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Quel sanction pénale pour une branlée ?

311 réponses
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jean
Bonjour,

C'est une question théorique, on l'aura compris, la violence étant
mauvaise conseillère.

Supposons qu'un internaute particulièrement détraqué, un malade mental
particulièrement dépravé, doublé d'un alcoolique de la pire espèce, bref
un pauvre type bon à interner, ne cesse depuis des années de s'amuser
sur les forums de discussion à s'en prendre à plusieurs personnes, les
traitant de tous les noms, ne cessant de les agresser verbalement, s'en
prenant à leurs proches parents, même décédés, ou à leurs amis, publiant
des photos nécrophiles, parlant à gerber à une ou plusieurs internautes
de leur supposée ménopause, jouissant haineusement de parler de la vie
privée d'autrui, j'en passe et j'en oublie, supposons donc que cet
individu malsain se prenne un jour devant chez lui entre chien et loup
une dégelée qui le laisse sur le carreau.

Je voudrais savoir ce que risquerait d'un point de vue pénal la personne
qui, lassée par ce comportement, qui dure, je le répète, depuis des
années, devrait comparaître en justice pour avoir mis de la sorte un
terme aux agissement du malade mental dont il est question au paragraphe
précédent.

On supposera ici que les dégats physiques causés à ce détraqué ont été
particulièrement sévères, au point de lui avoir définitivement ôté toute
envie de faire le con sur internet. Mais, si certains de ses os ont pu
être brisés avec un éventuel instrument contondant, en aucun cas sa vie
n'a été en danger.

On supposera aussi que la personne auteur de cette branlée mémorable a
déjà déposé plainte en justice pour faire cesser le trouble à l'ordre
public causé par le dépravé. Mais que la justice, pour une raison ou
pour une autre, a classé l'affaire ou prend tout son temps.

Merci d'avance pour vos réponses.

Jean Bombeurt

PS : toute ressemblance avec un internaute correspondant au profil de
celui qui, pour la démonstration présente, a reçu une dégelée, ne serait
que fortuite. Je le répète, ceci n'est qu'une hypothèse d'école.

10 réponses

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JLC
"Jean Bombeurt" a écrit dans le message de news:
1ig2jig.1kkrkzk1h88t7kN%
Bonjour,

C'est une question théorique, on l'aura compris, la violence étant
mauvaise conseillère.

Supposons qu'un internaute particulièrement détraqué, un malade mental
particulièrement dépravé, doublé d'un alcoolique de la pire espèce, bref
un pauvre type bon à interner, ne cesse depuis des années de s'amuser
sur les forums de discussion à s'en prendre à plusieurs personnes, les
traitant de tous les noms, ne cessant de les agresser verbalement, s'en
prenant à leurs proches parents, même décédés, ou à leurs amis, publiant
des photos nécrophiles, parlant à gerber à une ou plusieurs internautes
de leur supposée ménopause, jouissant haineusement de parler de la vie
privée d'autrui, j'en passe et j'en oublie, supposons donc que cet
individu malsain se prenne un jour devant chez lui entre chien et loup
une dégelée qui le laisse sur le carreau.

Je voudrais savoir ce que risquerait d'un point de vue pénal la personne
qui, lassée par ce comportement, qui dure, je le répète, depuis des
années, devrait comparaître en justice pour avoir mis de la sorte un
terme aux agissement du malade mental dont il est question au paragraphe
précédent.

On supposera ici que les dégats physiques causés à ce détraqué ont été
particulièrement sévères, au point de lui avoir définitivement ôté toute
envie de faire le con sur internet. Mais, si certains de ses os ont pu
être brisés avec un éventuel instrument contondant, en aucun cas sa vie
n'a été en danger.

On supposera aussi que la personne auteur de cette branlée mémorable a
déjà déposé plainte en justice pour faire cesser le trouble à l'ordre
public causé par le dépravé. Mais que la justice, pour une raison ou
pour une autre, a classé l'affaire ou prend tout son temps.

Merci d'avance pour vos réponses.

Jean Bombeurt




Salut,

Réponse non fondée en droit, mais pragmatique et réaliste.

1°) En présumant que tu as du pognon, il suffit de trouver dans les
banlieues un ou deux sbires mahouss costauds bien payés pour casser la
gueule (ou plus) à l'internaute détraqué dans le plus grand anonymat
(cagoules recommandées, mais je crois qu'ils connaissent leur affaire).

