouvé de jurisprudence allant dans ce sens.
Ça ne m'étonne pas : avant 1998, c'était le flou, et l'administration
fiscale savait interpréter ce flou dans le sens qui l'arrangeait. Depuis
les choses sont nettement plus claires, donc, d'une part le fisc ne peut
plus exploiter le manque de clarté et d'autre part les associations
savent à quoi s'en tenir.