La police de New Delhi, en Inde, propose depuis peu de la possibilité de la contacter via le service de messagerie en ligne WhatsApp, qui est proposé sous forme d’application smartphone et revendique 600 millions de membres actifs à travers le monde. Les habitants peuvent ainsi envoyer des messages pour dénoncer les délits, mais aussi agrémenter les accusations de preuves en photo ou en vidéo.

Les autorités se félicitent du succès rencontré par ce nouveau canal de communication avec la population, qui simplifie les choses et permet un certain anonymat. Il a permis d’accélérer des enquêtes en cours et d’en démarrer de nouvelles, notamment dans le domaine de la corruption. Mais voilà, il y a aussi – et malheureusement – les abus…

WhatsApp-logo  

Souhaitant dénoncer le développement de la pornographie et obtenir un soutien de la part des autorités dans sa lutte contre le secteur, Chandan Singh a envoyé une courte vidéo à caractère pornographique vers le compte WhatsApp des policiers.

L’histoire aurait pu en rester au simple rappel à l’ordre reçu en retour, mais l’homme a insisté en envoyant deux autres vidéos. Les policiers ont fini par débarquer. L’individu se retrouve ainsi derrière les barreaux.

Source : PhoneArena