2°) En présumant que tu sois la personne lassée du comportement de
l'alcoolique, dépravé, etc., se constituer un excellent alibi, du genre
dîner chez un intime crédible pour témoigner en justice, avec des tas
d'autres participants. Mettre la main au panier de la copine d'un invité
pour créer un scandale mémorisable (éviter de choisir une nympho).

3°) Bien entendu, que l'intervention musclée du 1°) se déroule pendant que
tu dînes chez ton copain ci-dessus.

4°) Parce que si tu attends que la justice fasse son oeuvre, il y a un gros
risque que tu pètes sérieusement les plombs avant et que tu te fasses
justice toi-même, comme on dit, avec risque de tôle à la clé, et l'autre con
aurait gagné. Ce qui serait choquant au plan de la morale de l'histoire.

5°) J'ai bien précisé in limine que nous étions hors droit positif français.
En fait, ça serait plutôt Dallas. Mais c'est très efficace et ça économise
les sous du contribuable, non ?

--

----------------------------------
@ + et cordialement
JLC
Avatar
jean
Sylvain wrote:

>> Je ne vois pas l'intérêt d'attaquer physiquement ce détraqué, il y a
>> possibilité de recourrir auprés de la justice pour ses agissements.
>
> Oui, de prime abord je suis tout à fait d'accord avec vous et votre
> réponse est parfaitement réfléchie.
>
> Mais si la justice, déjà informée des faits, suite à des mains courantes
> ou à des plaintes, ne fait rien ou prend son temps, que faut-il faire
> pour faire cesser les agissements d'un tel sinistre personnage ? La
> violence, si elle est heureusement répréhensible, peut hélas s'avérer
> être un réponse tout à fait pertinente à ce genre de chose, quoique je
> sois le premier à le regretter. Il existe malheureusement des invidus
> qui ne comprennent que ce langage. Avouez que courir le risque de se
> prendre une autre sévère correction si l'on continue à faire chier son
> prochain est quelque chose qu'on ne voit pas souvent. Et c'est aussi
> bien comme ça.

En fait, vous vous renseignez avant, pour pouvoir aller lui péter la gueule



Non, je suis non violent.

Vous devriez vous renseigner au tribunal la plus proche, "bonjour, Monsieur
le juge, je voudrais péter la gueule à ....., combien ça va me coûter ?
merci "



Si j'avais l'intention de mettre une rouste monstrueuse à un pareil
dégénéré je ne poserais même pas la question.

J'irais lui mettre tranquillement en vrac la tronche, les bras et les
jambes, façon puzzle, sans prévenir qui que ce soit. Et je puis vous
assurer que le détraqué n'irait même pas porter plainte de peur de s'en
prendre une autre encore plus sévère. Je serais même assez taquin pour
faire croire à l'imbécile heureux que jamais ne lui mettrait une
dérouillée. :-)

Mais bon, tout ça ne répond pas à ma question.
Avatar
jean
NM wrote:

>>> Je ne vois pas l'intérêt d'attaquer physiquement ce détraqué, il y a
>>> possibilité de recourrir auprés de la justice pour ses agissements.
>>
>> Oui, de prime abord je suis tout à fait d'accord avec vous et votre
>> réponse est parfaitement réfléchie.
>>
>> Mais si la justice, déjà informée des faits, suite à des mains
>> courantes ou à des plaintes, ne fait rien ou prend son temps, que
>> faut-il faire pour faire cesser les agissements d'un tel sinistre
>> personnage ? La violence, si elle est heureusement répréhensible,
>> peut hélas s'avérer être un réponse tout à fait pertinente à ce
>> genre de chose, quoique je sois le premier à le regretter. Il existe
>> malheureusement des invidus qui ne comprennent que ce langage.
>> Avouez que courir le risque de se prendre une autre sévère
>> correction si l'on continue à faire chier son prochain est quelque
>> chose qu'on ne voit pas souvent. Et c'est aussi bien comme ça.
>
> En fait, vous vous renseignez avant, pour pouvoir aller lui péter la
> gueule

Bein, il y a des fois ou il n'y a pas trop d'autres solutions ...



