Le premier coup dur est le retrait exigé du catalogue de Warner Music. L'écoute des titres de la maison de disques se limite ainsi désormais aux 30 secondes réglementaires. " Malgré le fait que Jiwa soit un fantastique outil de lutte contre le piratage et un outil de promotion pour les artistes, la maison de disque américaine ne souhaite pas poursuivre l'expérience ", indique Jiwa.
Selon les informations de Numerama qui fait référence à une enquête d'ElectronLibre, cette situation fait suite au minimum garanti que s'engagent à payer les plateformes de musique en ligne aux maisons de disques pour l'exploitation d'un catalogue. Pris à la gorge, Jiwa n'aurait plus eu les moyens d'honorer ses engagements.
On ne sait alors plus trop quoi penser de la fin du message de Jiwa qui ressemble à une bouteille d'eau jetée à la mer :
" L'accès à Jiwa reste gratuit et illimité, mais vous pouvez nous soutenir en devenant Jiwa Addict. Envoyez un simple SMS surtaxé ou appelez un numéro surtaxé, et la mention Jiwa Addict figurera sur la page de votre profil, et nous vous réserverons à l'avenir des surprises et des goodies en avant-première. "
