Damnation joue la carte de la grandeur et de l’ouverture en plongeant le joueur dans un univers vaste et dénué de repères. Les cartes sont en effet absentes du jeu au même titre que les disgracieux repères visuels, ce sont nos alliés qui indiqueront parfois la marche à suivre ou bien l’action à effectuer.

La plupart du temps, nous devrons évoluer par nous même et explorer les environnements qui possèdent de multiples voies de progression en plus d’être étonnement grands. Cette liberté est logiquement limitée à deux ou trois voies qui mettront à contribution les capacités acrobatiques de notre héros prêt à sauver le monde d’une imminente menace.


De l’action pure et dure
Un peu à la manière d’un Prince of Persia, c’est en escaladant de nombreux édifices que la trame scénaristique progressera et permettront dans le même temps de prendre l’ascendant sur les ennemis en accédant par exemple à un avantageux poste de tir, haut placé ou bien doté de protections mécaniques.

Alternant entre mini puzzles, intenses combats et acrobaties, Damnation effectue à n’en pas douter un instable mélange vidéoludique placé sous le signe de l’instinctivité et des traditions. Il n’existe effectivement aucun système de couverture avancé en dépit de sa forte ressemblance avec un certain Gears Of War.

Date de sortie prévue pour la fin de l’année 2008 sur PC, PS3 et Xbox 360.