J'utilise comme beaucoup ntpdate pour synchroniser l'horloge de Debian
Jessie. L'int=C3=A9r=C3=AAt est que, quand il a termin=C3=A9 sa t=C3=A2che,=
il s'arr=C3=AAte
contrairement =C3=A0 ntpd que je n'ai pas install=C3=A9. C'est mieux pour un
portable.
Le probl=C3=A8me c'est que ntpdate est obsol=C3=A8te et pourrait dispara=C3=
=AEtre dans
des distributions.
Je suis pass=C3=A9 comme la plupart d'entre nous sous systemd.
Celui-ci lance systemd-timesyncd. Mais ce dernier, contrairement =C3=A0
ntpdate, reste en t=C3=A2che de fond et est donc un remplacement =C3=A0 ntp=
d, et
ce malgr=C3=A9 la pr=C3=A9sence simultan=C3=A9e de ntpdate.
Trouvez-vous normal que, sans qu'on lui demande, systemd-timesyncd
assure le r=C3=B4le de ntpd alors que ntpd n'=C3=A9tait volontairement pas
install=C3=A9 ?
C'est d'autant plus g=C3=AAnant dans un environnement o=C3=B9 on ne souhait=
e qu'un
minimum de connexion r=C3=A9seau ou bien on souhaite limiter l'occupation
m=C3=A9moire.
Bien s=C3=BBr je pourrais d=C3=A9sactiver systemd-timesyncd (pas encore ess=
ay=C3=A9)
mais il ne devrait pas se lancer implicitement sauf lors de la
premi=C3=A8re synchronisation =C3=A9ventuellement.
Qu'en pensez-vous ? Peut-on consid=C3=A9rer =C3=A7a comme un bogue ?
Quel est le comportement sous Stretch ?