Oui, et c'est bien regrettable. Il y a hélas des gens qui,
malheureusement, ne comprennent que le langage de la violence pour
arrêter leur conneries. Bon c'est vrai que même un malade mental, quand
il a la tête comme un chou-fleur avec les ratiches explosées, il ne peut
plus dire une ânerie. Et il est peu facile pour ce genre de détraqué de
poster avec les mains dans le plâtre.

Mon Dieu comme je réprouve la violence. :-(
Avatar
dmkgbt
NM wrote:

hello Sylvain you wrote



> En fait, vous vous renseignez avant, pour pouvoir aller lui péter la
> gueule

Bein, il y a des fois ou il n'y a pas trop d'autres solutions ...



Disons que, devant une certaine lenteur de la justice à régler ce genre
de problème (il faut dire que les vols de certains scooters voire les
plaintes en diffamation d'un Président à l'encontre d'un journaliste,
c'est quand même plus sérieux comme délits), il peut sembler nécessaire
à certains, poussés à bout au delà de toute raison par des détraqués
particulièrement pugnaces, d'en revenir à la notion de justice privée.
C'est déplorable mais compréhensible quand un détraqué, fort de cette
lenteur de la justice, qu'il prend pour une garantie d'impunité, ne perd
pas une occasion d'en rajouter...



--
Dominique G
Avatar
jean
François Fuchs wrote:

> - Quel rapport a votre "brillante" (sic) loghorrée avec le droit pénal
> et la question posée ? Visiblement aucune, et je le regrette.

Aucun. Ce qui explique le fu2 que j'avais placé et que vous avez contourné.

> - Ensuite : que préconisez vous pour faire cesser les agissements d'un
> détraqué mental, poivrot, haineux, mythomane, violent et suffisamment
> dégénéré pour s'amuser à pisser sur les morts en s'en prenant à la
> mémoire de personnes décédées et en publiant des photos de cadavres
> féminins ?

A votre place, </ntk> je porterais plainte <ntk>. Un tel malade doit se voir
de loin et la justice n'aura aucun scrupule à lui régler son compte comme il
le mérite.



J'espère bien. .C'est pourquoi j'ai bien précisé que ma question est

> Lequel malheureux dégénéré est aussi un branleur visiblement
> à la charge de ses parents ou de la société

Ah ça, à part comme vous dites ou rentier, je ne vois pas de quoi il
pourrait vivre s'il passe tout son temps sur usenet à étaler sa vie et sa
psychose.


> ... agressant
> tous ceux dont il est hélas persuadé qu'ils sont ses ennemis
> (franchement, qui considèrerait avoir comme ennemi un pauvre type comme
> ça ?)

Hum, c'est pas pour vous vexer, mais il y a truc qui cloche gros comme ÇA
dans votre phrase :))


> et qu'il a une mission sur internet (laquelle ? On l'ignore, et
> lui même ne doit pas le savoir, le malheureux, avec tout ce beau merdier
> qui lui tient lieu de cerveau).

Bah, y en a bien qui se sont fixés pour mission de faire régner l'ordre par
</ntk> la terreur judiciaire <ntk>. Vous c'est pas par les menaces de
violence à peine voilées. Peut-être que le malade dont vous parlez ne
s'exprime tout simplement pas dans la même réalité que la votre. Je
n'aimerais pas être dans sa tête.

D'ailleurs, si la justice semble si peu pressée de le condamner, c'est peut
être que le plaignant n'est pas non plus dans la même réalité que la
justice.

En fait, il y a vous, le plaignant (votre anonymat cache si peu votre
implication dans l'affaire) contre la justice et l'autre taré.

Visiblement, comme vous semblez quelqu'un d'équilibré, il y a quelque chose
qui cloche dans la justice de votre pays. Un malade comme le décrivez ne
devrait pas pouvoir nuire dans une société instruite et culturelle comme la
notre et laisser vos plaintes sans suites.

Nous vivons dans une société de grands malades et je crois que vous avez mis
le doigt pile poile où sa fait mal.


> - Enfin et surtout (j'aimerais bien avoir votre avis sur celle là) :
> pensez-vous qu'il faille prévenir par téléphone ou par courrier la
> famille d'un tel individu,

Vous auriez sans doute fait fureur en 1942.


