En cause, l’impression donnée que la mégalopole est principalement constituée de bidonvilles, ou ce que l'on appelle favelas au Brésil, des lieux où la pauvreté et la terreur règnent.
Bref, pas de quoi inciter les touristes à venir mettre les pieds à Rio de Janeiro. La mauvaise publicité est d’autant mal accueillie que la ville brésilienne doit accueillir la Coupe du Monde de football de 2014 et les Jeux Olympiques de 2016.
De son côté, Felix Ximenes, à la tête de Google Brésil, a répondu qu’il ne s’agissait en aucun cas de discréditer la ville, mais de la conséquence d’un manque d’informations. L’homme a assuré que le tir serait rectifié avec une actualisation des cartes qui sera achevée d’ici six à douze mois, afin que soient aussi mis en avant les lieux touristiques et les quartiers plus huppés.
