
Cette enquête est toujours en cours et des responsables officiels ont demandé à Facebook de supprimer les profils incriminés. Selon les propos du directeur de la sécurité du réseau communautaire, Chris Kelly, il n'est pas au courant de cette affaire mais la compagnie a reçu un certain nombre de retours et supprime en général les profils moins de 72 heures après avoir mené ses propres investigations.
" Nous voulons être un bon partenaire des Etats en essayant de résoudre ce problème de société ", a précisé Kelly, ajoutant : " Nous travaillons avec eux depuis un moment désormais, et nous cherchons à faire perdurer ce partenariat fructueux ".
Facebook n'est pas le seul réseau communautaire à être touché par la prolifération de prédateurs sexuels, puisque MySpace est vivement critiqué sur ce sujet depuis de nombreux mois.