
Parmi les accusés, certains avaient déjà eu maille à partir avec Microsoft pour des faits similaires avec parfois des accords amiables qui avaient pu être dégagés. Visiblement la leçon n'a pas été retenue.
Windows Vista trop bien protégé ou alors...
Dans son communiqué, Microsoft avance qu'en 2007, 20 % des PC en circulation aux Etats-Unis embarquaient des logiciels piratés, avec un véritable risque pour l'utilisateur final qui ne peut par exemple pas bénéficier du support Microsoft ou des mises à jour. Il a pourtant payé plein tarif.
Microsoft dresse également la liste des revendeurs placés sur le banc des accusés, avec pour chaque cas les logiciels qui ont fait l'objet d'un piratage. On y trouve divers éléments de la suite bureautique Office dont la version 2007, ainsi que le système d'exploitation Windows XP. Par contre, aucune trace de Windows Vista, sorti en même temps que Office 2007...