Peut-être avez-vous souscrit à une assurance auprès de votre opérateur de téléphonie mobile ou de votre compagnie d’assurance lors de l’acquisition d’un smartphone, pour finalement vous apercevoir, un jour de malchance, qu’elle ne couvrait pas grand-chose au final.
C’est ce genre de mésaventures que dénonce aujourd’hui l’association de consommateurs UFC Que Choisir. Selon elle, à moins de payer une petite fortune, le champ d’action de ces assurances est bien trop limité, puisque que celles-ci ne prendraient bien souvent en charge que les accidents résultant d'un phénomène extérieur et les vols avec violence, excluant ainsi la panne de l’appareil, la perte, le vol à la sauvette et la casse causée par le propriétaire lui-même. Sans compte les différentes clauses en petits caractères.
Le smartphone Galaxy S III de Samsung
L’association de consommateurs UFC Que Choisir se pose ainsi la question du réel intérêt de telles assurances. Surtout que ces dernières s’avèrent onéreuses même pour les moins chères – 30 euros par an –, au regard d’une valeur à neuf de 360 euros en moyenne, qui aura en plus chuté de 50 % en moyenne au bout d'un an.
