C'est enfin officiel : la société Alcatel-Lucent, de droit fançais et dont le siège social sera situé à Paris, vient de voir le jour et devient opérationnelle à partir de ce 1er décembre 2006. Il aura fallu huit mois de gestation pour réaliser la fusion et donner naissance au deuxième groupe télécom mondial (après Cisco) et numéro un en Europe.
Une nouvelle entité
La société sera présente sur les marchés boursiers de l'Euronext Paris et du New York Stock Exchange avec la nouvelle dénomination ALU. Dans le cadre du rapprochement, Alcatel a émis 878 millions d'actions, et le nombre d'actions ordinaires Alcatel-Lucent est porté à 2.31 milliards.
Serge Tchuruk, qui dirigeait Alcatel devient président du conseil d'administration, tandis que Patricia Russo, à la tête de Lucent, prend le poste de directrice générale. "Avec cette fusion, nous transformons deux sociétés performantes en un leader incontesté dans l'industrie des télécommunications" a déclaré Patricia Russo.
Alcatel-Lucent dispose en effet d'une solide expérience en tant qu'équipementier télécom dans de nombreux secteurs (équipements, services, R&D) et revendique plus de 250 000 clients dans le monde.
Avec une présence dans 130 pays, 79 000 employés, et des relations étroites avec les 100 plus grands opérateurs mondiaux, la société sera divisée en quatre régions géographiques pour répondre au mieux aux besoins de ses clients : Asie-Pacifique, Europe et Nord, Europe et Sud et Amérique du Nord.
Une nouvelle organisation
Cinq divisions seront créées, reprenant les principaux coeurs d'activité du groupe : fixe, sans fil, convergence (dédiée aux opérateurs), entreprise et services.
La Recherche & Développement ne sera pas négligée, puisque 23 000 employés y sont affectés. Avec 2.7 milliards d'euros investis en 2005 et 25 000 brevets actifs, Alcatel-Lucent se présente comme une force vive de l'innovation et dispose de 600 experts impliqués dans les 130 organisations chargées des standardisations.
Le rapprochement devrait permettre d'économiser 1.4 milliard d'euros en restructurations et fusions des branches d'activité d'Alcatel et de Lucent, mais entraînera une réduction d'effectif de 9000 postes. La plus grande partie de la restructuration sera menée dans les 24 mois à venir.
Une nouvelle entité
La société sera présente sur les marchés boursiers de l'Euronext Paris et du New York Stock Exchange avec la nouvelle dénomination ALU. Dans le cadre du rapprochement, Alcatel a émis 878 millions d'actions, et le nombre d'actions ordinaires Alcatel-Lucent est porté à 2.31 milliards.
Serge Tchuruk, qui dirigeait Alcatel devient président du conseil d'administration, tandis que Patricia Russo, à la tête de Lucent, prend le poste de directrice générale. "Avec cette fusion, nous transformons deux sociétés performantes en un leader incontesté dans l'industrie des télécommunications" a déclaré Patricia Russo.
Alcatel-Lucent dispose en effet d'une solide expérience en tant qu'équipementier télécom dans de nombreux secteurs (équipements, services, R&D) et revendique plus de 250 000 clients dans le monde.
Avec une présence dans 130 pays, 79 000 employés, et des relations étroites avec les 100 plus grands opérateurs mondiaux, la société sera divisée en quatre régions géographiques pour répondre au mieux aux besoins de ses clients : Asie-Pacifique, Europe et Nord, Europe et Sud et Amérique du Nord.
Une nouvelle organisation
Cinq divisions seront créées, reprenant les principaux coeurs d'activité du groupe : fixe, sans fil, convergence (dédiée aux opérateurs), entreprise et services.
La Recherche & Développement ne sera pas négligée, puisque 23 000 employés y sont affectés. Avec 2.7 milliards d'euros investis en 2005 et 25 000 brevets actifs, Alcatel-Lucent se présente comme une force vive de l'innovation et dispose de 600 experts impliqués dans les 130 organisations chargées des standardisations.
Le rapprochement devrait permettre d'économiser 1.4 milliard d'euros en restructurations et fusions des branches d'activité d'Alcatel et de Lucent, mais entraînera une réduction d'effectif de 9000 postes. La plus grande partie de la restructuration sera menée dans les 24 mois à venir.
