siteattaque Selon Finjan, les sites sont actuellement confrontés a une nouvelle vague d'attaques qui depuis mai 2008 a fait plus de 1 000 victimes. Pour l'infection, les cybercriminels ont recours à un toolkit connu sous le nom de Asprox, devenu populaire dans ces milieux malfamés en 2007.


Les cybercriminels disposent d'outils clé en main
Via Asprox, les attaquants commencent par solliciter l'aide de Google afin de partir à la recherche de pages Web à l'extension .asp. Une fois c'est pages trouvées, des attaques par injection SQL sont générées afin d'ajouter du code d'attaque bien dissimulé dans les sites empreints de vulnérabilités, eu égard à des erreurs de codage.

De son côté, ce code d'attaque a pour mission de rechercher des failles dans les navigateurs des utilisateurs venant lui rendre visite, et le cas échéant, un malware desservi par plus de 160 domaines différents à travers l'Internet sera téléchargé sur leur machine.

Un outil pour le cybercrime apparemment efficace dont le tableau de chasse continue de s'agrandir avec des sites appartenant à des institutions gouvernementales (surtout pour les USA), des sociétés renommées, et le PDG de Finjan de prévenir qu'il s'agit probablement là que de la partie visible de l'iceberg.