La miniaturisation des composants de stockage permet de produire des disques durs solides (SSD) de la taille d'une clé USB, limitée, elle, en termes de capacité. Les SSD devraient permettre d'outrepasser cette limite de capacité, dans un boîtier tout aussi compact, en améliorant par la même occasion les taux de transfert.
Ces disques durs utilisent donc une interface eSATA, offrant les mêmes taux de transfert théoriques que le SATA II utilisé pour les disques internes, en se passant en prime d'alimentation externe. Un disque dur solide offrant une connectique eSATA dans un boîtier miniature représente donc une solution de stockage rêvée.
Mais comme tout le monde n'est pas encore équipé de connecteurs eSATA, Maxell pense aussi aux autres, en dotant son disque d'une connectique USB 2.0 classique. On gagne en compatibilité, mais on perd en performances... On remercie Maxell (et d'autres avant eux bien sûr) de proposer les deux interfaces.
Les taux de transfert annoncés sont de 24 Mo/s en lecture et 16 Mo/s en écriture via l'interface USB, et 75 Mo/s en lecture et 24 Mo/s en écriture via l'interface eSATA, le tout avec une consommation de 0.1 Watt en veille et 0.9 Watt en activité.
Les deux modèles sont déjà disponibles, pour un prix de 109 euros pour la version 32 Go et de 209 euros pour la version 64 Go.
