Knol de Google a avec la fameuse encyclopédie libre Wikipédia un point commun : le partage du savoir. Mais le mécanisme de ce partage du savoir est sensiblement différent. En effet, avec Knoll, pas question d'anonymat puisque chaque auteur d'un article ici qualifié d'unité de savoir, a l'obligation d'écrire sous son nom et d'en passer par une petite biographie ou du moins une présentation sommaire de " sa vie, son oeuvre ". Une façon de responsabiliser l'auteur qui est le seul maître de sa prose avec la possibilité de tenir compte ou non de remarques éventuelles de la part de lecteurs pour les intégrer de son propre chef dans son knol. De son côté, Google n'exerce pas de contrôle éditorial.
Le lecteur peut donc être rassuré quant à la qualité du knol mais plusieurs articles peuvent traiter du même sujet et ainsi ouvrir le débat. Les internautes peuvent laisser un commentaire (après s'être connectés) ou alors tout simplement laisser leur avis via une à cinq étoiles pour : j'ai détesté, je n'ai pas aimé, j'ai aimé, j'ai beaucoup aimé ou j'ai adoré. Cela permet notamment d'établir un classement entre les articles relatifs à un même sujet.
Une autre différence notable avec Wikipédia est la rémunération possible des auteurs via des publicités contextuelles et donc un partage des revenus entre le contributeur et Google. Un point évidemment assez controversé. Par ailleurs, les articles vont probablement bénéficier de l'indexation du moteur de recherche le plus utilisé au monde.
Knol parle français
La bonne nouvelle est qu'aujourd'hui Knoll, toujours en bêta, est disponible en français avec les premiers articles rédigés dans la langue de Molière déjà au rendez-vous, et ils sont relativement légion dans des domaines divers et variés. Pour s'y retrouver le passage par l'outil de recherche estampillé Google est indispensable mais il ne faut pas l'utiliser tel quel et spécifier dans les paramètres d'opérer une recherche sur des articles... en français.
Knol a-t-il un destin à la Wikipédia ou la place est-elle irrémédiablement prise ?
Le lecteur peut donc être rassuré quant à la qualité du knol mais plusieurs articles peuvent traiter du même sujet et ainsi ouvrir le débat. Les internautes peuvent laisser un commentaire (après s'être connectés) ou alors tout simplement laisser leur avis via une à cinq étoiles pour : j'ai détesté, je n'ai pas aimé, j'ai aimé, j'ai beaucoup aimé ou j'ai adoré. Cela permet notamment d'établir un classement entre les articles relatifs à un même sujet.
Une autre différence notable avec Wikipédia est la rémunération possible des auteurs via des publicités contextuelles et donc un partage des revenus entre le contributeur et Google. Un point évidemment assez controversé. Par ailleurs, les articles vont probablement bénéficier de l'indexation du moteur de recherche le plus utilisé au monde.
Knol parle français
La bonne nouvelle est qu'aujourd'hui Knoll, toujours en bêta, est disponible en français avec les premiers articles rédigés dans la langue de Molière déjà au rendez-vous, et ils sont relativement légion dans des domaines divers et variés. Pour s'y retrouver le passage par l'outil de recherche estampillé Google est indispensable mais il ne faut pas l'utiliser tel quel et spécifier dans les paramètres d'opérer une recherche sur des articles... en français.
Knol a-t-il un destin à la Wikipédia ou la place est-elle irrémédiablement prise ?