> avec des exemples choisis de sa prose
> habituelle, afin bien sûr qu'elle le fasse soigner d'urgence dans un
> hôpital psychiatrique ? Comme vous le voyez, cette question a un but
> profondément humanitaire.

Je vois oui, grâce vous soit rendue.

Mais bon, mon petit doigt me dit qu'entre 1940 et 1944 il vallait mieux ne
pas vous avoir pour voisin, surtout si on était maqué avec une belle nana,
qu'on était riche et beau.


> Merci et bonne soirée.
>
> Jean Bombeurt

Et dans la vraie vie, vous êtes ?



Quelqu'un qui vous lit avec délectation et en rigolant. En fait j'avais
parié un bon dîner que vous alliez débarquer sur ce fil, et qui plus est
de la façon dont vous l'avez fait. Grâce à vous je mangerai donc très
prochainement une côte à l'os, agrémentée d'un petit vin de Cahors je ne
vous dis que ça. Merci pour tout.

A part ça vous n'avez pas répondu aux questions. Quel dommage. :-)

Je vous en pose une autre, vous ayant vu parler ici de (je vous cite)
"terreur judiciaire," et vous ayant vu par ailleurs vu par le passé et
quelques centaines de fois de ça :

- pour faire fermer sa gueule à un fâcheux qui n'a rien d'autre à foutre
que de harceler quelques personnes, et puisque - peut-être - vous
n'admettez pas qu'on puisse déposer plainte pour faire cesser ce genre
de trouble, vous préconisez quoi, vous ? S'écraser devant l'imbécile (et
ça ne l'arrêterait pas) ou lui oter de façon radicale toute envie de
continuer (sauf à vouloir passer des mois à l'hosto, je pense que ça le
calmerait définitivement) ?
Avatar
jean
Ascadix wrote:

> Bonjour,
>
> C'est une question théorique, on l'aura compris, la violence étant
> mauvaise conseillère.
>
> Supposons qu'un internaute particulièrement détraqué, un malade mental
> particulièrement dépravé, doublé d'un alcoolique de la pire espèce, bref
> un pauvre type bon à interner, ne cesse depuis des années de s'amuser
> sur les forums de discussion à s'en prendre à plusieurs personnes, les
> traitant de tous les noms, ne cessant de les agresser verbalement, s'en
> prenant à leurs proches parents, même décédés, ou à leurs amis, publiant
> des photos nécrophiles, parlant à gerber à une ou plusieurs internautes
> de leur supposée ménopause, jouissant haineusement de parler de la vie
> privée d'autrui, j'en passe et j'en oublie, supposons donc que cet
> individu malsain se prenne un jour devant chez lui entre chien et loup
> une dégelée qui le laisse sur le carreau.
>
> Je voudrais savoir ce que risquerait d'un point de vue pénal la personne
> qui, lassée par ce comportement, qui dure, je le répète, depuis des
> années, devrait comparaître en justice pour avoir mis de la sorte un
> terme aux agissement du malade mental dont il est question au paragraphe
> précédent.
>
> On supposera ici que les dégats physiques causés à ce détraqué ont été
> particulièrement sévères, au point de lui avoir définitivement ôté toute
> envie de faire le con sur internet. Mais, si certains de ses os ont pu
> être brisés avec un éventuel instrument contondant, en aucun cas sa vie
> n'a été en danger.

Pas en danger ... ça va être dur à prouver ...



La médecine est là pour ça. Quand on casse un bras ou deux à un posteur
haineux et compulsif, on ne met pas sa vie en danger. Mais, une chose
entraînant l'autre, il arrête tout de suiite de déverser sa bile
saumâtre sur internet.

> On supposera aussi que la personne auteur de cette branlée mémorable a
> déjà déposé plainte en justice pour faire cesser le trouble à l'ordre
> public causé par le dépravé. Mais que la justice, pour une raison ou
> pour une autre, a classé l'affaire ou prend tout son temps.
>
> Merci d'avance pour vos réponses.
>
> Jean Bombeurt
>
> PS : toute ressemblance avec un internaute correspondant au profil de
> celui qui, pour la démonstration présente, a reçu une dégelée, ne serait
> que fortuite. Je le répète, ceci n'est qu'une hypothèse d'école.

