Facebook-pingdom Facebook est de plus en plus comparé à la pieuvre Google tant il est en train de conquérir le Web et s'imposer dans plusieurs pays de par le monde. Mais le réseau social n'est pas le roi partout comme le démontre une étude de la société suédoise Pingdom.

La Chine manque bien évidemment au tableau de chasse de Facebook. Il ne pourrait en être autrement puisque l'Empire du Milieu bloque Facebook. Pingdom a examiné plus de 130 pays afin de trouver où Facebook ne figurait pas parmi le Top 5 du trafic Internet.

Le tableau ci-dessus résume la situation avec les endroits du monde où Facebook ne domine donc pas, soit dans finalement peu de cas. Des pays qui constituent de fait un fort potentiel de croissance. Le pays est indiqué gauche, le classement Alexa de Facebook puis le nombre d'internautes ( chiffres de juin 2010 ) connus sur le territoire.

Hormis la Chine, le Japon, le Brésil et la Russie constituent le plus large vivier de nouveaux utilisateurs potentiels pour Facebook. Ce n'est pas une surprise. Mark Zuckerberg a déjà annoncé qu'il avait des objectifs de croissance dans ces pays pour les années à venir et où des challengers sont déjà bien implantés.

Pour le Japon le principal concurrent de Facebook s'appelle Mixi. En Russie, c'est vKontakte qui est traduit dans plusieurs langues et fait souvent parler de lui pour faciliter le partage de fichiers musicaux illicites. Au Brésil, c'est un certain Orkut de Google. Si jamais Facebook réussit à débloquer la situation en Chine, il devra se confronter à QQ.

Lorsque Facebook est considéré comme vainqueur dans un pays, c'est d'une manière assez nette avec généralement au moins la moitié des internautes du pays considéré qui sont des utilisateurs du réseau social.