
Rien d'officiel pour l'instant
Confirmant à demi-mot les informations révélées par le journal Berliner Zeitung, une porte-parole du groupe indiquait ainsi : " Des changements en termes d'efficacité ont déjà été apportés depuis 2006, et nous percevons la nécessité d'autres changements encore."
Lothar Schröder, un responsable du syndicat Verdi et vice-président du conseil d'entreprise de Deutsche Telekom, déclare ne pas été avoir été mis au courant de ces suppressions supplémentaires : " Ce chiffre de 2 000, s'il est vrai, est choquant, surtout après le gros conflit dont on sort tout juste. Cela ramène de l'incertitude. "
Si cette annonce a de quoi inquiéter les salariés, elle semble en revanche rassurer les actionnaires. En effet, à Francfort, le titre Deutsche Telekom a progressé de 0,23 % pour atteindre 13,23 euros, alors que le marché est en baisse de 0,91 %.
Source :
Reuters