Tu risque un max, vu qu'en plus tu l'annonce, il y aura préméditation,
quand au fait que la justice dument informée n'aie pas agit contre le
parasite avant, te "poussant" par la même à l'extrémité pour laquelle tu
va comparaitre, ce n'est en rien une cause "amoindrissante", ça risque
même d'aggraver la note car "La Justice" déteste qu'on lui fasse
remarqué ses erreurs, atermoiements, délires, errements, etc ... et tout
acte/parole/écrit dans ce sens semble entrainer de très gros risques de
maximisation de la sanction.



C'est très juste ce que vous dites. Mais peut-être que ça vaut le coup.
Un quidam qui fait taire de la sorte le dégénéré qui le harcèle va
peut-être prendre un max (combien au fait) mais le taré qui se sera
arranger la tronche, s'il porte plaindre bien sûr (ce n'est pas sûr,
hein, sauf à vouloir s'en reprendre une de toute beauté) sera incité à
cesser ses âneries.

franchement, vous, vous en connaissez des gens qui seraient d'accord
pour se faire éparpiller le portrait juste pour satisfaire le vice
d'agresser verbalement les gens sur internet ?

N'oubliez quand même pas que j'ai bien précisé que cette question était
un cas d'école et rien de plus. Si quelqu'un ici se prend une
dérouilllée pour avoir fait des conneries sur internet, je ne risque
rien, strictement rien. :-)
Avatar
François Fuchs
"Jean Bombeurt" a écrit dans le message news:
1ig2vfv.f7t6gutepr0wN%

J'espère bien. .C'est pourquoi j'ai bien précisé que ma question est



Ah zut, votre clavier a tombu en panne avant la fin de votre phrase. Alors
quelle était cette question que vous avez précisée ?

Quelqu'un qui vous lit avec délectation et en rigolant. En fait j'avais
parié un bon dîner que vous alliez débarquer sur ce fil, et qui plus est
de la façon dont vous l'avez fait. Grâce à vous je mangerai donc très
prochainement une côte à l'os, agrémentée d'un petit vin de Cahors je ne
vous dis que ça. Merci pour tout.

A part ça vous n'avez pas répondu aux questions. Quel dommage. :-)

Je vous en pose une autre, vous ayant vu parler ici de (je vous cite)
"terreur judiciaire," et vous ayant vu par ailleurs vu par le passé et
quelques centaines de fois de ça :

- pour faire fermer sa gueule à un fâcheux qui n'a rien d'autre à foutre
que de harceler quelques personnes, et puisque - peut-être - vous
n'admettez pas qu'on puisse déposer plainte pour faire cesser ce genre
de trouble, vous préconisez quoi, vous ? S'écraser devant l'imbécile (et
ça ne l'arrêterait pas) ou lui oter de façon radicale toute envie de
continuer (sauf à vouloir passer des mois à l'hosto, je pense que ça le
calmerait définitivement) ?



Bon, passant outre la confusion dans vos propos, je vais moi aussi vous
poser quelques questions afin d'y voir plus clair et je l'espère pouvoir
vous aider à sortir de cette confusion.

Cette personne vous a harcelé. Soit. Une vraie pourriture.

Vous-a-t-elle harcelé par le téléphone ou par courrier, papier ou
électronique ? A-t-elle fait le pied de grue en bas de chez vous ? Vous a t
elle menacé de violences ou autres représailles, dignes ou indignes d'un
homme d'honneur ? A t elle divulgué l'adresse de votre domicile par un moyen
ou un autre ?

Pourquoi la justice ne vous a t elle pas suivi dans vos plaintes ? Est-il
protégé par le gouvernement ? Est-ce un agent de la NSA ? Voire un
envahisseur extra-terrestre ?

Vous même, n'avez vous pas l'impression de proférer des menaces envers
l'intégrité physique de cette personne malgré vos réserves de forme censées
faire croire que vous ne comptez pas passer à l'acte ?

Et enfin, mais qui est donc cette raclure de bidet qui n'aurait quand même
pas pu passer inaperçue sur usenet ?
Avatar
jean
Dominique G wrote:

> > En fait, vous vous renseignez avant, pour pouvoir aller lui péter la
> > gueule
>
> Bein, il y a des fois ou il n'y a pas trop d'autres solutions ...

