L'été dernier, SpiralFrog avait fait parler de lui en coup de vent, annonçant un accord avec la plus grande major du monde, Universal Music Group, lui permettant de télécharger gratuitement de la musique contre un partage de revenus issus de la publicité.
Selon une source proche du dossier, relayée par Reuters, le service de téléchargement gratuit de morceaux musicaux, devant sortir en décembre, a connu quelques déboires avec le départ de Robin Kent, directeur exécutif de SpiralFrog, confirmé par le président et fondateur de la firme, Joe Mohen.
Du coup, SpiralFrog connaît actuellement une restructuration des effectifs et du conseil d'administration; les noms des employés pour tel ou tel poste seront divulgués dans les prochaines semaines.
Stand-by pour le moment
D'après Joe Mohen, Kent avait apporté des contributions significatives au projet SpiralFrog, mais la compagnie avait besoin d'un CEO ( Chief Executive Officer ) ayant une solide compétence dans la vente de médias aux annonceurs publicitaires. A l'heure actuelle, SpiralFrog a donc signé avec Universal, EMI, et un petit nombre de maisons de disques indépendantes.
" Notre activité évolue davantage vers une chaîne de télévision qu'un site Web " a déclaré Mohen à Reuters, ajoutant : " Donc nous avons besoin d'avoir dans nos rangs un directeur exécutif et un conseil d'administration talentueux qui comprennent comment faire fonctionner un média, à la fois du côté de la programmation et du côté des ventes publicitaires ". Il a par ailleurs nié le fait que Kent soit parti en raison du faible nombre de contrats signés par l'entreprise, une hypothèse soulevée par le Times de mardi dernier.
Le modèle économique de SpiralFrog se base sur une offre de téléchargement gratuit de fichiers si l'utilisateur accepte en retour de visionner des publicités pendant le rapatriement du fichier désiré. Si pour le moment, l'on parle beaucoup de musique chez SpiralFrog, il y a fort à parier que la firme annonce dans les mois à venir des accords concernant la diffusion de vidéos.
Selon une source proche du dossier, relayée par Reuters, le service de téléchargement gratuit de morceaux musicaux, devant sortir en décembre, a connu quelques déboires avec le départ de Robin Kent, directeur exécutif de SpiralFrog, confirmé par le président et fondateur de la firme, Joe Mohen.
Du coup, SpiralFrog connaît actuellement une restructuration des effectifs et du conseil d'administration; les noms des employés pour tel ou tel poste seront divulgués dans les prochaines semaines.
D'après Joe Mohen, Kent avait apporté des contributions significatives au projet SpiralFrog, mais la compagnie avait besoin d'un CEO ( Chief Executive Officer ) ayant une solide compétence dans la vente de médias aux annonceurs publicitaires. A l'heure actuelle, SpiralFrog a donc signé avec Universal, EMI, et un petit nombre de maisons de disques indépendantes.
" Notre activité évolue davantage vers une chaîne de télévision qu'un site Web " a déclaré Mohen à Reuters, ajoutant : " Donc nous avons besoin d'avoir dans nos rangs un directeur exécutif et un conseil d'administration talentueux qui comprennent comment faire fonctionner un média, à la fois du côté de la programmation et du côté des ventes publicitaires ". Il a par ailleurs nié le fait que Kent soit parti en raison du faible nombre de contrats signés par l'entreprise, une hypothèse soulevée par le Times de mardi dernier.
Le modèle économique de SpiralFrog se base sur une offre de téléchargement gratuit de fichiers si l'utilisateur accepte en retour de visionner des publicités pendant le rapatriement du fichier désiré. Si pour le moment, l'on parle beaucoup de musique chez SpiralFrog, il y a fort à parier que la firme annonce dans les mois à venir des accords concernant la diffusion de vidéos.
