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[Secret d'actualités] déclaration brulante

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Yamada1000
Arpès le reportage sur la terrible et troublante explosion du vol TW800,
l'invité était le père d'une victime.
Le reportage était très orienté sur la thèse du missile et le père présent
soutenait cette thèse, ainsi qu'une journaliste américaine présente.
L'objectivité de ce reportage était loin d'être objectif mais il a surtout
fait remonter le fait que le gouvernement US a tout fait pour étouffer les
soupcons du missile et discrediter les témoins de cette thèses. beaucoup de
pression dans ce sens ce qui démontre qu'il y a un malaise sur cette
hypothèse.
Quoi qu'il en soit, le père présent, très peiné par la perte de son fils a
toujours un rencoeur très forte après tout ces années et un mystère qui
plane toujours. Là on c'est devenu brulant c'est quand à la fin le père
déclare:
Père: De toute façon je me vengerais
Présentateur (un peu mal à l'aise): vous venger de qui ?
Père: Je choisirais un responsable et je me vengerais
Suivi dans léger blanc, le commentateur étant un peu destabilisé par cette
déclaration qui ne fait aucun doute sur les intentions de ce père totalement
bouleversé par ce drame.

Résultat, ce père, qui visiblement va régulièrement aux USA pour suivre
l'affaire et l'enquète risque fort de se voir interdit de territoire aux
USA. C'est pas malin d'avoir annoncé cela à la télévision.

3 réponses

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Pierre Maurette
Yamada1000 a écrit :
[...]
Quoi qu'il en soit, le père présent, très peiné par la perte de son fils a
toujours un rencoeur très forte après tout ces années et un mystère qui
plane toujours.


Un peu à coté de votre remarque: j'ai remarqué que très souvent, les
parties civiles "proches des victimes" avaient une attitude étrange.
Forcer vers la sévérité, la réparation, c'est leur rôle. Et il est
certain que face çà l'assassin, voire au tortionnaire, d'un proche, la
réinsertion n'est pas à l'ordre du jour, et le pardon appartient à l'intime.
Mais ce que je ne comprends pas, c'est l'acharnement à faire condamner
"le suspect", quand la matérialité des faits n'a pas été établie
indiscutablement. Il me semble que dans ces cas, c'est plutôt des moyens
d'investigation qui devraient être demandés. Mais je ne suis pas dans
leur situation.
Bien entendu, je pense surtout à des affaires de type "fait divers". En
revanche, je trouve normal, et même sain, que par exemple les parties
civiles dans le (très ancien) attentat contre un DC10 d'UTA s'opposent
autant que faire se peut à la "dynastie Kadhafi".
--
Pierre
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Ludovic Delamare
Pierre Maurette a formulé la demande :
Yamada1000 a écrit :
[...]
Quoi qu'il en soit, le père présent, très peiné par la perte de son fils a
toujours un rencoeur très forte après tout ces années et un mystère qui
plane toujours.


Un peu à coté de votre remarque: j'ai remarqué que très souvent, les parties
civiles "proches des victimes" avaient une attitude étrange.
Forcer vers la sévérité, la réparation, c'est leur rôle. Et il est certain
que face çà l'assassin, voire au tortionnaire, d'un proche, la réinsertion
n'est pas à l'ordre du jour, et le pardon appartient à l'intime.
Mais ce que je ne comprends pas, c'est l'acharnement à faire condamner "le
suspect", quand la matérialité des faits n'a pas été établie
indiscutablement. Il me semble que dans ces cas, c'est plutôt des moyens
d'investigation qui devraient être demandés. Mais je ne suis pas dans leur
situation.



Dans le principe, tu as raison. Dans les faits, le but est d'aider au
"travail de
deuil" des victimes. Lequel peut très bien s'effectuer quelque soit le
comdamné, coupable
ou innocent. Par contre il faut des certitudes. Quelque part, il peut y
avoir incompatibilité
entre recherche de la vérité et assistance aux victimes. Reste à savoir
où se situe la justice.

--
Cordialement,
Ludovic
Please remove NOSPAM from my address to email me
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xxxx
"Ludovic Delamare" a écrit dans le
message de news:
Pierre Maurette a formulé la demande :
Yamada1000 a écrit :
[...]
Quoi qu'il en soit, le père présent, très peiné par la perte de son fils
a toujours un rencoeur très forte après tout ces années et un mystère
qui plane toujours.


Un peu à coté de votre remarque: j'ai remarqué que très souvent, les
parties civiles "proches des victimes" avaient une attitude étrange.
Forcer vers la sévérité, la réparation, c'est leur rôle. Et il est
certain que face çà l'assassin, voire au tortionnaire, d'un proche, la
réinsertion n'est pas à l'ordre du jour, et le pardon appartient à
l'intime.
Mais ce que je ne comprends pas, c'est l'acharnement à faire condamner
"le suspect", quand la matérialité des faits n'a pas été établie
indiscutablement. Il me semble que dans ces cas, c'est plutôt des moyens
d'investigation qui devraient être demandés. Mais je ne suis pas dans
leur situation.



Dans le principe, tu as raison. Dans les faits, le but est d'aider au
"travail de
deuil" des victimes.





Cette invention du travail de deuil a aggravé le sort des victimes.