Baisse des prix chez SanDisk '
D'après les dires du journal rapportant les propos du directeur de Sandisk, le concurrent d'Apple devrait annoncer aujourd'hui des produits avec de nouvelles fonctionnalités et des prix fracassés dans le but de contrer l'hégémonie de l'iPod sur le marché des baladeurs audio.
Nous vous en parlions vendredi dernier, Apple domine le marché des baladeurs outre-Atlantique et possède désormais 75,6 % de parts de marché. Sandisk, son dauphin demeure quant à lui très loin derrière avec seulement 9,7 %.
Le baladeur SanDisk Sansa e200
Cet expliquerait sans doute la stratégie du groupe à vouloir implanter son lecteur MP3 Sansa e280 de 8 Go pour 249,99 dollars, soit environ 193,80 euros.
Cette capacité de stockage permettra de profiter de 2.000 chansons mais c'est également le double de l'iPod Nano, le produit le plus vendu par Apple, indique le journal. Cette baisse des prix devrait également être effective sur les autres baladeurs audio de Sandisk et avoisiner les 30 %.
La firme n'a pas souhaité commenter l'article du Wall Street Journal.
D'après les dires du journal rapportant les propos du directeur de Sandisk, le concurrent d'Apple devrait annoncer aujourd'hui des produits avec de nouvelles fonctionnalités et des prix fracassés dans le but de contrer l'hégémonie de l'iPod sur le marché des baladeurs audio.
Nous vous en parlions vendredi dernier, Apple domine le marché des baladeurs outre-Atlantique et possède désormais 75,6 % de parts de marché. Sandisk, son dauphin demeure quant à lui très loin derrière avec seulement 9,7 %.
Le baladeur SanDisk Sansa e200
Cet expliquerait sans doute la stratégie du groupe à vouloir implanter son lecteur MP3 Sansa e280 de 8 Go pour 249,99 dollars, soit environ 193,80 euros.
Cette capacité de stockage permettra de profiter de 2.000 chansons mais c'est également le double de l'iPod Nano, le produit le plus vendu par Apple, indique le journal. Cette baisse des prix devrait également être effective sur les autres baladeurs audio de Sandisk et avoisiner les 30 %.
La firme n'a pas souhaité commenter l'article du Wall Street Journal.
