Acheter son nom de domaine est toujours le point de départ et/ou un pas
dans la dynamique d’un site web. Pour ce faire, le webmaster a à sa
disposition des gestionnaires de noms de domaines qui proposent des
.com, des .org ou encore des .net à la pelle pour une modeste
prestation à l’année ou au mois.
Le gestionnaire français Gandi fut fondé en 1999 par quatres collaborateurs qui, après 5 ans de succès non-stop, ont décidé aujourd’hui de fermer boutique.
Les dissensions entres les fondateurs auront donc eu raison de l’enfant prodige de l’Internet communautaire, à la première place du marché français.
Le problème pour l’instant vient du prix exigé pour la reprise de l’affaire qui décourage déjà des repreneurs potentiels comme OVH, en bonne place pour devenir le premier gestionnaire de noms de domaines après la chute de Gandi.
12 à 13 millions d’euros sont exigés pour le simple rachat du géant bienveillant qu’était Gandi. Ajoutez à cela les efforts qu’il faudra déployer pour fournir la même qualité de service et vous obtenez une somme d’argent et de travail trop grosse pour interesser, pour l’instant, les repreneurs français.
Reste à espérer pour les clients de Gandi une reprise rapide et de qualité, ainsi qu’un opérateur qui garde la même ligne de conduite, peut-être grâce à une légère augmentation de tarif car Gandi peut se vanter de proposer des prix près des plus bas en matière de noms de domaines.
Le gestionnaire français Gandi fut fondé en 1999 par quatres collaborateurs qui, après 5 ans de succès non-stop, ont décidé aujourd’hui de fermer boutique.
Les dissensions entres les fondateurs auront donc eu raison de l’enfant prodige de l’Internet communautaire, à la première place du marché français.
Le problème pour l’instant vient du prix exigé pour la reprise de l’affaire qui décourage déjà des repreneurs potentiels comme OVH, en bonne place pour devenir le premier gestionnaire de noms de domaines après la chute de Gandi.
12 à 13 millions d’euros sont exigés pour le simple rachat du géant bienveillant qu’était Gandi. Ajoutez à cela les efforts qu’il faudra déployer pour fournir la même qualité de service et vous obtenez une somme d’argent et de travail trop grosse pour interesser, pour l’instant, les repreneurs français.
Reste à espérer pour les clients de Gandi une reprise rapide et de qualité, ainsi qu’un opérateur qui garde la même ligne de conduite, peut-être grâce à une légère augmentation de tarif car Gandi peut se vanter de proposer des prix près des plus bas en matière de noms de domaines.
Merci à Razhiel d'avoir rédigé cette news
