Mais bien mal informé celui qui affirmerait que Take Two n'a jamais vraiment connu la difficulté. Durs moments passés pour Ben Feder et Strauss Zelnick (président du conseil d'administration) lorsque la SEC (Securities and Exchange Commission) est venue s'intéresser de plus près aux comptes de la société. C'était une période où celle-ci n'était pas rentable, et on pouvait se demander si Take Two avait un avenir, finalement.
Vu la situation actuelle, cela peut s'apparenter à une vaste blague, mais il n'en est rien. Grand Theft Auto IV a connu un succès sans précédent, est salué par la critique, et Take Two est désormais l'éditeur numéro trois dans l'industrie du jeu vidéo. La roue a tourné.
GTA IV, la confirmation de la bonne santé de Take Two
Quand on demande au CEO de Take Two ses relations avec Rockstar, il ne tarit pas d'éloges aux membres de cette équipe :
"Je traite avec eux tout le temps. Nous sommes vraiment fiers de la performance [de Rockstar], et ils sont fiers de GTA IV. Il a été un succès absolu, non seulement d'un point de vue financier, mais également d'un point de vue créatif. C'est un succès étonnant sur tous les plans."
Ben Feder revient sur le rôle de bouc émissaire qu'a joué GTA IV, énième outil destiné à fustiger la violence des jeux vidéo.
"Je pense que nous défendons notre travail tout le temps. D'abord et avant tout, nous devons commencer avec la notion qu'un jeu classé M [Mature] n'est pas pour les enfants... N'appelez pas ça un jeu alors, mais plutôt un divertissement interactif, mais ce n'est pas pour les enfants."
Une très bonne dernière analyse, qui nous fait nous demander si, en fin de compte, le terme "jeu vidéo" n'est pas mal compris pour une majorité de personnes. Sous couvert de l'appellation "jeu", tout titre sortant sur une console serait nécessairement destiné à être joué par un mineur ? La réponse est bien évidemment négative.
Le jour où on comprendra que GTA IV a été pensé pour un public mature et que les jeux interdits aux moins de 18 ans n'ont pas à être joués par des enfants en-dessous de cet âge, nous pourrons nous en féliciter.
Vu la situation actuelle, cela peut s'apparenter à une vaste blague, mais il n'en est rien. Grand Theft Auto IV a connu un succès sans précédent, est salué par la critique, et Take Two est désormais l'éditeur numéro trois dans l'industrie du jeu vidéo. La roue a tourné.
GTA IV, la confirmation de la bonne santé de Take Two
Quand on demande au CEO de Take Two ses relations avec Rockstar, il ne tarit pas d'éloges aux membres de cette équipe :
"Je traite avec eux tout le temps. Nous sommes vraiment fiers de la performance [de Rockstar], et ils sont fiers de GTA IV. Il a été un succès absolu, non seulement d'un point de vue financier, mais également d'un point de vue créatif. C'est un succès étonnant sur tous les plans."
Ben Feder revient sur le rôle de bouc émissaire qu'a joué GTA IV, énième outil destiné à fustiger la violence des jeux vidéo.
"Je pense que nous défendons notre travail tout le temps. D'abord et avant tout, nous devons commencer avec la notion qu'un jeu classé M [Mature] n'est pas pour les enfants... N'appelez pas ça un jeu alors, mais plutôt un divertissement interactif, mais ce n'est pas pour les enfants."
Une très bonne dernière analyse, qui nous fait nous demander si, en fin de compte, le terme "jeu vidéo" n'est pas mal compris pour une majorité de personnes. Sous couvert de l'appellation "jeu", tout titre sortant sur une console serait nécessairement destiné à être joué par un mineur ? La réponse est bien évidemment négative.
Le jour où on comprendra que GTA IV a été pensé pour un public mature et que les jeux interdits aux moins de 18 ans n'ont pas à être joués par des enfants en-dessous de cet âge, nous pourrons nous en féliciter.
Source :
Kotaku
