Damnation avait de quoi séduire sur le papier, éditeur et développeur ayant semble-t-il vu les choses en grand pour ce jeu d'action. Composé de différents éléments de gameplay, comme celui des jeux de plate-formes mêlé à des séances de tir, le jeu s'annonçait comme particulièrement dense, voire intéressant puisqu'il nous plaçait aussi dans le contexte post Guerre de Sécession. Malgré tout ce programme, le résultat final de Damnation est bien piètre. Les développeurs livrent un titre loin d'être fini, du mois optimisé, bourré de bugs et d'autres contrariétés visuelles. Les moyens n'ont pas été mis dans le développement de ce jeu, n'y mettez les pas les vôtres.

Damnation "Nous avons longtemps cru au titre, nous avons longtemps cru à une possible amélioration et nous avons eu faux sur toute la ligne. Damnation est un titre extrêmement moyen pour ne pas dire mauvais, il se repose sur des fondations basiques et datées. Le concept de verticalité n’est qu’un funeste prétexte à des fusillades sans intérêt et pénibles. Il s’agit à n’en pas douter d’un gâchis, d’un véritable gâchis et je vous déconseille par conséquent de vous procurer le jeu. Avec ces cinquante euros, vous pourrez vous tourner sans regrets vers un Gears of War 2, Red Faction : Guerrilla voire un Resident Evil 5. Amusement garanti."

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