Asianux
Le Japon entame sa migration vers les logiciels open source.




  • Des détails '

Beaucoup de gens et même les administrations migrent actuellement vers les logiciels libres, du fait de l'indépendance vis-à-vis des logiciels commerciaux (protocols propriétaires,..) mais aussi par le côté financier avantageux. Aujourd'hui, c'est le Japon qui se jette à l'eau.

En effet, hier, le gouvernement japonnais à demandé à ses ministères de migrer vers des logiciels libres comme le sstème d'exploitation GNU/Linux, pour ne plus avoir de compte à rendre aux éditeurs de logiciels commerciaux comme Windows de Microsoft.
Il entend bien, par la même occasion, réduire ses frais de fonctionnement et mieux se prémunir contre les attaques provenant d'Internet.

  • Déclaration d'un responsable du ministère des Affaires intérieures et de la Communication (MIC) :

"Il ne s'agit pas d'exclure ou de recommander un logiciel en particulier, mais cette approche résulte des évolutions récentes et de la fiabilité croissante des logiciels libres . Actuellement, les logiciels commerciaux sont majoritaires."

  • Qu'en penser '

Le Japon, qui n'en est pas à sa première action, est d'ailleurs à l'origine d'une initiative, avec la Chine et la Corée du sud, pour le développement d'un système d'exploitation asiatique à partir d'un noyau de logiciel libre comme Linux, Asianux. De nombreuses sociétés japonaises du secteur travaillent d'ailleurs activement sur ce projet.
Le but est de se libérer des logiciels commerciaux et de mieux adapter les logiciels aux besoins des industries et des administrations asiatiques où sont employés les idéogrammes.

  • Quelle est la réaction de Microsoft '

Microsoft a déjà réagi et propose des partenariats et des tarifs spéciaux pour les universités, ceci dans le but d'inciter au développement d'applications à base de logiciels et de systèmes maison.