
Selon le Times relayé par Reuters, cette plainte n'a pas été rendue publique, ni par Google ni par le juge en charge d'appliquer un jugement imposant la surveillance des faits et gestes de Microsoft. Les représentants officiels ont précisé au quotidien qu'une note rédigée par Thomas Barnett, avocat général de la Division Antitrust du DoJ, avait enclenché le rejet de la plainte de Google, en reprenant des arguments légaux déjà repris par Microsoft.

Bradford Smith, avocat général de Microsoft, a déclaré au Times que la firme n'était pas au courant de cette note. Il a également précisé au journal que l'éditeur n'avait pas enfreint le jugement autorisant sa surveillance et qu'il avait déjà réalisé des modifications dans Windows Vista, en réponse aux problèmes soulevés par Google ainsi que par d'autres entreprises.
Ni Google, ni Microsoft, ni le Département de la Justice n'ont pu être joints par nos confrères.