Disons que, devant une certaine lenteur de la justice à régler ce genre
de problème (il faut dire que les vols de certains scooters voire les
plaintes en diffamation d'un Président à l'encontre d'un journaliste,
c'est quand même plus sérieux comme délits), il peut sembler nécessaire
à certains, poussés à bout au delà de toute raison par des détraqués
particulièrement pugnaces, d'en revenir à la notion de justice privée.
C'est déplorable mais compréhensible quand un détraqué, fort de cette
lenteur de la justice, qu'il prend pour une garantie d'impunité, ne perd
pas une occasion d'en rajouter...



Il y aura toujours des inconscients, je suppose. Comment un blaireau
pareil, pour tout dire un malade mental particulièrement dépravé,
pourrait imaginer que sa ou ses victimes choisiraient de le laisser
tranquillement vomir sa haine sur elle(s) ?

C'est triste à dire, et c'est même fort regrettable, mais je crois que
quand la justice ne fait pas son travail (il arrive qu'elle ne le fasse
pas, il suffit d'ouvrir de temps à autre n'importe quel journal publié à
la surface de la planète) le citoyen n'a pas d'autre choix que de se
faire justice. Quitte à devoir comparaître ensuite lui même en justice
pour avoir fait ça, mais sûr que son opposant aura compris la leçon,
marquée dans sa chair.

En fait on peut imaginer que ça peut valoir le coup de se prendre une
condamnation pour voies de fait si l'on a la satisfaction d'avoir mis
une dérouillée monumentale au pénible d'en face. Une dérouillée si belle
que le dit pénible ne recommencera plus jamais ses âneries haineuses,
sauf à vouloir en reprendre une plus belle encore.

Mais ceci dit, comme je l'écrivais il y a peu, il y a de pauvres types
qui ne comprennent, et je le déplore, que le langage de la violence
physique. Ils ne le comprennent hélas que quand c'est trop tard.
Avatar
jean
François Fuchs wrote:

> J'espère bien. .C'est pourquoi j'ai bien précisé que ma question est

Ah zut, votre clavier a tombu en panne avant la fin de votre phrase. Alors
quelle était cette question que vous avez précisée ?

> Quelqu'un qui vous lit avec délectation et en rigolant. En fait j'avais
> parié un bon dîner que vous alliez débarquer sur ce fil, et qui plus est
> de la façon dont vous l'avez fait. Grâce à vous je mangerai donc très
> prochainement une côte à l'os, agrémentée d'un petit vin de Cahors je ne
> vous dis que ça. Merci pour tout.
>
> A part ça vous n'avez pas répondu aux questions. Quel dommage. :-)
>
> Je vous en pose une autre, vous ayant vu parler ici de (je vous cite)
> "terreur judiciaire," et vous ayant vu par ailleurs vu par le passé et
> quelques centaines de fois de ça :
>
> - pour faire fermer sa gueule à un fâcheux qui n'a rien d'autre à foutre
> que de harceler quelques personnes, et puisque - peut-être - vous
> n'admettez pas qu'on puisse déposer plainte pour faire cesser ce genre
> de trouble, vous préconisez quoi, vous ? S'écraser devant l'imbécile (et
> ça ne l'arrêterait pas) ou lui oter de façon radicale toute envie de
> continuer (sauf à vouloir passer des mois à l'hosto, je pense que ça le
> calmerait définitivement) ?

Bon, passant outre la confusion dans vos propos, je vais moi aussi vous
poser quelques questions afin d'y voir plus clair et je l'espère pouvoir
vous aider à sortir de cette confusion.

Cette personne vous a harcelé. Soit. Une vraie pourriture.

Vous-a-t-elle harcelé par le téléphone ou par courrier, papier ou
électronique ? A-t-elle fait le pied de grue en bas de chez vous ? Vous a t
elle menacé de violences ou autres représailles, dignes ou indignes d'un
homme d'honneur ? A t elle divulgué l'adresse de votre domicile par un moyen
ou un autre ?

Pourquoi la justice ne vous a t elle pas suivi dans vos plaintes ? Est-il
protégé par le gouvernement ? Est-ce un agent de la NSA ? Voire un
envahisseur extra-terrestre ?

Vous même, n'avez vous pas l'impression de proférer des menaces envers
l'intégrité physique de cette personne malgré vos réserves de forme censées
faire croire que vous ne comptez pas passer à l'acte ?

Et enfin, mais qui est donc cette raclure de bidet qui n'aurait quand même
pas pu passer inaperçue sur usenet ?



