Des images qui s'attardent sur les différents protagonistes de l'aventure, parmi lesquels on trouve Capel, le personnage central de l'histoire, Aya, une femme archer des plus fragiles, ou encore Sigmund ainsi que Luka et Roka. Au passage, on notera une similitude évidente entre les jumeaux d'Infinite Undiscovery et ceux de Final Fantasy IV, j'ai nommé Porom et Palom. A la différence près qu'on a affaire là à de petits blondinets. Bien entendu, le titre s'appuie aussi sur un système de combat nerveux qui est un peu la marque de fabrique des softs Tri-Ace, où une interaction poussée avec le décor est semble-t-il prévue au programme. Pas de raison de s'ennuyer pendant les joutes, a priori.


Tous les joueurs logés à la même enseigne
Infinite Undiscovery aura en plus la bonne idée d'être distribué dans le monde quasiment au même moment, c'est à dire dès les premiers jours de septembre. Ceci fait suite à la volonté affirmée de Square Enix de généraliser les sorties mondiales de ses jeux. L'ambition étant de conquérir les marchés européens et américains, qui doivent à chaque fois, lors d'une sortie japonaise d'un gros titre, patienter pendant sa souvent longue localisation. Yôichi Wada, président de Square Enix, souhaite par cette pratique rentabiliser de manière plus rapide ses développements souvent bien coûteux.

Espérons que Final Fantasy XIII connaisse le même traitement que ce Infinite Undiscovery, qu'on attend en France pour le 5 septembre.