Ayant visiblement une dent contre celui-ci, elle a alors utilisé la page sociale en question pour poster plusieurs messages sous-entendant que l’homme de 36 ans entretenait une relation extraconjugale.
Avertie par le chef d’entreprise ayant découvert ce faux profil Facebook, les autorités locales ont alors mené leur enquête, remontant jusqu’à l’employée en utilisant l'adresse IP et mettant fin à la mascarade en décembre 2010.
Présentée devant le tribunal correctionnel de Gand, ville de la province de Flandre-Orientale, au nord-ouest de la Belgique, l’employée a été condamnée il y a peu à une peine de sept mois de prison avec sursis, ainsi qu’à une amende de 550 euros.