Le cabinet Gfk a interrogé plus de 4 200 détenteurs de smartphones habitant en Allemagne, au Brésil, en Chine, en Espagne, en France, en Italie, au Japon, au Royaume-Uni et aux USA, afin de voir ce qui les freinerait le plus dans le changement d'écosystème.

À l’échelle globale, c’est le changement d’environnement pour 33 % ( perte de certaines applications et usage de menus différents ), le changement de type d’appareil pour 29 % ( pas les mêmes boutons pour les appareils Android, iOS et Windows Phone ) et la procédure de récupération des données pour 28 % ( qui n'est pas évidente pour tous ). À l’échelle française, on retrouve les mêmes barrières, avec des chiffres toutefois un peu moins importants, à savoir 29, 22 et 22 %.

Et parmi les autres freins au changement, on retrouve : le fait de ne pas aimer certaines marques de smartphones ( on peut par exemple aimer le look de l’iPhone, sans forcément accepter la fermeture niveau matériel et logiciel ) ; le fait de ne pas être prêt à payer le prix fort ( l’iPhone par exemple est beau, mais se paye cher, soit en abonnement, soit au niveau du produit ) ; ou le fait de vouloir garder le même système pour tous ses appareils mobiles ( ceux qui ont une tablette iPad ou un baladeur iPod optent souvent pour l'iPhone, afin de retrouver les mêmes contenus ).

Changer smartphone
Les chiffres pour chaque pays ( crédit Gfk ; cliquer pour agrandir )