Certes, la hausse est peu significative, mais elle sait nous prouver que la fameuse récession dont on nous a tant parlé n'a pas tant que ça touché le secteur du jeu vidéo à ce niveau.
Ils étaient à tous, mais tous n'y ont pas eu droit ?
L'augmentation n'a cependant pas touché toutes les machines. Le graphique présent dans cet article nous montre que la PS2 et la Xbox 360 ont connu des sorties moins fréquentes que l'année passée. Jesse Divnich de l'EEDAR soulève un point intéressant : 1099 nouveaux jeux signifie 55% de titres supplémentaires disponibles en boutique (pour la génération de consoles de salon actuelle)...
... et qu'assez paradoxalement, les rayons "jeux vidéo" des enseignes n'ont pas été agrandis. Ce qui veut dire une exposition plus ou moins importante pour certains titres, en d'autres termes que les blockbusters sont restés plus longtemps sur les étalages, au détriment d'autres softs n'étant pas forcément aussi populaires.
