Toujours au cœur de vives critiques quant aux dernières informations concernant sa Xbox One malgré un retournement de veste magistral, Microsoft éprouve une nouvelle fois le besoin de se justifier, mais sur le terrai du Xbox Live Arcade cette fois.

Xbox Live - vignette  , dans une interview avec Polygon, Marc Whitten a rappelé que Microsoft ne facturait plus aucune taxe aux développeurs de titres à destination du Xbox Live Arcade lorsqu’ils souhaitaient réaliser des mises à jour, et ce, depuis le mois d’avril de cette année déjà.

C’est Phil Fish qui a lancé un nouveau pavé dans la mare en annonçant souhaiter réaliser une nouvelle mise à jour pour son jeu Fez qui présentait un bug qui pouvait éventuellement corrompre les données sauvegardées des joueurs. Malheureusement, il pointait du doigt le fait que le correctif mineur était facturé 10 000 dollars par Microsoft.

Sur Twitter, le Major Nelson a rappelé vivement que les taxes de ce genre avaient été abolies depuis avril 2013, or il semblerait que le message ne soit pas du tout passé auprès des développeurs.

D’un autre côté, Microsoft est également restée relativement discrète sur les conditions d’accès des développeurs à sa Xbox One. Les développeurs ne pourront pas publier leurs titres sur la console eux-mêmes, et pour l’instant Microsoft se focalise principalement sur les titres AAA.

Pendant ce temps, Sony fait tout à fait l’inverse et n’hésite pas à annoncer des titres d’éditeurs modestes comme The Witness de Jonathan Blow et a annoncé faciliter l’accès de sa plateforme aux développeurs.

Encore une fois il semblerait que la communication fasse défaut chez Microsoft et on se demande finalement à quel moment la société sera capable de proposer une annonce cohérente à propos de son système Xbox quel qu’il soit.

Source : The Verge