Ma question et le cas décrit sont parfaitement théoriques. Je l'ai
parfaitement précisé.

Par contre je puis vous assurer que si un quidam identique à celui
m'ayant servi d'exemple s'amusait à commettre envers moi ce que j'ai
décrit (comme un cas d'école), et si je portais plainte contre cette
personne sans que cela soit suivi d'effet, je puis vous assurer que je
ferai tôt pou tard le nécessaire pour que l'imbécile cesse
définitivement ses agissements.

Je suis patient, très patient, mais il y a des limites à ne pas franchir
avec moi ou les miens. Le problème est qu'il existe malheureusement des
détraqués mentaux (comment les qualifier autrement ?) qui prennent
parfois - et à tort - ma très grande patience pour de la passivité.
C'est une erreur. J'espère par conséquent que de pareils personnages
n'auront jamais l'idée incongrue de s'en prendre à moi ou aux miens.

Je le souhaite vraiment de tout coeur, car si je devais subir ce genre
de préjudice et si la justice ne répondait pas à mes doléances légitimes
(je ne puis cependant imaginer que la justice française ne ferait pas
son devoir) je puis déjà vous assurer que ce n'est pas le risque de
faire de la prison qui me retiendrait de mettre une correction à mon
adversaire. :-)

Ceci dit vous n'avez pas répondu à la question rigolote, monsieur Fuchs,
bien que vous découvrant non sans ravissement très présent sur ce fil
de discussion. J'ose espérer qu'elle n'est pas gênante pour vous, et je
vois d'ailleurs pas pourquoi elle le serait. Je vous la pose donc à
nouveau :

- pour faire fermer sa gueule à un fâcheux qui n'a rien d'autre à foutre
que de harceler quelques personnes, et puisque - peut-être - vous
n'admettez pas qu'on puisse déposer plainte pour faire cesser ce genre
de trouble, vous préconisez quoi, vous ? S'écraser devant l'imbécile (et
ça ne l'arrêterait pas) ou lui oter de façon radicale toute envie de
continuer (sauf à vouloir passer des mois à l'hosto, je pense que ça le
calmerait définitivement) ?

La question est simple et elle ne méritait vraiment pas la loghorrée
verbale que je viens de me forcer à lire sous votre plume. J'attends
donc déjà votre réponse - concise si possible - avec une grande
impatience. Prenez tout votre temps, je vais aller prendre un bain de
minuit dans le jacuzzi et puis ensuite j'ai une semaine chargée. On se
dit donc à dimanche prochain.

A dans une semaine cher monsieur.

Jean Bombeurt
Avatar
jean
JLC wrote:

Salut,



Bonsoir,

Réponse non fondée en droit, mais pragmatique et réaliste.



LOL ! J'ai lu. :-P

1°) En présumant que tu as du pognon,



J'ai dévalisé la poste du coin. :-)

il suffit de trouver dans les
banlieues un ou deux sbires mahouss costauds bien payés pour casser la
gueule (ou plus) à l'internaute détraqué dans le plus grand anonymat
(cagoules recommandées, mais je crois qu'ils connaissent leur affaire).

2°) En présumant que tu sois la personne lassée du comportement de
l'alcoolique, dépravé, etc., se constituer un excellent alibi, du genre
dîner chez un intime crédible pour témoigner en justice, avec des tas
d'autres participants. Mettre la main au panier de la copine d'un invité
pour créer un scandale mémorisable (éviter de choisir une nympho).




Attention, ce que j'ai décrit dans mon post initial est un cas d'école,
un cas théorique.

Si un imbécile dépravé et haineux avait l'insconscience de m'emmerder
trop longtemps, malgré ma très grande patience, et si la justice ne
faisait rien pour mettre un terme à cette situation (je n'ose imaginer
qu'un magistrat - du moins en France - ne fasse pas son devoir) je ferai
goûter moi même au fâcheux une ration de phalanges en travers du museau,
sans prévenir.

Et plus si affinités, dans ce cas précis le but serait tout de même de
faire cesser définitivement un trouble, pas de faire du sport. Et je me
ficherais bien des conséquences judiciaires, je ne m'en cache même pas.
Il y a des condamnations comme celle là qui valent bien des Légions
d'Honneur.

Jean Bombeurt
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