Le groupe Open Solutions Alliance, qui inclut notamment CollabNet, EnterpriseDB et autres, a déclaré dans un communiqué que si ses membres surmontent les questions d'interopérabilité, ils pourront se démarquer de Microsoft " en proposant une suite d'outils professionnels pleinement interopérables ".
Un seul rival : Microsoft
" Nous pensons que l'interopérabilité doit être une composante essentielle des logiciels open source dès l'origine ", a déclaré Dominic Sartorio, président de l'OSA. " La plupart des éditeurs vendeurs de logiciels libres rencontrent un bon niveau de réussite. (...) Mais combien d'opportunités laissent-ils de côté du fait de leur non-interopérabilité ? " s'est-il interrogé.
L'OSA a souligné le fait que les distributeurs de produits open source ciblaient les utilisateurs moyens et qu'ils ne devaient " avoir qu'un rival commun : Microsoft ". Les résultats de son étude se basent sur une série de forums s'étant tenus cette année en Europe et aux USA.
Les participants à cette étude ont notamment cité diverses variantes de scénarii misant sur l'interopérabilité, par exemple dans la gestion des données personnelles ou dans l'interface utilisateur d'un système : " Beaucoup de gens tentent d'inter-connecter des projets open source au sein d'un portail entreprises, et ils veulent une voie et un aspect unifiés ", a ajouté Sartorio.
Les consommateurs ont également cité les questions de plates-formes transversales - quels que soient les systèmes - et d'intégration des données. Sartorio a conclu en déclarant que l'OSA allait continuer de travailler sur le thème de l'interopérabilité en 2008 en se basant notamment sur les réponses récoltées lors de ces forums.
Un seul rival : Microsoft
" Nous pensons que l'interopérabilité doit être une composante essentielle des logiciels open source dès l'origine ", a déclaré Dominic Sartorio, président de l'OSA. " La plupart des éditeurs vendeurs de logiciels libres rencontrent un bon niveau de réussite. (...) Mais combien d'opportunités laissent-ils de côté du fait de leur non-interopérabilité ? " s'est-il interrogé.
L'OSA a souligné le fait que les distributeurs de produits open source ciblaient les utilisateurs moyens et qu'ils ne devaient " avoir qu'un rival commun : Microsoft ". Les résultats de son étude se basent sur une série de forums s'étant tenus cette année en Europe et aux USA.
Les participants à cette étude ont notamment cité diverses variantes de scénarii misant sur l'interopérabilité, par exemple dans la gestion des données personnelles ou dans l'interface utilisateur d'un système : " Beaucoup de gens tentent d'inter-connecter des projets open source au sein d'un portail entreprises, et ils veulent une voie et un aspect unifiés ", a ajouté Sartorio.
Les consommateurs ont également cité les questions de plates-formes transversales - quels que soient les systèmes - et d'intégration des données. Sartorio a conclu en déclarant que l'OSA allait continuer de travailler sur le thème de l'interopérabilité en 2008 en se basant notamment sur les réponses récoltées lors de ces forums.