Tout d'abord, commençons par la petite phrase bien sentie de notre ami Reggie Fils-Aimé, où, disons-le très franchement, celui-ci incite ceux qui travaillent sur Wii à mettre les bouchées doubles, car pour l'instant, il n'a pour ainsi dire pas de quoi être réellement satisfait :
"Je serai en mesure de dire que les développeurs auront compris quand ils donneront le meilleur d'eux-mêmes sur notre plate-forme. Et à quelques exceptions près, aujourd'hui, ce n'est pas le cas."
La Wii était clairement désignée dès le départ comme la machine la moins puissante de cette génération de consoles, du moins en terme de pouvoir graphique. A l'heure actuelle où le multi-plate-forme commence à battre son plein, la Wii est un peu mise de côté, et beaucoup de softs présents sur ce support n'offrent qu'une utilisation limitée du duo Nunchuk/Wiimote, sans compter l'aspect visuel, bien souvent négligé. La-dessus, nous donnons un point à Reggie.
L'exemple Dead Rising
Mais Victor Godinez, qui travaille pour le Dallas Morning News, voit les choses quelque peu différemment, en cela que tous les développeurs aimeraient travailler sur des gros titres, et non pas des jeux à licence qui passeront leur vie dans les rayons occasion des enseignées spécialisées.
La faute n'est donc, selon Victor, pas à rejeter sur ces développeurs, mais peut-être bien à Nintendo, qui ne semble pas faire d'efforts pour tirer le niveau des productions vers le haut. La version Wii de Dead Rising est un bon exemple de la situation, comme nous l'explique le journaliste du DMN :
"Je serai en mesure de dire que les développeurs auront compris quand ils donneront le meilleur d'eux-mêmes sur notre plate-forme. Et à quelques exceptions près, aujourd'hui, ce n'est pas le cas."
La Wii était clairement désignée dès le départ comme la machine la moins puissante de cette génération de consoles, du moins en terme de pouvoir graphique. A l'heure actuelle où le multi-plate-forme commence à battre son plein, la Wii est un peu mise de côté, et beaucoup de softs présents sur ce support n'offrent qu'une utilisation limitée du duo Nunchuk/Wiimote, sans compter l'aspect visuel, bien souvent négligé. La-dessus, nous donnons un point à Reggie.
L'exemple Dead Rising
Mais Victor Godinez, qui travaille pour le Dallas Morning News, voit les choses quelque peu différemment, en cela que tous les développeurs aimeraient travailler sur des gros titres, et non pas des jeux à licence qui passeront leur vie dans les rayons occasion des enseignées spécialisées.
La faute n'est donc, selon Victor, pas à rejeter sur ces développeurs, mais peut-être bien à Nintendo, qui ne semble pas faire d'efforts pour tirer le niveau des productions vers le haut. La version Wii de Dead Rising est un bon exemple de la situation, comme nous l'explique le journaliste du DMN :
"Dead Rising sur Xbox 360, par exemple, était fun et incroyable en partie parce qu'il y avait souvent des centaines de zombies à l'écran, chacun trainant les pieds vers votre cerveau. La version Wii en développement, cependant, est limitée à une dizaine de monstres à l'écran simultanément, et cette réduction rend le jeu presque inutile.
Mais Nintendo a choisi d'emprunter cette voie du moins-puissant, du hardware à moindre coût, et un des effets secondaires de cette décision est que certains jeux ne peuvent tout simplement pas être portés {sur Wii]. Alors, autant les développeurs ont besoin d'intensifier leurs efforts, autant Nintendo ne leur a pas fait de faveurs."
Hum, j'ai bien envie de te retirer ton point, Reggie.
Mais Nintendo a choisi d'emprunter cette voie du moins-puissant, du hardware à moindre coût, et un des effets secondaires de cette décision est que certains jeux ne peuvent tout simplement pas être portés {sur Wii]. Alors, autant les développeurs ont besoin d'intensifier leurs efforts, autant Nintendo ne leur a pas fait de faveurs."
Hum, j'ai bien envie de te retirer ton point, Reggie.
Source :
The Wiire
