Test Death To Spies
Death To Spies
Le par
Franck P.
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- 1 - Introduction
- 2 - L'Histoire avec une grande Hache
- 3 - Modus (opérandi) et bouche cousue
- 4 - Des graphismes pas smersh-eilleux
- 5 - conclusion
19 avril 1943, quelque part à l'ouest de l'Oural, la Direction du renseignement militaire plus connue sous le nom de SMERSH est créée. Son but, contrer les attaques des espions étrangers et plus particulièrement ceux de l'Allemagne hitlérienne. Bon en plus il fait froid, la neige n’arrête pas de tomber, les queues grandissent sans cesse devant les magasins d'alimentation et, au loin, un chien (un berger allemand sans doute) aboie. Wouf wouf. Bref, si l’on n'a pas déjà entendu ce refrain quelque part c'est que l'on est passé à coté de pratiquement la moitié des jeux de ces dix dernières années. Oui mais pour une fois, on se positionne de l'autre coté du mur de Berlin pour prendre le point de vue soviétique.
Enfin, on va cesser d'être le héros ricain, british ou franchouillard qui part sauver le monde armé de sa carabine et de son ami le courage. Parce que, aussi indéniable que l'apport des anglophones fut important lorsqu'il fut question de libérer l'Europe de l'ouest du joug hitlérien, l'URSS fut tout aussi méritante en repoussant de la Russie vers la Pologne l'armée d'Adolf. Bref, cela fait du bien de changer un peu tout cela et de mettre un peu en avant les Russes autrement que pour la vodka, les putes ou la mafia. Vous incarnez donc un jeune officier appartenant au SMERSH et votre supérieur vous demande de lui faire un briefing des opérations que vous avez mené par le passé.
Tel est le point de départ de Death To Spies. La suite est donc la réalisation des dites missions qui devront vous entraîner aussi loin que profondément dans des contrées amies ou ennemies. Mais il est clair que si l'on est un espion, il n'est point de contrée hospitalière. On rejoint donc le coté "seul au monde" des superproductions, souvent américaines, pour les transposer au monde russe et à cette Europe en proie à une guerre dévastatrice. Mais comme on est un espion russe, un espion tout court en fait, et en évitant de se rappeler James Bond le type ultra voyant de notre ami la Queen, il va bien falloir opérer différemment...
Enfin, on va cesser d'être le héros ricain, british ou franchouillard qui part sauver le monde armé de sa carabine et de son ami le courage. Parce que, aussi indéniable que l'apport des anglophones fut important lorsqu'il fut question de libérer l'Europe de l'ouest du joug hitlérien, l'URSS fut tout aussi méritante en repoussant de la Russie vers la Pologne l'armée d'Adolf. Bref, cela fait du bien de changer un peu tout cela et de mettre un peu en avant les Russes autrement que pour la vodka, les putes ou la mafia. Vous incarnez donc un jeune officier appartenant au SMERSH et votre supérieur vous demande de lui faire un briefing des opérations que vous avez mené par le passé.
Tel est le point de départ de Death To Spies. La suite est donc la réalisation des dites missions qui devront vous entraîner aussi loin que profondément dans des contrées amies ou ennemies. Mais il est clair que si l'on est un espion, il n'est point de contrée hospitalière. On rejoint donc le coté "seul au monde" des superproductions, souvent américaines, pour les transposer au monde russe et à cette Europe en proie à une guerre dévastatrice. Mais comme on est un espion russe, un espion tout court en fait, et en évitant de se rappeler James Bond le type ultra voyant de notre ami la Queen, il va bien falloir opérer différemment...