Un peu plus de six mois après sa dernière mouture stable, ReactOs sort en version 0.3.1. Pour rappel, cet OS ( Operating System ) lancé en 1996 a pour ambition de permettre aux applications et pilotes développés pour Windows XP de fonctionner dans un environnement libre.
Ainsi, ReactOS se veut être un Windows-like gratuit dans lequel un utilisateur venant d'une plate-forme issue de Microsoft n'aura aucun problème d'acclimatation. Le projet a désormais 10 ans et demi. Il se présente comme étant " le Windows-like opérationnel le plus complet actuellement disponible ". Son code source est diffusé librement et sous une licence GNU GPL ( General Public License ).
Comme l'indique Aleksey Bragin, coordinateur du projet ReactOS, le travail s'est principalement focalisé sur la réécriture de certaines parties du ReactOS core, c'est-à-dire le noyau, le chargeur d'amorçage du système ( bootloader ) ou bien encore la couche d'abstraction matériel ( HAL ).
Les notes de diffusion, comme l'on pourrait s'en douter, sont plutôt conséquentes. Voici les principales nouveautés :
Pour ceux qui voudraient tester ce système d'exploitation et même si il est annoncé comme une version plus stable que les précédentes, notez bien qu'il n'en est qu'à un stade alpha de son développement. Cette mouture 0.3.1 est donc destinée aux utilisateurs aguerris qui voudraient le tester, par exemple via un émulateur comme VMWare, QEmu ou Parallels.
ReactOS n'est pas destiné à remplacer votre système d'exploitation, indique Bragin soulignant que des problèmes d'instabilité ou compatibilité peuvent apparaître. Pour ce qui est des versions futures, le coordinateur du projet espère des délais plus courts entre chaque nouvelle version.
Ainsi, ReactOS se veut être un Windows-like gratuit dans lequel un utilisateur venant d'une plate-forme issue de Microsoft n'aura aucun problème d'acclimatation. Le projet a désormais 10 ans et demi. Il se présente comme étant " le Windows-like opérationnel le plus complet actuellement disponible ". Son code source est diffusé librement et sous une licence GNU GPL ( General Public License ).
Comme l'indique Aleksey Bragin, coordinateur du projet ReactOS, le travail s'est principalement focalisé sur la réécriture de certaines parties du ReactOS core, c'est-à-dire le noyau, le chargeur d'amorçage du système ( bootloader ) ou bien encore la couche d'abstraction matériel ( HAL ).
Les notes de diffusion, comme l'on pourrait s'en douter, sont plutôt conséquentes. Voici les principales nouveautés :
- Freeldr a été amélioré
- Les secteurs clés de la couche d'abstraction matériel ont été améliorés
- Réécriture massive de certaines parties incompatibles du noyau ( en amélioration continuelle )
- Bibliothèque run-time ( rtl ) a subi d'importantes corrections de bogues et autres améliorations
- Meilleur pilote USB ajouté et bogues corrigés dans la gestion des pilotes par le noyau
- Support du registre étendu grâce à l'ajout de " cmlib ", une bibliothèque partagée par le chargeur d'amorçage et le noyau pour gérer les entrées binaires du registre, même celles de Windows
Pour ceux qui voudraient tester ce système d'exploitation et même si il est annoncé comme une version plus stable que les précédentes, notez bien qu'il n'en est qu'à un stade alpha de son développement. Cette mouture 0.3.1 est donc destinée aux utilisateurs aguerris qui voudraient le tester, par exemple via un émulateur comme VMWare, QEmu ou Parallels.
ReactOS n'est pas destiné à remplacer votre système d'exploitation, indique Bragin soulignant que des problèmes d'instabilité ou compatibilité peuvent apparaître. Pour ce qui est des versions futures, le coordinateur du projet espère des délais plus courts entre chaque nouvelle version.
